jeudi 15 mai 2014 à 14h
Manifestation à Paris - Fonction publique
https://paris.demosphere.net/rv/32573
Trajet/parcours : Départ 14h de Denfert-Rochereau en direction des Invalides.
Denfert >Bd. Raspail > Bd. du Montparnasse > Invalides
Ordre des cortèges:
CGT- CFDT-FSU-Solidaires-UNSA-CFTC-FAFP, [ FO ? ]
Rendez-vous particuliers :
- 14h : Rendez-vous de Lutte Ouvrière au Métro Raspail
- 14h: Rv CNT - croisement bd Arago / av. général Leclerc (face à la pharmacie)
- bientôt, ici, sur Démosphère, d'autres rendez-vous d'organisations
Fonction publique : journée nationale d'action le 15 mai
« STOP » à la baisse du pouvoir d'achat
Les organisations CFDT - CFTC - CGT - FA-FP - FSU - Solidaires - UNSA
se mobilisent avec les agents pour dire « STOP » à la baisse du pouvoir d'achat
Ensemble, nous exigeons :
1 - Des rémunérations revalorisées.
2 - Des emplois publics de qualité correspondant aux besoins.
1 - Des rémunérations revalorisées
La politique d'austérité fait peser, depuis des années, une contrainte lourde sur les rémunérations des agents dans la
Fonction publique :
- Blocage de la valeur du point d'indice, ralentissement des avancements, stagnation des grilles indiciaires.
- La politique salariale privilégie l'individualisation des rémunérations au détriment du dispositif collectif. La part des primes et indemnités augmente par rapport au traitement de base.
Les organisations syndicales revendiquent :
- Une revalorisation immédiate du point d'indice
- La refonte de la grille pour une meilleure reconnaissance des compétences et des qualifications
- L'intégration d'une large partie des primes dans le traitement indiciaire
2 - Pour la qualité de l'emploi public
Dans toute la Fonction publique, les conditions de travail n'en finissent plus de se dégrader. Les abandons de mission, les suppressions d'emploi, la détérioration des conditions matérielles font perdre le sens du travail et créent des situations intenables pour les agents.
Les organisations syndicales dénoncent la précarisation de l'emploi public et la multiplication des emplois à temps incomplet.
Elles revendiquent :
- Des emplois pour faire face aux besoins
- Le développement des garanties pour les contractuels
- Des perspectives de carrière et de mobilité pour tous les agents
- La possibilité d'exercer des missions de service public dans de conditions décentes.
Pour tous et partout sur tout le territoire, des services publics efficaces qui répondent aux besoins d'aujourd'hui et qui anticipent ceux de demain.
Les organisations syndicales CFDT - CFTC - CGT - FA-FP - FSU - Solidaires - UNSA appellent les agents des trois versants de la Fonction publique à une journée nationale d'action et de mobilisation le 15 mai prochain, journée qui pourra prendre des formes diversifiées (rassemblements, manifestations, grèves, arrêts de travail...)
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/32573
Source : http://sudeducation75.org/spip.php?article641
Le jeudi 15 mai :
Un rendez-vous unitaire contre l'austerite !
CGT URIF
Aujourd'hui, les politiques d'austérité engendrent de graves conséquences pour les salariés, retraités, fonctionnaires. Le pacte de responsabilité voulu par le gouvernement, se traduirait par un cadeau de 30 milliards pour le patronat et 50 milliards d'économies sur le dos des salariés et des services publics ! Cela est inacceptable !
Il faut au contraire répondre aux besoins de la population, renforcer les services publics à l'école, la justice, les transports, la santé….
Alors que notre pays souffre d'un manque de croissance économique, il faut rompre avec les politiques d'austérité, il faut relancer le pouvoir d'achat, augmenter les salaires pour favoriser la consommation, relancer la croissance !
Le jeudi 15 mai, de nombreuses organisations syndicales appellent les agents des services publics, fonction publique, santé… à participer massivement à une journée de mobilisation, de grèves, de manifestations.
L'Union Régionale CGT souhaite contribuer à la préparation et à la réussite du 15 mai prochain. Sur l'Île-de-France, une manifestation unitaire sera organisée à 14h00 de Denfert Rochereau vers le Boulevard des Invalides.
Le 15 mai 2014 .... La fonction publique sera dans la rue !
SUD / Solidaires
Trop ... c'est trop !
Halte à la régression salariale.
Halte aux suppressions d'emplois.
Halte à la destruction de la fonction publique et des services publics
La politique d'austérité choisie par le gouvernement cible la fonction publique comme « la principale » responsable du déséquilibre budgétaire.
Le Premier ministre a affirmé qu'il fallait poursuivre le redressement des comptes publics « tout au long du quinquennat » et confirmé l'objectif de réduire de 50 milliards d'euros la dépense publique de 2015 à 2017. Sur ces 50 milliards, « l'Etat et ses agences en prendront la plus grande part, 19 milliards d'euros ; 10 milliards proviendront de l'assurance-maladie et 10 milliards supplémentaires des collectivités locales », et « le reste viendra d'une plus grande justice, d'une mise en cohérence et d'une meilleure lisibilité de notre système de prestations ».
S'il est évident que toutes les citoyennes et tous les citoyens seront impactés par ces réductions des dépenses publiques, il est tout aussi évident que les services publics et leurs agents le seront aussi !
A l'Etat, ce sera la poursuite de la politique régressive en matière d'emplois et de restructurations sur l'ensemble du territoire. La MAP (modernisation de l'action publique) continuera son travail de sape dans le but d'atteindre l'objectif de réductions budgétaires.
Encore une fois, le monde de la santé ne sera pas épargné et l'hôpital sera en ligne de mire.
La réforme territoriale annoncée (projet de diminution par deux du nombre des régions, disparition des départements et développement de l'intercommunalité) aura de graves conséquences pour l'ensemble des personnels du versant territorial.
Et pour toutes et tous, ce sera la poursuite du blocage des salaires, sans aucune perspective d'augmentation d'ici 2017 !!! Du jamais vu dans la fonction publique !
Le 19 mai doivent, en principe, s'ouvrir les négociations autour des questions des parcours professionnels, carrières et rémunérations (suite du rapport Pêcheur).
Au vu des annonces politiques faites par le Président de la République et le Premier ministre, il est manifeste que la ministre de la fonction publique n'aura aucune marge de manœuvre pour ouvrir de véritables négociations.
Solidaires Fonction Publique appelle tous les agents de la fonction publique à se mobiliser et à construire, dès maintenant, les conditions de la réussite de la journée de grève et de manifestations du 15 mai.
Dans l'unité la plus large, le 15 mai 2014, exigeons ...
- la hausse de nos salaires
- le rattrapage de nos pertes de pouvoir d'achat
- les créations d'emplois nécessaires à l'accomplissement de toutes nos missions.
Toutes et tous en grève, manifestons sur l'ensemble du territoire.
Solidaires Fonction Publique
01 58 39 30 20 www.solidaires.org
Source : http://sudeducation75.org/spip.php?article641
Fonction publique : journée nationale d'action le 15 mai
CFDT - CFTC - CGT - FA-FP - FSU - SOLIDAIRES - UNSA
Les organisations syndicales CFDT - CFTC - CGT - FA-FP - FSU - SOLIDAIRES - UNSA, dénoncent une nouvelle fois, l'absence de négociations salariales dans la Fonction publique et la dégradation de la qualité de l'emploi public.
La politique d'austérité salariale menée par le gouvernement à l'égard des agents publics aboutit à une baisse incessante de leur pouvoir d'achat. Pourtant son amélioration est un objectif affiché du nouveau gouvernement.
Le contentieux salarial s'accumule et la poursuite du gel du point d'indice est inacceptable !
Les agents de la fonction publique jouent un rôle déterminant dans notre société.
La qualité des services rendus aux usagers est leur préoccupation majeure.
La reconnaissance de leur travail ne peut donc plus attendre.
Le gouvernement doit ouvrir sans délai de réelles négociations sur les rémunérations et garantir des emplois publics de qualité correspondant aux besoins.
Les organisations syndicales exigent une revalorisation immédiate du point d'indice, la refonte de la grille indiciaire permettant la revalorisation de tous les métiers et des mesures de rattrapage.
Elles appellent les agents des trois versants de la Fonction publique à une journée nationale d'action et de mobilisation le 15 mai prochain, journée qui pourra prendre des formes diversifiées (rassemblements, manifestations, grèves, arrêts de travail...).
Source : http://www.csd93.fr/?p=620
Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?article1143
Le 15 mai prochain,
journée pour le pouvoir d'achat et emploi des fonctionnaires !
Les organisations syndicales de fonctionnaires CFDT, CFTC, CGT, FA-FP, FSU, Solidaires, UNSA se mobilisent avec les agents pour dire "stop" à la baisse du pouvoir d'achat.
Ce sera sans doute une réponse forte aux annonces de Manuel Valls d'hier et notamment à celle qui concerne la poursuite, pour deux ans encore, du gel du point d'indice pour les fonctionnaires.
Cette journée pourra prendre des formes diversifiées rassemblements, manifestations, grèves, arrêts de travail...)
Elles exigent "des rémunérations revalorisées et des emplois publics de qualité correspondant aux besoins".
Concernant la politique salariale les syndicats dénoncent le blocage de la valeur du point d'indice, le ralentissement des avancements, stagnation des grilles indiciaires.
"La politique salariale privilégie l'individualisation des rémunérations au détriment du dispositif collectif.
La part des primes et indemnités augmente par rapport au traitement de base", écrivent les 7 syndicats dans leur appel unitaire. Les organisations syndicales revendiquent :
- une revalorisation immédiate du point d'indice ;
- la refonte de la grille pour une meilleure reconnaissance des compétences et des qualifications ;
- l'intégration d'une large partie des primes dans le traitement indiciaire.
Sur le volet de l'emploi, les syndicats de fonctionnaires dénoncent "la précarisation de l'emploi public et la multiplication des emplois à temps incomplet." Ils revendiquent :
- des emplois pour faire face aux besoins ;
- le développement des garanties pour les contractuels ;
- des perspectives de carrière et de mobilité pour tous les agents ;
- la possibilité d'exercer des missions de service public dans de conditions décentes.
Toutes et tous en grève et dans les manifestations le 15 mai
CGT
Pour les salaires, l'emploi, les missions publiques contre l'austérité !
A l'appel de la quasi totalité des organisations syndicales (CGT, CFDT, UNSA, FSU, SOLIDAIRES, CFTC et FA-FPT, rejointe par FO dans un appel convergent) le 15 mai prochain doit constituer un temps fort de mobilisation dans les 3 versants de la Fonction Retour ligne automatique publique.
Les raisons qui motivent cette journée d'action ne manquent pas.
Le discours de politique générale de Manuel VALLS, le 8 avril et son intervention du 16 avril à l'issue du conseil des ministres ne peuvent encore que renforcer nos motivations et notre détermination.
Sur la question des salaires et du pouvoir d'achat la situation imposée aux agents est catastrophique et absolument sans précédent. Le gel de la valeur du point entamé sous l'ère Sarkozy en 2010 a été maintenu depuis l'élection de François Hollande.
Résultat : les pertes de pouvoir d'achat s'accumulent comme jamais, les qualifications ne sont plus reconnues, les déroulements de carrière sont étriqués et misérables. Un nombre considérable de salariés ne peuvent plus joindre les deux bouts. Et le nouveau Premier ministre vient d'annoncer qu'il entend maintenir le gel du point, sans doute même jusqu'en 2017.
Sur la question de l'emploi aucun début de réponse n'est apporté au sous-effectif alarmant des hôpitaux publics, bien au contraire. L'étranglement budgétaire dans la Fonction Publique Hospitalière conduit à des plans sociaux par le non renouvellement des contractuels, des départs en retraite … Des milliers d'emplois sont concernés. Sur le versant de l'État, les secteurs décrétés non prioritaires - de loin les plus nombreux - continuent de subir des suppressions massives et dangereuses. Dans la Fonction publique territoriale, les coupes dans les dotations financières conduisent à un nombre croissant de plans de réduction de l'emploi. Partout, la précarité est malheureusement toujours à l'ordre du jour.
Les amputations budgétaires massives viennent mettre à mal les moyens de fonctionnement de tous les services.
Tout cela conduit à des conditions de travail qui ne cessent de se dégrader.
Certes, les discours fleurissent sur l'importance des services publics, de leurs missions. Mais, dans la réalité, non seulement les réformes permettant de rompre avec la politique désastreuse de la droite se font cruellement attendre, mais ceux qui gouvernent depuis le printemps 2012 prennent des décisions qui aggravent encore la situation.
On aurait pu espérer que la débâcle qu'ils viennent de subir aux élections municipales soit un électrochoc salutaire et les conduisent à entendre qu'une toute autre politique - conforme aux souhaits exprimés lors de l'élection présidentielle - doit d'urgence être mise en œuvre.
Eh bien, pas du tout : c'est exactement le contraire qui se produit !
Dans son discours de politique générale le 8 avril et son intervention du 16, le nouveau Premier ministre, Manuel Valls, confirme et amplifie la politique d'austérité menée : validation de l'inacceptable pacte de responsabilité, nouveaux et nombreux cadeaux - sans contrepartie aucune - au patronat, nouvelles attaques contre la protection sociale, gel des retraites et des prestations familiales...
Des amputations budgétaires massives sont mises en avant : 19 milliards pour l'État, 10 milliards pour la protection sociale, 10 milliards sur le versant territorial.
Ces coupes supplémentaires et drastiques ne pourront avoir que des conséquences dramatiques sur le service public et ses agents et, bien entendu, la population. D'ores et déjà, des annonces commencent à tomber qui font froid dans le dos.
Inutile de dire que, dans un tel contexte d'austérité décuplée, le dégel de la valeur du point pour 2014 - et même 2015 - n'est bien sûr pas à l'ordre du jour.
Enfin, cerise sur le gâteau, le Premier ministre annonce la suppression de la moitié des régions à l'horizon 2017 et la suppression des conseils départementaux pour 2021. Sous l'alibi fallacieux du supposé « millefeuille administratif », c'est bien d'une casse en règle de l'organisation démocratique de la République dont il s'agit.
Cette politique libérale renforcée ne peut bénéficier qu'au grand patronat et aux gros actionnaires.
Pour l'immense majorité, elle ne peut que conduire droit dans le mur, accroître les inégalités, casser les services publics, augmenter le chômage…
Pourtant, les alternatives existent bel et bien.
Répondant aux besoins de justice sociale, de développement humain durable, elles sont possibles et crédibles.
Pour cela, il faut notamment s'en prendre aux profits colossaux des grands groupes, aux dividendes vertigineux versés aux plus fortunés, remettre en cause les plus de 200 milliards d'aides diverses versées aux entreprises qui sont la vraie cause des déficits publics et dont l'utilité est nulle….
Redonner du pouvoir d'achat aux salariés par l'augmentation de leur feuille de paie, en plus d'être d'une justice élémentaire, c'est se donner les moyens d'une véritable relance, équilibrée et pérenne.
Développer les missions publiques, renforcer les services publics, c'est plus d'équité, de progrès social, de développement humain durable.
Face à la surdité persistante de nos interlocuteurs, l'heure est donc résolument à l'action.
Dans le cadre de la journée unitaire du 15 mai, la CGT appelle les agents de la Fonction publique à se mettre en grève et à participer massivement aux manifestations.
Pour
- L'augmentation immédiate de la valeur du point
- La fin des suppressions d'emplois et des créations partout où c'est nécessaire
- La reconnaissance des qualifications et l'amélioration des déroulements de carrière
- Des mesures fortes contre la précarité
- Des moyens pour les services publics et leurs missions
15 mai : on arrête tout, on prend la rue ! Grève !
SUD Education
Tous les personnels subissent des aggravations sans précédent de leurs conditions de travail : ARE, les congés maladie qui ont explosé ces derniers mois, les remplacements ne sont pas assurés. Pour les personnels d'animation et les agent-e-s la précarité a augmenté. À cette situation locale très tendue, s'ajoute le contexte national : gel des salaires et petits arrangements des rythmes scolaires avec les maires. De qui se moque-t-on ? Il nous faut renouer avec le dynamisme de la lutte pour imposer d'autres alternatives ! Utilisons la journée du 15 mai pour nous réunir en AG et décider ensemble de ce que nous voulons !
La manifestation partira de Denfert-Rocherau à 14h et se dirigera vers les Invalides. L'ordre du cortège sera le suivant : CGT-CFDT-FSU-Solidaires-UNSA-CFTC...
Bonne grève et manifestation !
à la DGFIP le 15 mai poursuivons l'action !
Tract intersyndical Finances publiques
Les organisations syndicales de la DGFiP Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques, FO DGFiP et CFDT Finances Publiques ont engagé ensemble et de longue date un mouvement unitaire (grève de novembre 2012, manifeste intersyndical et États Généraux en 2013, communiqués de presse et interpellation des élus locaux début 2014…) .condamnant la baisse des moyens de la DGFiP et revendiquant une meilleure reconnaissance des agents en termes de pouvoir d'achat, de missions et de conditions de travail.
A leur appel, les agents des finances publiques se sont fortement mobilisés le 20 mars dernier pour rappeler leur opposition à la politique menée à la DGFiP dans le cadre de la démarche stratégique, malgré les manipulations de la Direction Générale. A l'heure ou le gouvernement a d'ores et déjà annoncé économiser 50 milliards d'euros, dont 19 milliards dans la Fonction Publique d'État,la DGFiP ne doit pas maintenant supporter les effets néfastes du pacte de responsabilité ! Le discours du Premier Ministre du 16 avril confirmant le gel de la valeur du point d'indice jusqu'en 2017 comme des pensions et annonçant la poursuite des suppressions d'emplois dans les ministères dits « non prioritaires » sont autant de marques d'un profond mépris pour tous les fonctionnaires !
Seule une forte mobilisation pourra freiner cette politique de recul social. Les syndicats Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques, FO DGFiP et CFDT Finances Publiques affirment qu'il est important de poursuivre ensemble la mobilisation.
Les agents des Finances Publiques doivent, par la grève et les actions le 15 mai prochain, clairement marquer leur détermination à arrêter les suppressions d'emplois et la réduction de leurs moyens de fonctionnement quotidiens. Ils revendiqueront également une forte augmentation de leur rémunération afin d'améliorer leur pouvoir d'achat et combattront la politique de régression orchestrée en matière de promotion..
Dans ces conditions, les syndicats Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques, FO DGFiP et CFDT Finances Publiques, , s'inscrivent dans la journée Fonction Publique du 15 mai en pleine campagne IR et à l'occasion de l'échéance d'un acompte provisionnel, pour en faire une journée de grève, d'actions et de mobilisations à la DGFiP.
Pour la défense du service public et de leurs missions, la reconnaissance de leur engagement professionnel, l'augmentation de leur pouvoir d'achat et l'amélioration de leurs conditions de travail !
Toutes et tous en grève et dans l'action le jeudi 15 mai 2014
Tous.tes en grève le 15 mai 2014 !
Solidaires Fonction publique
Trop ... c'est trop !
Halte à la régression salariale.
Halte aux suppressions d'emplois.
Halte à la destruction de la fonction publique et des services publics
La politique d'austérité choisie par le gouvernement cible la fonction publique comme « la principale » responsable du déséquilibre budgétaire. Le Premier ministre a affirmé qu'il fallait poursuivre le redressement des comptes publics « tout au long du quinquennat » et confirmé l'objectif de réduire de 50 milliards d'euros la dépense publique de 2015 à 2017. Sur ces 50 milliards, « l'Etat et ses agences en prendront la plus grande part, 19 milliards d'euros ; 10 milliards proviendront de l'assurance-maladie et 10 milliards supplémentaires des collectivités locales », et « le reste viendra d'une plus grande justice, d'une mise en cohérence et d'une meilleure lisibilité de notre système de prestations ».
S'il est évident que toutes les citoyennes et tous les citoyens seront impactés par ces réductions des dépenses publiques, il est tout aussi évident que les services publics et leurs agents le seront aussi !
A l'Etat, ce sera la poursuite de la politique régressive en matière d'emplois et de restructurations sur l'ensemble du territoire. La MAP (modernisation de l'action publique) continuera son travail de sape dans le but d'atteindre l'objectif de réductions budgétaires. Encore une fois, le monde de la santé ne sera pas épargné et l'hôpital sera en ligne de mire.
La réforme territoriale annoncée (projet de diminution par deux du nombre des régions, disparition des départements et développement de l'intercommunalité) aura de graves conséquences pour l'ensemble des personnels du versant territorial.
Et pour toutes et tous, ce sera la poursuite du blocage des salaires, sans aucune perspective d'augmentation d'ici 2017 !!!
Du jamais vu dans la fonction publique !
Le 19 mai doivent, en principe, s'ouvrir les négociations autour des questions des parcours professionnels, carrières et rémunérations (suite du rapport Pêcheur). Au vu des annonces politiques faites par le Président de la République et le Premier ministre, il est manifeste que la ministre de la fonction publique n'aura aucune marge de manœuvre pour ouvrir de véritables négociations.
Solidaires Fonction Publique appelle tous les agents de la fonction publique à se mobiliser et à construire, dès maintenant, les conditions de la réussite de la journée de grève et de manifestations du 15 mai.
Le 15 mai 2014 ....
La fonction publique sera dans la rue !
Dans l'unité la plus large, le 15 mai 2014, exigeons ...
- la hausse de nos salaires
- le rattrapage de nos pertes de pouvoir d'achat
- les créations d'emplois nécessaires à l'accomplissement de toutes nos missions.
Toutes et tous en grève, manifestons sur l'ensemble du territoire.
Préavis de grève 15 mai dans la Fonction Publique de l'Etat
Le jeudi 15 mai sera l'occasion d'une journée d'action unitaire dans la Fonction publique pour la défense des salaires, de l'emploi et des services publics et pour globalement refuser les orientations gouvernementales, en particulier le pacte de responsabilité et les perspectives de nouvelles coupes drastiques dans les dépenses publiques socialement utiles.
Dans le cadre de cette journée, l'UGFF-CGT appelle les personnels à cesser le travail.
Ci-joint préavis de grève pour la journée du 15 mai 2014, ainsi que pour les nuitées en amont et en aval de celle-ci pour les agents travaillant en horaires décalés.
Ce préavis concerne l'ensemble de la Fonction publique de l'Etat.
Appel à la manifestation du 15 mai dans la fonction publique
Tract CNT
Point de RDV : 14h Denfert-Rochereau au croisement boulevard arago / avenue du général leclerc face à la pharmacie
La section CNT-SUB-Equipement Aménagement Logement se joindra à la manifestation du 15 mai prochain contre la privatisation du service public au seul profit du capital.
Depuis plusieurs années, on nous oblige à nous serrer la ceinture au nom d'une pseudo « croissance ». Or, nous ne travaillons pas dans la fonction publique pour grossir les fortunes capitalistes, mais bien pour servir la population et défendre notre bien commun.
C'est ce bien commun qui est mis en danger par les décisions des gouvernements successifs. Par la brutalité des réorganisations des services, par la brutalité des réductions d'effectifs et par la brutalité des méthodes de management, ils nous entraînent dans la précarité. Cette précarisation de la fonction publique et le démantèlement progressif des services publics ont pour but de nous soumettre au diktat des intérêts particuliers du patronat et de la finance.
Le constat est sans équivoque : les nombreux dysfonctionnements constatés dans notre ministère sont la conséquence d'une volonté délibérée de la classe dirigeante d'affaiblir le service public pour mieux le vendre au secteur privé. Tant dans leur fonctionnement que dans leur finalité, nos ministères sont guidés par des politiques d'inspiration libérales visant à introduire la concurrence et la compétition économique à tous les niveaux : entre les territoires, entre les services, entre les agents...
Aujourd'hui, si les missions sont assurées tant bien que mal, c'est parce que les agents compensent les désorganisations par leur sens du service public... et de la débrouille, au prix d'un sur-investissement néfaste pour leur santé. Cela n'est plus tenable. Nous n'avons pas à compenser les défaillances organisationnelles des services par la sur-exploitation.
Nous n'avons pas à camoufler les échecs de la RGPP et de la MAP, ni à taire les continuels abandons de missions. Le ministère du développement durable se met au service des lobbys (à l'image de ces sociétés au personnel réduit profitant grassement de l'éco-taxe) et est livré à l'avidité des cabinets de consultants ou de coachs s'engraissant de l'argent public (cf. le scandale du logiciel de l'Office National de Paye). Les missions essentielles sont sous-dimensionnées car les crédits publics sont de plus en plus détournés vers les « partenaires » privés.
En tant qu'agents du service public, nous devons exposer cette réalité aux usagers, qui sont les premiers concernés.
En tant que travailleurs de l'Équipement, de l'Aménagement et du Logement, nous devons rompre avec les stratégies suivistes de relance par la consommation et sortir de la logique du profit.
Au delà des interrogations légitimes sur l'efficacité des grèves d'un jour, nous souhaitons que cette journée du 15 mai marque le début d'une lutte organisée. Donnons-nous les moyens de préparer vraiment les grèves de demain car ce n'est pas par la négociation que nous gagnerons mais bien par le rapport de force.
Par notre organisation de classe, le syndicat, nous pouvons réfléchir collectivement, défendre et développer nos propres valeurs pour en finir avec la soumission aux intérêts de la classe dirigeante !
Le 15 mai, affirmer l'unité du monde du travail
Lutte Ouvrière
Le 15 mai, affirmer l'unité du monde du travail pour la défense des emplois, des salaires et des pensions et pour dire non au plan Valls-Hollande
Avant même l'annonce du plan Valls, sept fédérations de fonctionnaires avaient pris l'initiative d'appeler à une journée de grève et de manifestation le 15 mai pour le pouvoir d'achat et l'emploi. La provocation des annonces gouvernementales a donné à cet appel une actualité qui dépasse largement la seule fonction publique, et devrait concerner l'ensemble du monde du travail.
Les attaques contre les ressources des 5,5 millions de salariés des différentes fonctions publiques (État, collectivités territoriales et santé) se sont particulièrement aggravées. Les salaires devraient être bloqués jusqu'en 2017, ce qui ferait sept ans de blocage avec celui déjà institué par Sarkozy. Des centaines de milliers de postes devraient être supprimés « pour assainir, est-il annoncé, les finances publiques », en réalité pour remplir les poches du grand patronat qui va se voir offrir 40 milliards de cadeaux divers par Hollande-Valls. Toute la population laborieuse va en fait devoir payer l'addition, avec des hôpitaux fermés, des services à la population restreints, c'est-à-dire une vie partout plus difficile dans les quartiers et villes populaires.
Mais il n'y a pas que le secteur public qui est visé. Tous les autres salariés ou ex-salariés sont sur la sellette. D'abord les retraités, même si l'énormité des attaques annoncées a amené Valls, pour un temps, a en exclure les plus petites retraites. Et puis tous les autres salariés voient leurs salaires, leurs emplois, leurs droits ouvertement menacés par ce gouvernement, qui se conduit en véritable homme de main du patronat.
Depuis qu'il est en place Hollande dit et répète qu'il faut « redonner de la compétitivité aux entreprises », ce qui dans son langage signifie soutenir leurs propriétaires en s'en prenant à l'ensemble des conditions d'existence de millions de salariés. Il faut « faire baisser le coût du travail », voilà ce qu dit et répète le gouvernement, repris en chœur par tous les économistes autoproclamés, laudateurs d'un système qui les fait vivre. Alors oui, c'est l'ensemble des classes laborieuses qui devraient dire : trop c'est trop, assez de sacrifices pour ceux qui ne vivent que de leur travail pendant que les plus riches croulent sous les milliards extorqués.
Toute la politique du patronat et du gouvernement est de diviser les travailleurs en catégories, en faisant croire que les uns et les autres ont des intérêts particuliers, voire divergents. C'est là un mensonge. Si les millions de travailleurs se rassemblaient pour défendre leurs intérêts communs, ils seraient alors une force irrésistible qui ferait trembler le camp des possédants, comme cela s'est fait dans le passé, en 1936 comme en 1968.
Bien des travailleurs, bien des militants en ressentent la nécessité, même si cela n'est pas toujours exprimé clairement, tant les dirigeants des grandes centrales syndicales se gardent de fixer une telle perspective. Alors ce sont les travailleurs eux-mêmes, avec tous ceux qui veulent œuvrer dans ce sens, qui peuvent changer la donne en obligeant les chefs syndicaux à changer de ton, en les forçant à agir.
Au-delà de la fonction publique, des appels ont déjà été lancés dans la santé et à La Poste. Au niveau de la CGT, la coordination Renault a de son côté lancé un appel à participer à cette journée. De même, des actions sont annoncées ce jour-là dans la métallurgie. Dans certaines unions départementales, l'appel à une manifestation interprofessionnelle est en discussion. Quoi qu'il en soit, il y a tout intérêt à ce que le maximum de travailleurs se joignent à cette journée sur la base des revendications vitales pour la classe ouvrière :
- la lutte contre le chômage par l'interdiction des licenciements et la répartition du travail entre tous, sans perte de salaire.
- l'augmentation massive des salaires et des pensions et leurs garanties par leur indexation sur la hausse des prix, en imposant ce que le mouvement ouvrier a toujours appelé l'échelle mobile des salaires.
Manifestation de la Fonction publique
Continuer la CGT - Pour un Syndicalisme de Lutte de Classe et de Masse
- Le 15 mai 2014: la fonction publique
- Le 22 mai 2014: les cheminots
- Le 3 juin 2014: les retraités
- Et après qui? Pour quels résultats?
CL-CGT milite pour le TOUS ENSEMBLE et en MÊME TEMPS
Pourquoi cet émiettement des luttes?
Les directions syndicales "partenaires sociaux" ne souhaitent pas perturber le "bon"
fonctionnement de l'économie, et donc s'ingénient à répartir le mécontentement grandissant chez les travailleurs en les canalisant dans des journées de revendications sans lendemain.
À qui cela profite?
Sûrement pas aux travailleurs, qui se sentent isolés dans le chacun pour soi, aucune solidarité interprofessionnelle.
Que faire?
Objectif: Imposer des luttes et des grèves pour contrer le Capital
Dans ce cadre, compte-tenu de l'orientation des syndicats "partenaires sociaux", CL-CGT propose que les travailleurs organisent dans leurs entreprises des Assemblées Générales en vue de définir les possibilités de lutte en les reliants entre elles.
Les possibilités de lutte sont prévisibles, des camarades - voir le document au dos - tentent de se structurer pour s'opposer aux décisions de collaboration de classe.
Avec CL-CGT proposons l'objectif:
À ATTAQUE GÉNÉRALE - GRÈVE GÉNÉRALE!
Site: www.CL-CGT.fr
Courriel: cont act@cl-c gt.fr
Source : message reçu le 14 mai 18h
La lutte ou la misère !
Front Syndical de Classe
- Le 15 mai, les enseignants mais aussi de nombreux secteurs de la Fonction Publique sont en grève et en manifestation contre la casse des salaires, des statuts et au-delà de la fonction publique et des services publics à la française issus de la Résistance et du CNR.
- Le 22 mai les cheminots manifestent contre la casse de la SNCF et de leurs statuts dans le cadre du 4ème paquet ferroviaire européen qui impose "l'ouverture à la concurrence" du transport des personnes (pour le fret, c'est déjà fait…)
- Le 3 juin, ce sera au tour des retraités de défiler nationalement pour protester contre la situation de millions de retraités pauvres, contre la dégradation annoncée pour tous "sur le dos des salariés, des retraités, sur les restrictions des services publics, les réductions des droits à la santé... Alors que, dans le même temps, le Patronat continue à bénéficier des largesses de la part du Gouvernement !" (UCR CGT)
Toutes ces revendications sont parfaitement légitimes. La question décisive est de savoir comment les faire gagner alors que depuis des années les reculs succèdent aux reculs.
« Tous ensemble » mais sur les bonnes bases
Le mécontentement des classes populaires se généralise dans le pays et ailleurs (voire les manifestations monstres en Espagne contre l'austérité et la Troïka (BCE, Commission européenne, FMI). D'innombrables salariés luttent dans leurs entreprises, des millions de travailleurs souffrent et se demandent avec de plus en plus d'angoisse de quoi demain sera fait.
Et si l'on en croit les médias aux ordres, demain sera effectivement plus dur qu'aujourd'hui : crise, dette, compétitivité,… les experts grassement payés viennent expliquer à longueur de "débats" où tout le monde est d'accord que le petit peuple doit se serrer la ceinture, se soigner moins, partir moins en vacances, travailler plus, être davantage précarisé, rogner les dépenses de loisirs, d'alimentation ou de chauffage, accepter des boulots précaires, se résigner à un sous-SMIC, à la disparition de la Sécu et des services publics…
Mais cela fait 40 ans que cela dure. 40 ans depuis l'éclatement de la crise générale de 1973, 40 de crise sans fin et de remise en cause des conquêtes sociales, 40 ans que les régressions en entraînent d'autres afin de financer toujours plus le profit privé et les dividendes des grands groupes capitalistes (encore 80 milliards de bénéfices déclarés pour les groupes du CAC 40 en 2013…).
Aujourd'hui, le gouvernement Hollande annonce, dans le cadre du "pacte de stabilité" européen, 30 milliards de baisse de cotisations et d'impôts pour les patrons, 50 milliards de coupes dans les dépenses publiques et sociales, un gel des prestations sociales et des retraites, le gel du point de la fonction publique jusqu'en 2017, la remise en cause de la Sécu.
Hollande qui annonçait pour se faire élire que la finance était son ennemie est bien dans les pas de Sarkozy : depuis 2012, 100 milliards de cadeaux supplémentaires aux patrons sans compter l'ANI, la contre-réforme des retraites, la soumission totale à Merkel et aux injonctions de l'UE, la participation active aux guerres impérialistes.…
En réalité, au niveau national comme européen, vraie droite et fausse gauche alternent au gouvernement pour appliquer la politique unique du capital de casse des tous les acquis sociaux et démocratiques, avec en renfort et en solution de repli l'extrême-droite qui maquille sous un discours social son soutien de toujours aux intérêts capitalistes. Les forces du capital programment la mise à sac des derniers acquis populaires, réalisant le vieux rêve du Medef et du capital européen : "en finir avec les acquis du CNR" et "l'exception sociale française".
Dans cette situation, soit le mouvement populaire parvient à mener des luttes victorieuses soit la misère va se généraliser.
Construire le rapport de force à partir de la lutte de classe
- Cela implique d'abord de combattre les mensonges et les diversions de tous ceux qui collaborent ou accompagnent les régressions, à commencer par les états-majors jaunissants de la CFDT et de la Confédération européenne des Syndicats :
- OUI une guerre de classe est en cours,
- NON le capitalisme (pas plus que l'UE) ne peut être social,
- OUI les travailleurs doivent résister pied à pied et en même temps lutter pour un changement de société,
- NON aucune amélioration ne sera obtenue sans lutte consciente et déterminée.
- Cela passe aussi par la mise en avant de la nécessité pour le peuple d'unir et d'utiliser ses forces. Pour gagner, il faudra initier une situation de "blocage" mettant la classe dominante sur la défensive par un mouvement de masse, des grèves et des manifestations nationales.
Organisons le débat à la base sur ces questions vitales, rappelons les principes gagnants du mouvement ouvrier, qui permirent d'arracher les nombreux acquis de 1936, 1945 ou 1968 sous l'impulsion de la CGT de classe et de masse. Mettons en discussion dans nos organisations et avec les travailleurs la perspective et l'urgence d'un mouvement d'ensemble visant dans un premier temps à contraindre le gouvernement à renoncer à ses contre-réformes !
Front Syndical de classe
Créé par des militants de la CGT et de la FSU
« Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. La lutte de classes, au contraire, est la base de l'unité, son motif le plus puissant. C'est pour la mener avec succès en rassemblant l'ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT.» « La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat ! » H. Krasucki
Le FSC est affilié à la FSM et participe au secrétariat de l'UIS pensionnés et retraités
fron tsyndica l.classe@laposte .net
Source : http://www.frontsyndical-classe.org/2014/05/p...
Source : http://www.communcommune.com/article-15-mai-2...