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jeudi 1er mai 2014 à 15h

14 parties : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14

Attention, ceci est la manifestation du 1er mai.

La prochaine grande manifestation aura lieu le 15 mai.
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Manifestation du 1er mai à Paris

Trajet / parcours : départ à 15h de Bastille, en direction de Nation
( par la rue du Faubourg Saint-Antoine )

Ordre des cortèges :

CGT, FSU, Solidaires, FO, Associations

Rendez-vous particuliers :

  • 10h30 - Manifestation banlieue est à Noisy-le-Grand
  • 11h - Manifestation libertaire - place des fêtes
  • 11h - barbecue, puis point fixe du NPA - Métro Faidherbe-Chaligny
  • 12h - Stand - Syndicat Unifié du Bâtiment - CNT - Square A. Trousseau
  • 12h - Salariés de Lafarge Algérie - en haut des marches du l'Opéra Bastille
  • 13h - ALBA / Amérique Latine - rv au Camion ALBA face à l'Opéra Bastille
  • 13h30 - Cortège féministe "Belleville" - angle rue de la Roquette / Bastille
  • 14h - Front Syndical de Classe - rv au Métro Ledru-Rollin
  • 14h - Point fixe AFPS, Palestine - 60 rue du Faubourg Saint-Antoine
  • 14h - Point fixe - Front populaire de Tunisie - 118 rue du Fbg St-Antoine
  • 14h30 - Rendez-vous Lutte Ouvrière - Métro Ledru-Rollin
  • 14h30 - STRASS- travailleurSEs du sexe - angle Bastille / rue de la Roquette
  • 14h30 - Rv Palestine - Bastille a l'entrée de la rue du Faubourg Saint-Antoine
  • 14h30 - Point fixe "Revenu de base" angle rue Fbg St Antoine / rue de reuilly
  • 14h30 - Point fixe "Contre la précarisation Convergence des luttes !"
    intermittents, chômeurs, précaires, Postiers du 92...
    261 rue du Fbg St Antoine (angle avec la rue Gonnet)
  • 15h - stand Siné Mensuel - 58 rue du Faubourg Saint-Antoine
  • 15h - Point fixe RESF - familles sans papiers - devant L'Hôpital St Antoine
  • Point fixe Attac - 118 rue du Faubourg-St-Antoine
  • bientôt, ici, sur Démosphère, d'autres rendez-vous d'organisations


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1er Mai

Communiqué commun CGT, FSU, Solidaires

Suite à leur rencontre le 9 avril, la CGT, la FSU et Solidaires appellent à poursuivre le processus de mobilisation massive des salariés, ouvert à toutes et à tous, notamment en créant les conditions de puissantes manifestations le 1er mai.

Avec les journées d'actions du 15 mai dans la Fonction publique, du 22 mai pour les Cheminots, du 3 juin pour les retraités et des initiatives revendicatives sous des formes diverses dans de nombreuses entreprises, ce 1er mai est une étape et un moteur pour amplifier la mobilisation des salariés.

Le gouvernement et le patronat aggravent l'exploitation des salariés à travers de nombreuses mesures en faveur du patronat, comme celles contenues dans le « pacte de responsabilité ». Le coût du travail est un faux débat, ce qui nous coûte c'est le capital.

Le bilan des élections municipales illustre le décalage entre les attentes et besoins des citoyens et les réponses du politique.

Le Président de la République a entendu mais n'a pas écouté les voix des salariés.

C'est d'un changement de cap dont nous avons besoin et, sans surprise, le discours du nouveau Premier Ministre ne répond pas à cette exigence. La CGT, la FSU et Solidaires affirment qu'il existe des alternatives.

L'augmentation des salaires et des pensions est possible et même indispensable pour améliorer la situation de nombreux salariés, privés d'emploi et retraités, et pour tirer toute notre économie vers le haut. Les aides publiques accordées aux entreprises doivent être remises à plat et évaluées en fonction de leur efficacité économique et sociale.

Une véritable justice sociale basée sur la solidarité entre les salariés, les privés d'emploi et les retraités garantira le financement de notre sécurité sociale.

Pour la solidarité entre les salariés et l'égalité des droits, le choix de la paix et le choix du social, la CGT, la FSU et Solidaires poursuivent avec tous les salariés, dans l'unité syndicale la plus large possible, le débat d'idées pour le progrès social.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/32121
Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?article1145


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Déclaration unitaire - 1er mai 2014

CGT URIF - Solidaires - FSU IdF - FO

Comme réponse à la sanction électorale des municipales, le Président de la République vient de nommer Manuel Valls à Matignon. Devant les députés, le nouveau Premier Ministre, vient de préciser le cap politique pour les années qui viennent.

Cela se résume en quelques mots : austérité renforcée, sacrifices et reculs sociaux amplifiés pour les salariés et nouveaux cadeaux pour le patronat et les grands actionnaires du CAC 40 !

C'est la poursuite et l'aggravation des politiques précédentes qui n'ont fait que nous enfoncer dans la crise et la régression sociale. Tous les salariés en payent le prix fort au quotidien.

Avec Manuel Valls, c'est le « pacte de responsabilité » puissance 2 ! Cet autisme politique nous mène droit dans le mur ! Nous poursuivrons notre combat contre ce pacte.

Cette politique d'austérité alimente le terreau sur lequel grandissent les idées les plus réactionnaires, le repli sur soi et la peur de l'avenir. Dans toute l'Europe, les idées d'extrême droite trouvent un écho en avançant des fausses solutions, dangereuses, en faisant mine de reprendre à leur compte les aspirations des salariés ! C'est un leurre pour avancer masqués !

Le Premier Ministre reprend à son compte le trop fameux « coût du travail » cher au patronat. -Thème dominant dans le débat public- sans jamais aborder la cause réelle de la crise actuelle : celle du coût du capital.

Le MEDEF rêvait d'en finir avec le financement de la sécurité sociale, par le biais des cotisations sociales : le nouveau Premier Ministre l'impose dans sa déclaration de politique générale à l'Assemblée. Tout comme il impose le pacte de responsabilité dans un vote global qui ne laisse aucune autre alternative.

Pour faire semblant d'avoir écouté les électeurs, il propose un pacte dit « de solidarité » au moment où ses annonces vont aggraver les sacrifices pour les salariés.

Ce « pacte de solidarité » s'apparente fortement aux « contreparties » avancées comme une compensation aux cadeaux fiscaux et régressions sociales contenues dans le pacte de responsabilités.

Pour nos quatre organisations syndicales régionales, il n'y a pas de contreparties négociables à la fin programmée de la sécurité sociale.

Cerise sur le gâteau, le nouveau gouvernement et le Président de la République annoncent un bouleversement total des structures politiques de notre république. Il se traduirait par une concentration des pouvoirs et l'éloignement des citoyens que nous sommes des centres de décisions remettant en cause la légitimité démocratique des collectivités territoriales.

Face à ces projets néfastes, la seule solution est une mobilisation sociale bousculant tous les scénarios envisagés d'avance qui ne visent qu'une chose au final : satisfaire les appétits des grands actionnaires et limiter toute intervention sociale et citoyenne.

A contrario, si nous voulons sortir de la crise et des difficultés sociales, il faut :

  • Augmenter les salaires, les pensions et les minimas sociaux ! Il y a urgence !
  • Investir dans l'emploi, et la formation professionnelle et initiale.
  • Répartir les richesses et s'attaquer aux logiques capitalistes.
  • Obtenir des droits nouveaux et réels pour les salariés dans les entreprises.

Notre mobilisation peut tout changer !

C'est la raison pour laquelle nos unions régionales CGT/FO/FSU et SOLIDAIRES invitent tous les salariés à se mobiliser ensemble et en masse pour faire de ce 1er mai 2014 une grande journée de mobilisation et de lutte.

Ce premier mai, c'est la journée des travailleurs(es) qui produisent les richesses !

Manifestation le 1er mai 2014 a 15H de Bastille a Nation

Ne laissons pas le MEDEF faire sa loi et imposer ses lois !

Source : http://www.urif.cgt.fr/wordpress/wordpress/?p...


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« Programme de stabilité » :

les salariés, les retraités et les privés d'emploi seuls à se répartir la facture !

CGT

La CGT dénonce le véritable plan d'austérité que vient de décliner le Premier ministre.

Les précautions oratoires du Premier ministre concernant la défense du SMIC et de notre modèle social ne suffisent pas à masquer l'inégalité de l'équation : 30 milliards d'euros de cadeaux au patronat = 50 milliards sur le dos des salariés, des privés d'emplois et des retraités, qui seront, au bout du compte, les seuls à se répartir la facture.

Ce n'est pas en appauvrissant les salariés que l'on relancera l'économie !

Le gel des prestations sociales et de la revalorisation des retraites, le recul d'un an de l'application du plan pauvreté sont autant de menaces sur le modèle social et la cohésion sociale de notre pays.

La poursuite, pour deux ans encore, du gel du point d'indice pour les fonctionnaires est, quant à elle, une véritable provocation.

Il ne suffit pas de prononcer toutes les cinq minutes les mots « modèle social » pour garantir sa pérennité.

Ce qu'il faut, c'est lui redonner son sens premier : garantir individuellement et collectivement le progrès social. Ce qu'il faut, c'est assurer la relance de la demande par une augmentation significative des salaires, des pensions et des prestations sociales. Ce qu'il faut, c'est assurer la préservation et le développement des Services Publics au service de l'intérêt général. Ce qu'il faut, c'est préserver, garantir notre système de santé, la protection sociale et son financement.

Les clés sont maintenant entre les mains des salariés : seuls le rassemblement et la mobilisation massive des salariés, des privés d'emploi et des retraités sont de nature à changer la donne. La CGT les appellent à exprimer le choix du progrès social dès le 1er mai, mais aussi sur leurs lieux de travail, dans les journées d'action professionnelles, telles que le 15 mai pour l'ensemble des fonctionnaires et le 22 mai pour les cheminots.

Source : http://www.financespubliques.cgt.fr/spip.php?...


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Journée de solidarité internationale du monde du travail

Union syndicale Solidaires

Dans les manifestations du Premier mai
Et chaque jour, dans les entreprises et les services
Unité syndicale pour gagner !

Une journée nationale de grève et de manifestations, le 18 mars…

Le 18 mars dernier à l'appel unitaire de CGT/FO/FSU/Solidaires, plusieurs secteurs étaient en grève et des dizaines de milliers de personnes ont participé aux manifestations. Face à des remises en cause de nombreux droits, de notre pouvoir d'achat et de nos emplois, nous avons besoin de journées de convergence, unifiant les luttes menées dans diverses professions et régions.

Pour l'Union syndicale Solidaires, il est de la responsabilité des organisations syndicales, non seulement de soutenir les travailleurs et les travailleuses qui agissent pour leurs revendications, mais aussi de favoriser le renforcement des luttes et leur issue victorieuse, notamment en les coordonnant nationalement.

Mais aussi des grèves et manifestations, chaque jour !

Ces derniers temps, il y a eu des grèves nationales à La Poste, la Sécurité Sociale, aux Finances publiques, à la Douane, etc. ; dans les semaines qui viennent, des grèves ou manifestations nationales sont prévues dans la Fonction publique, les centres d'appel, à la SNCF, pour les retraité-es, etc. Les chômeurs et les chômeuses, les intermittent-es sont en lutte, contre la régression de leurs droits. Et puis, il y a les innombrables conflits sociaux (grèves, débrayages, rassemblements, manifestations,…) qui se déroulent chaque jour, dans de nombreuses entreprises, dans toutes les régions, dans tous les secteurs professionnels.

Chaque jour, il y a des luttes sociales en France !

Les capitalistes nous coûtent cher !

Du pacte de responsabilité à l'accord UNEDIC, il est faut noter la différence de traitement entre deux catégories de personnes qui ne travaillent pas. Envers celles qui sont « inactives » parce que licenciées, non embauchées, voire discriminée, exclues, … on accroît sans cesse le contrôle social et les obligations, on réduit les revenus jusqu'à la misère. Mais pour les actionnaires qui ne vivent que de notre travail, on débloque des milliards, on « simplifie les procédures administratives », etc.

Le coût du travail est une invention des patrons pour justifier une exploitation toujours plus grande des salarié-es. Ce qui coûte, ce sont les sommes faramineuses confisquées par une toute petite minorité.

La répartition des richesses produites est une question centrale. Au-delà, dans les entreprises et les services, c'est la légitimité d'une minorité à décider pour tous et toutes que nous remettons en cause : puisque personne ne travaille pour nous, que personne ne décide pour nous ! La vraie démocratie sociale passe par là. Les services publics, les moyens que la société décide d'y consacrer, leur fonctionnement et la place des usagers, sont des priorités, car ils sont un moyen de la solidarité dans notre société.

Nous avons raison d'agir !

  • Avec Valls comme avec Ayrault, le gouvernement de François Hollande confirme son choix de mettre en oeuvre le pacte dit « de responsabilité », qui ne sert qu'à perpétuer l'enrichissement des actionnaires au détriment de l'immense majorité de la population.
  • Des organisations syndicales ont signé avec le patronat un accord qui détériore encore les droits des chômeurs et des chômeuses.
  • Le 1er avril, pour la première fois cette année, les pensions des retraité-es n'ont pas été revalorisées.
  • Dans la Fonction publique, les avancées sociales sont inexistantes et les reculs se poursuivent à travers la suppression de milliers de postes et la poursuite du gel des salaires.
  • A travers la métropolisation et les réformes territoriales, l'Etat détruit l'aménagement du territoire, institutionnalise les inégalités, condamne des régions et leurs populations.
  • Le patronat, fidèle à ses habitudes et à ses principes, empoche les « aides à l'emploi » payées par l'argent public et licencie à tour de bras ; il y est encouragé par la « loi d'insécurisation de l'emploi », issue de l'accord que certaines organisations syndicales, là encore, ont signé avec le patronat et à son seul profit.
  • La politique du gouvernement face à la crise, à l'accroissement du chômage et de la misère, l'absence de projet alternatif global, utopique et crédible, conjuguée au triste spectacle donné par nombre d'hommes et de femmes politiques, renforcent le désarroi populaire et provoquent des poussées nationalistes, racistes, homophobes, sexistes, réactionnaires, sous différentes formes.

Unité pour un 1er mai internationaliste,
revendicatif, résistant et conquérant !

Pour l'Union syndicale Solidaires, les initiatives prises par quatre organisations (CGT, FO, FSU, Solidaires), à plusieurs reprises depuis de nombreux mois, montrent une convergence sur l'essentiel : la volonté de pratiquer et de renforcer un syndicalisme qui n'a pas pour objet d'accompagner les décisions patronales, fussent-elles relayées par le gouvernement comme c'est souvent le cas.

L'Union syndicale Solidaires appelle à organiser de massives manifestations unitaires le Premier mai, dans l'unité, CGT, FO, FSU, Solidaires. C'est déjà le cas en Ile-de-France et dans plusieurs départements. Renforçons cet élan unitaire ! Dans l'unité, réaffirmons les valeurs portées par la majorité des salarié-es, à l'opposé des idées et pratiques réactionnaires de l'extrême-droite !

Unité pour conquérir de nouveaux droits et contribuer à une profonde transformation sociale !

Pour en finir avec les mauvais jours, pour renverser la tendance, arrêter les licenciements, réduire le temps de travail, transformer les emplois précaires en emplois statutaires ou à durée indéterminée, sauver nos retraites et la Sécurité Sociale, pour en finir avec les discours et les actes racistes ou sexistes, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et le renforcement des solidarités.

Organisons-nous et luttons contre le capitalisme et le patronat pour reprendre ce qu'ils nous ont volé !

Ensemble, nous sommes une force. C'est nous qui faisons tourner la société, pas les actionnaires qui s'enrichissent de notre travail ! Dans les entreprises et les services, discutons, élaborons des revendications qui nous unifient, débattons des actions à mener pour les faire aboutir, reprenons nos affaires et notre avenir en mains.

Source : http://www.solidaires.org/article47899.html


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Manifestons le 1er mai !

Lutte Ouvrière

Alors que le gouvernement de Manuel Valls lance un plan d'austérité qui est une véritable provocation envers les travailleurs et les classes populaires, on attend en vain la réplique de ceux qui s'affichent comme les défenseurs attitrés du monde du travail. Sans parler de la comédie lamentable d'élus socialistes qui voudraient se dédouaner, aucun des dirigeants des confédérations syndicales ne parle ou ne propose de riposter aux attaques gouvernementales et patronales.

Cette riposte est pourtant indispensable, si les travailleurs ne veulent pas voir bafouer une grande partie de leurs droits et laisser la crise de la société les enfoncer progressivement dans la misère. Il faut que les travailleurs les plus combatifs et les plus conscients la préparent, saisissent toutes les occasions de se regrouper, de manifester leur mécontentement, d'exprimer leurs exigences, d'entraîner d'autres à le faire avec eux.

La première occasion de manifester pourra être la journée du 1er mai, journée internationale de la classe ouvrière, qui est encore dans bien des pays une journée de grèves et de luttes. Les cortèges politiques et syndicaux organisés dans de nombreuses villes ce jour-là peuvent être l'occasion d'affirmer la nécessité d'une riposte et de populariser les objectifs de lutte des travailleurs, des objectifs qui doivent être aussi précis et concrets que peut l'être le plan de défense des intérêts capitalistes lancé par Valls et Hollande. Il en sera de même le 15 mai, journée à laquelle appellent certaines organisations syndicales pour les salariés des fonctions publiques, et qui pourrait être élargie à d'autres.

Une forte participation des travailleurs à ces journées peut être l'occasion de se mobiliser sur leur lieu de travail, dans leur localité, et de préparer une véritable riposte. C'est la seule chose qui peut amener les dirigeants syndicaux à faire d'autres propositions d'action, la seule surtout qui peut faire reculer le gouvernement.

Lutte Ouvrière sera présente dans les cortèges du 1er mai pour affirmer la nécessité d'une politique pour les travailleurs, face à la politique du gouvernement et du patronat. Elle appelle tous ses amis, sympathisants et militants à y participer nombreux.

À Paris la manifestation partira à 15h de la place de la Bastille en direction de la Nation. Le rendez-vous du cortège de Lutte Ouvrière est fixé à 14 h 30, au métro Ledru-Rollin.

Source : http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=ar...


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Irresponsabilité et austérité...

plus que jamais soyons mobilises le 1er mai !

CNT

Suite aux élections municipales et à la déculottée historique du Parti socialiste, le président de la République a fait le choix de nommé Manuel Valls à la tête du gouvernement. Sa proximité en terme d'idéologie libérale, raciste et sécuritaire avec la droite n'est un secret pour personne.

Ce tour de passe-passe ne visait pas à changer de politique mais bel et bien à accentuer la rigueur et l'austérité pour les classes populaires, celles que les électeurs et électrices avaient pourtant déjà dénoncées lors des élections précédentes. Ainsi, peu de temps après sa nomination, le premier ministre détaillait le fameux « Pacte de Responsabilité » annoncé en janvier, persistant dans la droite ligne de destruction des acquis sociaux et de libéralisation de l'économie déjà pratiquée par Jean Marc Ayrault et ses prédécesseurs de l'UMP.

Pourtant, cette défaite, notamment au regard de l'important taux d'abstention, envoie un message clair : celui de la contestation de la classe dominante et de ses politiques libérales. Malgré la persistance du vote pour les fascistes, cette abstention dénote une défiance massive des classes populaires envers les exploiteurs.

Reporter d'une année la revalorisation du RSA est une insulte et une infâme provocation vis-à-vis de l'ensemble des personnes touchées par le chômage, l'exclusion et la précarité. Cette situation n'a de cesse de faire le jeu de l'extrême droite, chaque jour apportant son lot de corruption, de passe droit, de fait du prince. Le PS voudrait donner le pays au Front national qu'il ne s'y prendrait pas autrement.

Accentuer la misère sociale, accompagner les plans de licenciements, offrir 50 milliards d'euros au patronat, développer la précarité, n'ont qu'un seul effet : accréditer le populisme brandi par les fascistes du Front national qui en profitent pour se faire passer aux yeux des classes populaires comme la seule alternative au système en place, ce qu'ils ne seront jamais !

En effet, la seule alternative sera issue de la lutte, celle qui par l'action directe des classes populaires fera émerger une autre répartition des richesses, une autre organisation sociale, et une autre organisation politique basée sur la démocratie directe. Le communisme libertaire, projet révolutionnaire porté par la CNT, basé sur la socialisation des moyens de production, d'échanges et de répartitions des richesses produites par ceux et celles qui travaillent est une urgence sociale, politique, économique et écologique.

À l'heure où de sombres nuages nous empêchent de voir la justice sociale, la liberté et la solidarité, la CNT affirme que chacun-e se doit de rejoindre le combat et de construire une dynamique de confrontation sociale contre l'État, le Capital et la classe politique.

La CNT appelle donc toutes et tous, quelles que soient leurs orientations syndicales, à venir manifester le 1er Mai afin de construire la riposte interprofessionnelle face au plan d'austérité du gouvernement qui avec ses 11 milliards d'euros de coupes budgétaires dans ses dotations aux collectivités locales impactera obligatoirement nos métiers et entreprises dont les structures dépendent en grandes parties des subventions ; qui avec ses 23 milliards d'économie sur la Sécurité sociale (hôpitaux, remboursements, allocations familiales, etc.) détruiront notre santé et appauvriront nos familles ; qui avec ses 18 milliards sur nos services publics dégraderont encore plus notre qualité de vie (éducation, culture, transports publics, etc.).

La CNT

Source : http://www.cnt-f.org/irresponsabilite-et-aust...


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1er mai, journée des travailleurSEs du sexe

STRASS

Rv Jeudi 1er mai, 14h30 angle place de la Bastille / rue de la Roquette.

Le 1er mai est la journée de touTEs les travailleurSEs, et donc des travailleurSEs du sexe

Lu sur STRASS : "Le nouveau gouvernement Valls a déjà annoncé plusieurs mesures qui n'auront pour conséquence que de toujours plus précariser les travailleurSEs, et au-delà, touTEs celles et ceux qui sont exploitéEs d'une manière ou d'une autre.

Alors que les femmes, les jeunes, les LGBTI, les étudiantEs, les immigréEs et les sans-papiers, sont davantage frappéEs par la rigueur économique, alors qu'il est impératif de remettre en cause les politiques d'austérité, et le désengagement de l'Etat de ses missions de service public, les seules mesures envisagées visent une fois de plus à alléger les cotisations patronales, et à rogner sur les prestations sociales dont bénéficient les plus pauvres.

Lire la suite ici

Source : http://www.strass-syndicat.org/2014/04/le-1er...
Source : http://endehors.net/news/le-1er-mai-est-la-jo...


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Après le 8 mars de Belleville, on est toujours là! On remet ça !

Les féministes du 8 mars mobilisées pour le 1er mai.

La manif part à 15h de Bastille.

Pour mettre l'ambiance et occuper le terrain, RDV dès 13h30 à l'angle de la rue de la Roquette et de la place de la Bastille avec :
...

  • des casseroles, des poêles, des cuillères, des louches, des rouleaux à pâtisseries et tout ce que vous voulez qui peut permettre de faire du bruit.
  • Vos slogans, vos chansons, des mégaphones
  • Vos pancartes, vos mots d'ordre
  • Et surtout : n'oubliez pas votre colère.

Voilà ce qu'on a à dire et qu'on criera dans cette manif :

TravailS invisibleS, ViolenceS invisibleS
Femmes : sortons de l'ombre !

Invisibilisé, dévalorisé, précaire, peu ou pas rémunéré, le travail des femmes est un instrument de contrôle global sur nos vies, nos corps et notre temps.

A la précarité professionnelle s'ajoute pour beaucoup d'entre nous la double peine de voir une très grande partie de notre travail invisibilisée et non-reconnue : les heures de travail domestique et de soins aux proches et aux enfants sont encore presqu'exclusivement effectuées par les femmes. Ce travail quotidien s'ajoute à notre travail salarié, lorsque nous en avons un, tout en ne générant aucun revenu.

Le travail reproductif est un travail productif : la preuve, de nombreuses femmes sont (très mal) payées pour le faire : ménage, garde d'enfants, lessive, repassage, cuisine, etc…

A temps partiel, non payées, au chômage, ou forcées d'être dans l'illégalité, nous, travailleuses, sommes mises quotidiennement en danger par une société dont les logiques capitalistes, racistes et sexistes touchent de plein fouet les femmes, nous privant d'une nécessaire autonomie.
Les femmes non-blanches et immigrées sont sur-représentées dans les boulots les plus ingrats, les plus précaires et les plus mal payés.
Les femmes portant le foulard sont aujourd'hui, quant à elles, purement et simplement exclues du monde du travail salarié.

Cette violence et ces inégalités ne sont pas sans conséquences, autres qu'économiques.
Violent, notre monde du travail comme le reste de nos vies, est un champ de bataille.

Les femmes, lesbiennes ou hétéros, sans enfants ou privées d'enfants subissent la violence d'une société qui, en même temps qu'elle ne reconnait pas l'éducation des enfants comme un travail, prive de respect celles qui, volontairement ou involontairement, ne sont pas mères.

Pour toutes le quotidien c'est également le viol, les violences sexistes, le harcèlement moral et sexuel, au boulot ou dans nos familles.

Notre repos n'est jamais total.

Pour les femmes, vivre, c'est combattre, et nous avons décidé de vivre.

Ce cortège fonctionne en autodéfense féministe. En cas d'agression physique ou verbale, la personne agressée ou qui assiste à une agression crie « DEGAGE ! » pour alerter l'ensemble du cortège et on se met en chaîne pour se protéger et faire reculer le ou les agresseurs.

Source : message reçu le 30 avril 11h


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Journée mondiale du travail

Osez le féminisme

Comme chaque année depuis sa création, Osez le féminisme ! sera présente dans les cortèges du traditionnel défilé du 1er mai, journée mondiale du travail.

L'occasion pour nous, association féministe de transformation sociale, progressiste et ancrée dans le mouvement social, de :

  • dénoncer les inégalités professionnelles et salariales persistantes,
  • porter nos revendications en matière d'égalité femmes-hommes au travail auprès d'un large public et en particulier ce jour-là auprès de syndicalistes et sympathisant-e-s des syndicats de salarié-e-s qui intègrent encore trop peu la spécificité de la situation faite aux femmes dans et autour de l'emploi,
  • marquer notre opposition aux politiques austéritaires menées depuis des années en France avec son lot de coupes dans les dépenses sociales et de mesures qui ne relancent pas la croissance mais accroissent la précarité voire la pauvreté des femmes tout particulièrement. Les dispositifs publics destinés à compenser, même imparfaitement, les inégalités femmes-hommes, en sont également affaiblis.
  • faire largement connaître l'impact de l'utilisation de critères discriminants d'évaluation des emplois sur les femmes occupant des emplois à prédominance féminine - dans le cadre de la campagne d'Osez le féminisme ! sur le sujet.

Soyons nombreuses et nombreux dans la rue le 1er mai 2014 !

Source : http://www.osezlefeminisme.fr/evenement/01052...


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Manifestation du 1er mai

Contre l'entreprise de déstabilisation en Amérique Latine

France Amérique Latine et l'Association des Ex-Prisonniers Politiques Chiliens en France appellent l'ensemble des organisations et des associations de solidarité avec les peuples d'Amérique Latine et des Caraïbes à se mobiliser pour dénoncer les politiques menées dans la région.

Après l'élan démocratique de cette dernière décennie aboutissant à la victoire de plusieurs gouvernements progressistes, les évènements récents en Amérique Latine nous rappellent que rien n'est jamais acquis. Les différents coups d'Etat « institutionnels » de ces dernières années au Paraguay et au Honduras, mais aussi les tentatives de déstabilisation de gouvernements élus démocratiquement en Equateur, au Venezuela et au Salvador, nous incitent à la vigileance. Dans ce contexte d'extrême agitation, la solidarité internationale doit se faire entendre et se mobiliser avec plus de vigueur !

A quelques semaines des élections européennes, il est important de noter que l'UE s'apprête à ratifier un traité de libre-échange avec le Pérou et la Colombie, mettant en péril les droits des peuples, au profit des intérêts du marché.

C'est avec le même cynisme que l'UE négocie, dans le plus grand secret, notre avenir dans le cadre d'un grand marché transatlantique avec les Etats-Unis, confirmant ainsi la supériorité des multinationales sur le droit des peuples.

C'est pourquoi, France Amérique Latine et l'association des Ex Prisonniers Politiques chiliens en France vous invitent au rassemblement de solidarité pour l'Amérique Latine et les Caraïbes, lors d'une grande mobilisation prévue jeudi 1er mai prochain.

Rendez-vous à 13h au 11 Faubourg St Antoine

Source : http://www.franceameriquelatine.org/spip.php?...


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Solidarité avec les salaries de Lafarge en Algérie

En grève de la faim depuis le 9 mars

Face à la suppression d'un tiers de salariés et de surcharge de travail au site Lafarge Oggaz en Algérie en quelques années, et aux promesses non tenues par la direction, en novembre 2013, les travailleurs désignent des délégués syndicaux pour des négociations.

Suite à une manifestation dans l'usine, 17 salariés ont été suspendus par Lafarge. L'entreprise les a attaqué en justice, leur reprochant d'avoir « interdit l'accès de l'usine aux employés désireux de travailler » et « mis en danger l'intégrité des installations industrielles ». Ces plaintes ont été déboutées par la justice algérienne qui a innocenté les grévistes.

La direction de leur syndicat, l'UGTA (Union générale des travailleurs Algériens), au lieu de soutenir les salariés, dissout l'union locale et retire ainsi la protection légale des représentants syndicaux.

Les salariés suspendus ont entamé depuis le 09 mars, une grève de la faim pour obtenir :

leur réintégration, le paiement des salaires et primes depuis leur suspension, le retrait des plaintes déposées par Lafarge contre eux, l'engagement de Lafarge de respecter les droits des travailleurs reconnus par la constitution algérienne, le droit de se syndiquer librement, la prise en charge par Lafarge des soins médicaux des travailleurs en grève de la faim.

Lafarge poursuit les pressions et menaces de sanctions sur les salariés qui se solidariseraient avec les grévistes.

Des actions de la part des familles des grévistes et des organisations algérienne continuent de s'organiser suite à l'appel à solidarité des grévistes de Lafarge.

Relayant cet appel, un comité de solidarité aux grévistes vient d'être créé en France, lieu du siège social de cette multinationale. Il est nécessaire et possible ici de faire plier Lafarge !

Solidarité internationale avec les grévistes de Lafarge !

Liberté d'organisation syndicale et respect du droit des travailleurs ici, en Algérie et ailleurs !

Rejoignez le comité de solidarité aux grévistes de Lafarge (Oggaz - Algérie) !

comite-lafarge@laposte.net

Le comité de solidarité aux grévistes de Lafarge du site Oggaz

Premiers signataires :

Militant-e-s algérien-ne-s (Samia Ammour, Fahima Laidoudi du RIRQP, Selma Oumari), Secrétariat International CNT-F

Source : message reçu sur ensemble-faldi le 30 avril 01h


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1er Mai 2014 : Pour un Changement International

Appel à la solidarité internationale avec le peuple tamoul

Et mobilisation contre les crimes commis par des dirigeants d'Etats envers les peuples.

Le Sri Lanka est accusé de Crimes de Guerre,

Crimes Contre Humanité, et responsable d'un génocide !

Plus de 70 000 personnes tuées, 146 679 tamouls portés disparus, 90 000 veuves, 30 000 handicapés, 40 000 orphelins

La Haut Commissaire de l'ONU aux Droits de l'homme, Madame Navi Pillay, a jugé "nécessaire une enquête internationale", après la publication d'un rapport accablant sur le Sri Lanka, où pourraient avoir été commis des crimes de guerre en 2009 contre les civils tamouls.

"Les témoignages et des informations crédibles contenues dans ce rapport appellent à une enquête complète, impartiale, indépendante et transparente", déclare le Haut Commissaire, citée dans un communiqué.

Les experts exhortent le Secrétaire général de l'ONU, Monsieur Ban Ki Moon, à mettre au point «un mécanisme d'enquête internationale» pour enquêter sur cette période. Mais ce dernier a annoncé qu'il n'avait pas le pouvoir d'ordonner une enquête internationale sur ces exactions présumées.

Dans leur rapport, publié malgré de fortes pressions du Sri Lanka et des pays alliés, les experts critiquent en effet l'ONU pour ne pas avoir mis en œuvre tous les moyens à leur disposition pour protéger les civils.

Selon ce document, «des allégations crédibles font état d'un grand nombre de violations graves de la loi humanitaire internationale et des droits internationaux. Certaines d'entre elles peuvent être assimilées à des crimes de guerre et à des crimes contre l'humanité», poursuit le rapport. Les forces gouvernementales «ont systématiquement bombardé des hôpitaux sur les lignes de front», bien que leurs localisations aient été connues.

Nos requêtes :

  • Une demande d'ouverture d'enquête par la communauté internationale à l'encontre du Sri Lanka pour avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, et qu'un tribunal spécial soit crée sous le contrôle de la Cour Internationale de Justice de la Haye.
  • Une enquête internationale indépendante et impartiale.
  • Le Sri Lanka et tout autre Etat ne respectant pas la Charte et les conventions internationales devraient être bannis de leur statut d'état membre de l'ONU pour non respect de la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, de la Charte de l'ONU.
  • Une solidarité de la part des concitoyens français en arrêtant de choisir le Sri Lanka comme destination de vacances et de boycotter les produits originaires du Sri Lanka, qui ne consacre aucun fond dans la réhabilitation des victimes touchées par la guerre.
  • Une rupture diplomatique de l'Etat français et des états européens envers l'Etat sri lankais.

A l'issue la Seconde guerre mondiale, les grandes puissances ont déclarées "Plus jamais ça", mais il existe encore des états comme le Sri Lanka qui continuent à reproduire ces processus d'extermination à l'égard de peuples innocents pour satisfaire des intérêts purement économique et par soif de pouvoir.

Il appartient à la diaspora tamoule et à la communauté internationale d'empêcher cet abus de pouvoir et d'empêcher que d'autres crimes ne soient commis.

Le peuple tamoul demande au peuple français de se mobiliser à ses côtés pour obtenir justice !

Source : message reçu le 18 avril 22h
Source : message reçu sur sortir du colonialisme le 23 avril 22h