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jeudi 27 juin 2019 à 12h

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Rassemblement

Pour l'avenir de la fonction publique et de ses agent-es

Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FAFP, FO, FSU, Solidaires, et UNSA de la Fonction publique affirment de nouveau leur attachement aux valeurs du service public, à une Fonction publique et au Statut général au service de toutes et tous, porteurs de l'intérêt général.

Elles appellent, ensemble, le gouvernement à entendre leurs demandes en matières salariales et concernant le projet de loi fonction publique.

Alors que le Sénat étudie, à son tour, le projet de loi de transformation de la fonction publique, les organisations soulignent leur attachement aux instances actuelles de dialogue social qui permettent aujourd'hui de protéger les agent-e-s. Leur suppression risque d'entraîner une gestion opaque et priver les personnels de recours contre l'arbitraire. Elles estiment que le recours accru au recrutement sur contrat accentuera la précarité dans la fonction publique. C'est également l'égalité d'accès aux emplois publics et les garanties de neutralité et d'impartialité du service public qui sont menacées.

A la veille du rendez-vous salarial du 2 juillet 2019, les organisations syndicales exigent une politique salariale qui reconnaisse davantage le travail, les qualifications et l'engagement professionnel de toutes et tous les agent-es.

Elles revendiquent une amélioration de leurs salaires qui passe par le dégel de la valeur du point d'indice et des mesures générales alors que l'inflation reste forte à 1,3% sur les 12 derniers mois.

Elles demandent aussi que la compensation de la hausse de la CSG prévue pour les seules années 2018 et 2019, soit pérennisée en rappelant que les agent-e-s publics n'ont pas vu leur pouvoir d'achat augmenter au contraire des salarié-e-s du secteur privé.

Elles demandent également la suppression du jour de carence.

La CGT, la CFDT, FO, l'UNSA, la FSU, Solidaires, la FA-FP, la CFE-CGC et la CFTC appellent à un rassemblement le jeudi 27 juin à 12h00 devant les ministères des Finances et de l'Action et des comptes publics à Bercy afin de rappeler leur opposition à cette loi de transformation de la fonction publique et leur volonté d'obtenir des mesures concrètes pour le pouvoir d'achat de tou-tes les agent-e-s publics.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/71413
Source : http://ufsecgt.fr/spip.php?article7205


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Grève dans l'éducation

Communiqué intersyndical

Après la forte mobilisation du 17 juin, les assemblées générales ont décidé de la poursuite des actions sous diverses formes (reconduction de la grève des surveillances, rétentions des notes du baccalauréat, refus collectifs de la fonction de professeur principal pour l'année prochaine…). Les organisations syndicales représentatives du public et du privé, de l'enseignement agricole ainsi que les Stylos rouges, la Chaîne des Bahuts soutiennent ces mouvements.

Elles continuent d'appeler les personnels à se réunir en assemblées générales pour décider collectivement des modalités d'action,pour :

  • une revalorisation significative des rémunérations ;
  • le retrait des réformes des lycées et du baccalauréat ;
  • le retrait de la loi Blanquer et du projet de loi « Fonction publique » ;
  • des créations et non des suppressions de postes (36 000 élèves en plus, 2650 postes en moins à la rentrée prochaine dans le Second degré).


Des préavis de grève sont déposés à cet effet sur toute la période des examens et concours.

Elles appellent à faire du jeudi 27 juin un nouveau temps fort par la grève des surveillance du brevet des collèges et la participation aux rassemblements. Cette journée d'action s'inscrira en convergence de la journée interfédérale contre la loi Fonction publique et pour la revalorisation des salaires.

Signataires:

FSU (SNES, SNEP, SNUEP, SNETAP), CGT (Educ'Action, agri, enseignement privé), Solidaires (SUD éducation, SUD rural-territoires, Sundep), SNALC, CNT, SYNEP-CFE-CGC, Snec-CFTC
avec le soutien des Stylos rouges, de la Chaîne des Bahuts et de l'APSES

Source : https://www.sudeducation.org/Appel-intersyndi…


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Pour la fonction publique

Pour nos droits, pour nos salaires, agissons !

CGT fonction publique

Les organisations de la CGT Fonction publique condamnent la poursuite et l'aggravation de la transformation libérale de la société au service du capital, confirmées dans le discours de politique générale du Premier ministre en date du 12 juin.

C'est une transformation profonde de l'État et des missions publiques qui est organisée afin de mettre fin à toutes les formes de solidarité au profit de la concurrence et de la privatisation du bien public.

Dans le même temps, les luttes locales et sectorielles dans la Fonction publique - à l'image de la grève des urgences - attestent du fait que loin d'être résignés au pire, les personnels se battent pour leur avenir, celui de notre Fonction publique et ses missions au service de la population.

Ainsi, les objectifs poursuivis au titre du chantier « action publique 2022 » consistent à déposséder l'État de toute une série de services publics et de missions publiques qui seraient abandonnés et privatisés.

Alors que les services sont d'ores et déjà exsangues, les pouvoirs publics entendent réduire encore les moyens alloués en accentuant l'austérité budgétaire dans les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale au titre de l'année 2020.

Boîte à outils du processus de destruction en cours, le projet de loi dit de « transformation de la fonction publique » vise à en finir avec les principes d'égalité, d'indépendance et de responsabilité, constitutifs d'une garantie d'impartialité et de neutralité dans la mise en œuvre du service public.

Après la casse du Code du travail, c'est maintenant la liquidation du statut général des fonctionnaires et des statuts particuliers des agent.e.s publics !

Si ce projet de loi devait être adopté, outre des dizaines de milliers de suppressions d'emplois et un recours accru à la contractualisation, les personnels seraient contraints de subir toujours plus de précarité, des mobilités forcées et des détachements d'office liés à des transferts, disparitions ou privatisations de missions.

La politique gouvernementale, c'est aussi en perspective une accentuation de la dégradation de leurs conditions de vie au et hors travail, aggravée par la suppression des CHSCT, la destruction des prérogatives des CAP, une nouvelle montée en puissance de la rémunération et de la carrière au mérite, la poursuite du gel de la valeur du point d'indice, l'allongement du temps de vie passé au travail et la baisse drastique du montant des retraites et des pensions.

De fait, toutes ces mesures ne feront qu'aggraver les inégalités entre les femmes et les hommes.

Cette politique est inacceptable ! Les organisations de la CGT Fonction publique réitèrent leur exigence de retrait du projet de loi portant transformation de la fonction publique.

Elles appellent à poursuivre et à élever le rapport de force :

  • pour faire de la Fonction publique un outil du progrès social : la reconquête et le développement des services publics est une des conditions de la satisfaction des droits et des besoins fondamentaux d'aujourd'hui et de demain avec la nécessaire transition écologique ;
  • pour les créations de postes essentiels pour les besoins des usagers
  • pour la titularisation des emplois précaires
  • pour l'indispensable réforme fiscale au service de la justice sociale et du financement pérenne des services publics.
  • pour une revalorisation significative de la valeur du point d'indice, des salaires, des pensions de retraites ;
  • pour une protection sociale de haut niveau pour l'ensemble des agents avec notamment l'abrogation du jour de carence, l'abandon du projet de système universel de retraite à points, le maintien et l'amélioration des régimes spéciaux de retraite.

C'est dans ce sens que nos organisations proposent aux personnels, actifs et retraité.e.s, fonctionnaires et agent.e.s non titulaires, d'élever le rapport de force et de l'inscrire dans la durée, dans le cadre le plus unitaire possible.

Nos organisations appellent d'ores et déjà les personnels à s'inscrire massivement dans la journée de mobilisation unitaire du

Jeudi 27 juin prochain par la grève et dans les rassemblements, pour obtenir le retrait du projet de loi portant transformation de la Fonction publique et une revalorisation immédiate et conséquente des salaires, traitements et pensions de retraite.

La casse du service public, on n'en veut pas ! Non à la casse de la fonction publique

Source : http://ufsecgt.fr/spip.php?article7212


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Ensemble luttons et élevons le rapport de force

Pour une fonction publique au service du progrès social !

CGT

Réunies en Conseil national de l'Union fédérale des syndicats de l'État, les organisations CGT condamnent la poursuite et l'aggravation de la transformation libérale de la société au service du capital, confirmées dans le discours de politique générale du 1er ministre en date du 12 juin.

C'est entre autres une transformation profonde de l'État qui est organisée afin notamment de mettre fin à toutes les formes de solidarité au profit de la concurrence et de la privatisation du bien public.

Plus que jamais les services publics et plus particulièrement la fonction publique sont un des cœurs de cible des attaques gouvernementales.

Ainsi, les objectifs poursuivis au titre du chantier « action publique 2022 » consistent à déposséder l'État de toute une série de services publics et de missions publiques qui seraient abandonnés et privatisés.

Alors que les services sont d'ores et déjà exsangues, les pouvoirs publics entendent réduire de manière encore plus drastique les moyens alloués en accentuant l'austérité budgétaire dans les projets de lois de finances et de financement de la sécurité sociale au titre de l'année 2020.

Le gouvernement refuse toujours de procéder à une nécessaire réforme fiscale au service de la justice sociale et du financement pérenne des services publics.

Boîte à outils du processus de destruction en cours, le projet de loi portant transformation de la fonction publique veut en finir avec les principes d'égalité, d'indépendance et de responsabilité, constitutifs avant tout d'une garantie d'impartialité et de neutralité dans la mise en œuvre du service public.

Après la casse du Code du travail, c'est maintenant la liquidation du statut général des fonctionnaires et des statuts particuliers des agents publics !

Si ce projet de loi devait être adopté, outre des milliers de suppressions d'emplois et un recours accru à la contractualisation, les personnels seraient contraints à toujours plus de précarité, à des mobilités forcées et à des détachements d'office liés à des transferts, disparitions ou privatisations des missions.

Dans le même temps, Emmanuel Macron et son gouvernement promettent aux agents une accentuation de la dégradation de leurs conditions de vie au et hors travail, aggravée par la suppression des CHSCT, la destruction des prérogatives des CAP, une nouvelle montée en puissance de la rémunération et de la carrière au mérite, la poursuite du gel de la valeur du point d'indice, l'allongement du temps de vie passé au travail et la baisse drastique du montant des retraites et des pensions.

De fait, toutes ces mesures ne feront qu'aggraver les inégalités entre les femmes et les hommes.

Cette politique est inacceptable ! Dans un tel contexte, les organisations CGT réunies en

Conseil National de l'UFSE réitèrent leur exigence de retrait du projet de loi portant transformation de la fonction publique.

Elles s'engagent à poursuivre et à élever le rapport de force :

  • pour faire de la Fonction publique un outil du progrès social. Pour la CGT, la reconquête et le développement des services publics est une des conditions de la satisfaction des droits et des besoins fondamentaux d'aujourd'hui et de demain et de la nécessaire transition écologique ;
  • pour une revalorisation significative de la valeur du point d'indice, des salaires, des pensions et des retraites ;
  • pour une protection sociale de haut niveau pour l'ensemble des agents avec notamment l'abrogation du jour de carence, l'abandon du projet de système universel de retraite à points, le maintien et l'amélioration des régimes spéciaux de retraite existants dont le code des pensions civiles et militaires, le fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l'État, etc.

C'est dans ce sens que nos organisations proposent aux personnels, actifs et retraités, fonctionnaires et agents non titulaires, d'élever le rapport de force et de l'inscrire dans la durée.

C'est aussi dans ce sens que la CGT propose à l'ensemble des organisations syndicales qui partagent ces objectifs de construire le rapport de force le plus unitaire possible.

Elles s'inscriront dans toutes les actions interprofessionnelles qui seront initiées dans la prochaine période pour obtenir le retrait des projets de régression sociale et gagner de nouvelles conquêtes sociales .

Dans l'immédiat les organisations CGT réunies en Conseil national :

  • appellent à faire du vendredi 14 juin une puissante journée de mobilisation par la grève pour les droits des agents de l'Outre-Mer. En Ile-de-France elles appellent au rassemblement organisé à 10 h à Bercy ;
  • appellent les personnels à s'inscrire massivement dans la journée de mobilisation du jeudi 27 juin prochain, par la grève et dans les rassemblements, pour obtenir le retrait du projet de loi portant transformation de la Fonction publique et une revalorisation immédiate et conséquente des salaires, traitements et pensions.

Pour élever ce rapport de force, les organisations de l'UFSE débattront en leur sein et ensemble dans les territoires de cette résolution d'actualité.

La casse du service public, on n'en veut pas !

Source : http://ufsecgt.fr/spip.php?article7205


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Grève des surveillances, on continue !

FSU (SNES, SNEP, SNUEP, SNETAP), CGT (Educ'Action, agri, enseignement privé), Solidaires (SUD éducation, SUD rural-territoires, Sundep), SNALC, CNT, SYNEP-CFE-CGC, Snec-CFTC avec le soutien des Stylos rouges, de la chaîne des bahuts et de l'APSES

L'appel intersyndical à la grève de la surveillance des épreuves ce lundi 17 juin a été bien suivi. En dépit de la communication lénifiante du ministre de l'Éducation nationale, les centres d'examens ont été obligés de faire des sur-convocations, des pressions, des appels à d'autres personnels. Les épreuves se sont déroulées, parfois au prix de conditions inacceptables.
Une fois de plus, le gouvernement a campé sur ses positions méprisantes et autoritaires. Il a refusé le dialogue social et toute réponse au préavis de grève, mais s'est vu obligé de défendre ses réformes, et de renoncer à certaines mesures de la loi Blanquer.
La grève de la surveillance des épreuves a été majoritaire dans bon nombre d'établissements. Elle a aussi mobilisé en collège.
Les organisations syndicales représentatives du public et du privé, de l'enseignement agricole ainsi que les Stylos rouges et la chaîne des bahuts, appellent les personnels à continuer à se réunir en assemblées générales, et à poursuivre la grève là où elle a été ou sera décidée collectivement, pour :

  • une revalorisation significative des rémunérations ;
  • le retrait des réformes des lycées et du baccalauréat ;
  • le retrait de la loi Blanquer et du projet de loi « Fonction publique ».

Des préavis de grève sont déposés à cet effet sur toute la période des examens et concours.
Les organisations dénoncent toutes les formes de pressions et de répressions touchant les élèves et les personnels. Elles soutiendront toutes celles et ceux qui en sont victimes.
Déterminées à poursuivre l'action, les organisations appellent à mettre en débat la grève le jeudi 27 juin, premier jour de la surveillance du brevet des collèges et journée d'action interfédérale contre la loi Fonction publique et pour la revalorisation des salaires.

Source : http://www.cgt-educaction94.org/spip.php?arti…


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Le 27 juin, a Bercy pour la Fonction publique !

Solidaires FP

Le projet de loi de transformation de la fonction publique est maintenant en débat au Sénat, et son adoption en 2 ème lecture par cette assemblée doit avoir lieu le 27 juin, avant la tenue de la commission paritaire mixte Assemblée Nationale/Sénat.

Attaque frontale contre la fonction publique, ce projet de loi est l'outil de mise en œuvre d'une politique de casse et de privatisation des services publics. Cette politique est la déclinaison du projet de société ultra libéral du gouvernement Macron fondé sur l'individualisme.

Contractualisation, mobilité forcée, remise en cause des droits des agent-e-s et de la représentation des personnels, rémunération au mérite, remettent en cause la neutralité et l'impartialité du service public. Solidaires continue et continuera de se battre jusqu'au bout pour exiger le retrait de ce projet de loi qui organise la casse du statut.

Solidaires se bat au contraire pour une société solidaire, où l'action publique joue un rôle fondamental de cohésion sociale par le développement des services publics et une fonction publique forte, compétente et impartiale au service de l'intérêt général.

Le travail des fonctionnaires doit également être reconnu notamment par la revalorisation indiciaire de leur rémunérations et l'attribution d'un nombre de points d'indice uniforme pour tous et toutes, par l'égalité salariale entre les femmes et les hommes... Il est aussi indispensable que soit supprimé le jour de carence.

Le 27 juin de 12 h a 14h

Rassemblement intersyndical devant Bercy !

Toutes et tous ensemble.

Source : https://solidaires.org/Paris-Rassemblement-a-…


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Rassemblement contre la casse du service public

CGT Cochin

Le gouvernement Macron continue son attaque contre le statut des agents de la fonction publique au profit de la concurrence et de la privatisation du service public.

Après la casse du code du travail, c'est maintenant la liquidation des services publics avec :

  • Des dizaines de milliers de suppressions de postes par le recours accru aux CDD et aux emplois précaire, l'allongement du temps de travail, des mobilités forces, des détachements d'office,
  • Des économies aussi scandaleuse et injustifié que préjudiciables aux personnels avec la prolongation du gel de la valeur du point indiciaire, stagnation des montants de rémunérations et des pensions induisant un recul du pouvoir d'achats,
  • Des atteintes à l'essence même des droits fondamentaux du personnel ; rémunération au mérite forcement discriminatoire, suppression du CHSCT, réduction des prérogatives des CAP.

Toutes ces mesure sont éminemment délétère vis-à-vis des agents de la fonction publique et du service rendu au public

Contre cet acharnement de notre gouvernement, la CGT revendique :

  • L'augmentation des budgets en adéquation avec les besoins de santé de la population,
  • L'augmentation des effectifs pour assurer des soins de qualité,
  • L'arrêt des fermetures de lits, de services, d'hôpitaux et de la vente du patrimoine,
  • Garantir la sécurité des soins et la qualité de la prise en charge,
  • La revalorisation de notre valeur du point d'indice, des salaires, des pensions et des retraites,
  • L'abrogation du jour de carence,
  • L'abandon du système de retraite par point,
  • Le retrait du projet de loi sur la transformation du service public.

Rassemblement devant le Ministère des finances et de l'action des comptes publics à Bercy ou RDV au local CGT Cochin à 11h30.
Piquet de grève au local à partir de 7h.

Source : http://www.cgtcochin.fr/Rassemblement-27-juin…