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samedi 10 octobre 2015 à 13h30

4 parties : 1 2 3 4

Attention: ceci est la manifestation du 10 octobre

Pour la manifestation universités du 16 octobre, suivre ce lien:
https://paris.demosphere.net/rv/41916


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Manifestation contre la réforme du collège

Rendez-vous 13h30 à Port-Royal, pour aller ensuite vers le Ministère.

Avec plus d'un tiers des personnels des collèges en grève le jeudi 17 septembre, les organisations syndicales du second degré SNES-FSU, SNEP-FSU, SNFOLC, SNETAA-FO, SFSDPEP-FO, CGT Educ'action, SNEIP-CGT, SNALC-FGAF, SIES-FAEN, SNCL-FAEN, CNGA et A&D CFE-CGC, SNUEP-FSU constatent que la mobilisation contre la réforme du collège est toujours aussi forte chez les personnels du second degré. Elles récusent l'acharnement de la Ministre et du gouvernement à refuser d'entendre ce rejet massif. Elles rappellent leur demande, à ce jour sans réponse, d'être reçues par la Ministre...

Elles restent déterminées à combattre cette réforme, à obtenir son abrogation et la réouverture de discussions sur d'autres bases.

Elles appellent les personnels à se réunir en assemblées générales, à multiplier les initiatives comme ils ont su le faire jusqu'à présent avec le souci de l'unité d'action. Elles soutiennent les collègues qui décident de reconduire la grève.

Elles refusent de s'associer à la mise en oeuvre des plans de formation à la réforme. Elles engagent les collègues à refuser toute anticipation de mise en oeuvre de la réforme sous quelque forme que ce soit, et en particulier à ne pas se porter volontaires pour les groupes de travail ou les formations.

L'intersyndicale appelle l'ensemble des personnels à une manifestation nationale à Paris le samedi 10 octobre 2015. Elle appelle les parents et les associations de spécialistes signataires de la pétition pour l'abrogation du décret à s'y joindre.

L'intersyndicale se réunira au lendemain de la manifestation.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/41954
Source : http://www.cgteduc93.fr/spip.php?article6474


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Manifestation nationale contre la reforme du collège

Après trois journées de grève massivement suivies dans les collèges contre sa réforme, la Ministre de l'Éducation nationale persiste dans sa volonté de passage en force. Cette réforme n'apporterait rien aux élèves, bien au contraire, et se mettrait en œuvre contre les personnels chargés de l'appliquer. L'intersyndicale du Second degré reste déterminée à combattre pour obtenir son abrogation et la réouverture de discussions sur d'autres bases.

Vous avez soutenu la pétition " un autre collège 2016 !" :
« La publication du décret et de l'arrêté définissant l'organisation du collège à partir de la rentrée 2016 met en place une réforme plus bureaucratique que pédagogique qui ne répondra pas aux besoins de formation de la jeunesse de ce pays, ne réduira pas l'échec scolaire et mettra profondément en cause l'égalité d'accès aux savoirs et aux qualifications sur le territoire.Elle est de plus un affront à une profession qui se bat au quotidien pour la réussite des jeunes qui lui sont confiés.

Les signataires demandent l'abrogation de ce décret et de cet arrêté et la reprise immédiate des discussions sur l'avenir du collège. »

La mobilisation se prolonge dans les établissements, mais aussi par une grande manifestation nationale à Paris le samedi 10 octobre après-midi. Nous vous invitons à poursuivre le combat en marchant avec nous. Rendez-vous à 13h30 à la station de RER Port-Royal, pour aller ensuite vers le Ministère. Vous trouverez confirmation du parcours sur http://unautrecollege2016.net/.

SNES-FSU, SNEP-FSU, SNFOLC, SNETAA-FO, SFSDPEP-FO, CGT Educ'action, SNEIP-CGT, SNALC-FGAF, SIES-FAEN, SNCL-FAEN, CNGA et A&D CFE-CGC, SNUEP-FSU, SUNDEP Solidaires

Source : http://www.convergence-sp.org/spip.php?articl...


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CGT Educ'action, Ferc-Cgt

Face aux attaques, réformes dans l'Education nationale, salaires bloqués, une seule solution : la riposte collective !

Le gouvernement bloque les salaires des fonctionnaires depuis plus de 5 ans et dans le privé il répond à toutes les exigences du patronat qui a beau jeu de renvoyer aux calendes grecques les négociations salariales alors que les 10 plus grandes fortunes ont augmenté de 53,5 milliards d'euros en 1 an.
Les qualifications ne sont pas reconnues et les salaires de début de carrière ont même baissé dans l'Education ces dernières années. 1 euro de plus de l'heure dans le privé et 8 % d'augmentation du point d'indice dans le public ce sont 15 milliards de plus pour la Sécu. C'est toute l'économie qui est pénalisée par la faiblesse des salaires.

Les services publics sont en difficulté. Les hôpitaux et universités frôlent l'asphyxie financière, les services de proximité sont supprimés ou appelés à fonctionner sur le régime marchand comme la Poste. Le s réformes territoriales se traduisent par des suppressions d'emplois massives et les usagers deviennent des clients dont la contribution est de plus en plus importante en matière d'Education, de Santé, de culture… les restructurations mettent en danger les missions et le statut des personnels, quand ils ne les épuisent pas !

Après l'accord ANI de 2013, qui facilite les licenciements, après la loi Macron qui banalise le travail du Dimanche et s'attaque aux prud'hommes, après la loi Rebsamen qui réduit les droits des représentants du personnel dans les entreprises, le gouvernement vient de lancer une nouvelle attaque contre nos droits : la réforme du Code du Travail. Le rapport « Combrexelle » prévoit d'inverser la hiérarchie des normes, transformant le Code du Travail, en simple socle minimal. Les accords d'entreprises inférieurs aux Conventions Collectives pourraient imposer des baisses de salaires, une augmentation du temps de travail ! Le refuser ce serait être licencié économique à moindre coût.

Les jeunes sont les premières victimes du chômage de masse qui sévit depuis de nombreuses années. Lorsqu'ils parviennent malgré tout sur le marché du travail, ils sont « bizutés » socialement. La précarité est pour eux la règle comme les bas salaires. Trop d'entre eux victimes d'un système scolaire souvent exclusif ne parviennent pas à acquérir la qualification à laquelle ils aspirent et, pour ceux qui y parviennent, elle est rarement reconnue.

L'insécurité sociale facteur de désespérance est en train de sacrifier toute une génération.

Source : http://cgteduc75.ouvaton.org/spip.php?article...