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jeudi 28 septembre 2017 à 14h30

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Attention: ceci est la manifestation du 28 septembre

Pour la manifestation du 10 octobre, suivre ce lien :
https://paris.demosphere.net/rv/56799


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Manifestation à Paris des retraités et retraitées

Attention: changement de lieu. La préfecture a déplacé le départ à Opéra.
Il était initialement annonce à Chaussé d'Antin

Trajet / parcours : départ 14h30 d'Opéra en direction de la rue de Miromesnil
Opéra > rue Auber > Bd Haussmann > rue de Miromesnil

Rendez-vous particuliers:

  • 13h00 : Rv du Front Social - Place de l'Opéra à l'angle de la rue d'Auber
  • 13h30 : Départ collectif CGT Bezons - rv au Tram
  • Bientôt, d'autres rv d'organisations, ici sur Démosphère


Appel unitaire

CGT, UCR-FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR, Ensemble & Solidaires

Parce qu'une fois de plus le gouvernement s'attaque à leur pouvoir d'achat, aux services médicaux et sociaux, neuf organisations appellent les retraité-e-s à se mobiliser dans les départements sous des formes diverses le 28 septembre.

Haro sur le pouvoir d'achat des retraités

Au printemps dernier plus de 12 000 retraité-e-s se sont exprimé-e-s dans une enquête lancée par nos organisations. 80 % des personnes retraitées indiquent que leur situation financière s'est dégradée. Malgré cela, le gouvernement annonce une baisse des pensions de 8 millions de retraité-e-s en augmentant de 1,7 point leur CSG, sans aucune compensation.

La CSG passera de 6,6 % à 8,3 % soit une augmentation de 25 %. Ce qui représente une perte de :

  • 204 € par an pour une pension de 1 000 € par mois,
  • 306 € par an pour une pension de 1 500 € par mois,
  • 408 € par an pour une pension de 2 000 € par mois.

Selon le gouvernement, il s'agit d'un « effort pour les jeunes générations ». Les retraité-e-s n'ont pas attendu pour faire preuve de solidarité et une nouvelle baisse de leur pouvoir d'achat réduira l'aide qu'ils apportent déjà aux jeunes générations.

Cette augmentation de CSG s'ajoute à une liste déjà longue d'attaques, avec la CASA de 0,3 %, la suppression de la 1/2 part fiscale pour les veuves et veufs, la fiscalisation de la majoration familiale et le blocage des pensions depuis plus de 4 ans. Et maintenant l'annonce de la réduction de 5 € par mois de l'APL (Aide Personnalisée au Logement) qui visera notamment les retraités locataires.

L'annonce d'une revalorisation des pensions du régime général et alignés de 0,8 % au 1er octobre ne représente, en aucune manière, une quelconque augmentation car elle ne fait que compenser l'inflation des seuls 12 derniers mois. D'autant que pour les retraites complémentaires aucune augmentation n'est prévue.

Vers la disparition des emplois aidés

Dans l'enquête menée au printemps dernier, les retraité-e-s sont quasiment unanimes à considérer que les plans d'aide à l'autonomie sont insuffisants, tant à domicile qu'en établissements.

Le gouvernement, non seulement ne prend aucune mesure pour réduire les « restes à charge » mais il s'attaque aux moyens dont peuvent disposer les établissements, les associations et les collectivités locales en supprimant les emplois aidés.

Il communique sur la disparition du reste à charge des lunettes, prothèses auditives et dentaires… sans insister sur l'augmentation correspondante des complémentaires santé, sans participation des employeurs pour les retraité-e-s.

Prendre au plus grand nombre pour donner aux riches

Le gouvernement prévoit de prendre beaucoup dans la poche des personnes retraitées et un peu dans toutes les autres, ou presque : l'APL pour les locataires, la suppression de services publics en privant les collectivités locales des recettes de la taxe d'habitation et en supprimant 120 000 emplois de fonctionnaires…

Et il donne beaucoup aux plus riches : baisse de l'ISF, l'impôt sur la fortune, en ne prenant plus en compte les actions et obligations qui représentent 90 % du patrimoine des plus riches ; baisse de l'impôt sur les sociétés à 28 % ; cadeau aux rentiers en plafonnant l'imposition des revenus du capital à 30 %.

Les personnes retraitées n'ont pas besoin d'explications ou de pédagogie : ils ont besoin de justice sociale.

Montrons que nous refusons la baisse des pensions

Dans notre même enquête, 84 % des retraité-e-s considéraient que les politiques menées avaient négligé ou ignoré leur situation.

Ces dernières années les actions menées à l'initiative des organisations de retraités ont permis de « limiter la casse » : les personnes non imposées en 2015 n'ont pas payé d'impôt en 2016 et 2017, les seuils de déclenchement de la CSG ont été relevés, l'APA a été légèrement augmentée...

Alors oui les retraité-e-s ont de bonnes raisons de se mobiliser pour éviter de nouvelles dégradations importantes de leur pouvoir d'achat, obtenir une évolution des pensions liée à l'évolution des salaires et une amélioration importante de la prise en charge de la perte d'autonomie.

Non à la hausse de la CSG à 8,3% ! Revalorisation de nos pensions !

Journée nationale d'action et de mobilisation le 28 septembre

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/56006
Source : message reçu le 14 septembre 10h
Source : https://solidaires.org/Mobilisation-des-retra...
Source : http://www.ratp.fr/informer/trafic/manifestat...


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Mobilisation générale des retraitées et retraités

Solidaires - UNIRS - Union nationale interprofessionnelle des retraité-es

Les organisations CGT, FO, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble et Solidaires, mobilisent ensemble depuis plusieurs années ; elles appellent à une nouvelle action jeudi 28 septembre, dans tous les départements. Pour refuser la baisse des pensions voulue par le gouvernement.

Nous avons déja beaucoup perdu de pouvoir d'achat:

  • De 2003 a 2010 les pensions ont pris du retard sur les salaires : augmentation de 11,6 % des pensions pour compenser l'inflation, de 17,1 % des salaires et de 23,2 % du SMIC.
  • Nos pensions ont été gelées depuis le 1"' avril 2013, hormis le provocateur 0,1 % du 1" octobre 2015. Le gouvernement annonce une augmentation au 1"' octobre 2017, mais seulement du montant de l'inflation, sans aucun rattrapage !
  • Les revenus ont diminué pour les personnes retraitées qui ont subi une augmentation des impôts, celles qui ont élevé 3 enfants ont pâti de la fiscalisation des 10 % complémentaires de pension, celles qui ont eu 1 enfant et sont restées seules par la suppression de leur 1/2 part fiscale.
  • Nos pensions ont baissé avec le prélèvement, chaque mois depuis le 1" avril 2013, de la nouvelle taxe de 0,3 % de Contribution Additionnelle de Solidarité pour l'Autonomie, en plus de l'augmentation de la TVA subie par tout le monde.

Et le gouvernement veut encore baisser la pension !

Le candidat Macron l'avait annoncé, le Premier ministre veut la mettre en route pour « les retraités aisés » : augmentation du prélèvement sur la pension, la CSG, de 6,6 à 8,3 % !

Qu'est-ce qu'une personne retraitée « aisée » ? Pour le gouvernement, c'est avoir une pension de 1 200 € ! En réalité, il considère que c'est bien en dessous de cela : deux personnes vivant en couple avec deux pensions de 1 022 € ont un revenu fiscal de référence commun de plus de 1 838 € par mois et subiront aussi l'augmentation de la CSG !

Un-e retraitée avec une pension de 1 000 € par mois perdrait 204 € par an, et à 1 500 € subir-ait une baisse de 306 € !

NON à la baisse des pensions !
NON à l'augmentation de la CSG !

Avec les neuf organisations de retraité-e-s,
manifestation le 28 septembre

Manif le 28 septembre

Source : http://www.solidaires.org/Note-no-30-aux-retr...
Source : http://solidaires94.overblog.com/2017/09/retr...


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Le 28 septembre,

j'agis avec l'UCR-CGT pour mon pouvoir d'achat

UCR CGT

Les rendez-vous de la riposte :

Macron et son gouvernement ont pour première cible les retraités. Nous ne laisserons pas faire. L'heure est à la mobilisation. Voici les rendez-vous que vous propose l'UCR-CGT.

Cet été, les retraités seront sur le terrain en distribuant 1 million de tracts portant leur colère du gel des pensions et de la hausse de la CSG. En effet, cette augmentation aurait pour conséquence de baisser le pouvoir d'achat de dix millions de retraités. La stratégie très maline du roi Macron de mettre dos à dos les salariés et les retraités n'est ni nouvelle ni révolutionnaire, mais faire passer l'idée dans l'opinion publique que cela donnerait du pouvoir d'achat aux salariés est totalement mensonger.

Du 11 au 17 septembre, partout en France les retraités CGT consulteront les retraités. Une semaine de votation pour poser la question : êtes-vous d'accord ou pas sur l'augmentation de la CSG et la non-revalorisation des pensions ?

  • Le 12 septembre, salariés et retraités seront dans la rue pour une journée d'action nationale interprofessionnelle de grève et de mobilisation portant des propositions alternatives sur le droit du travail.
  • Le 28 septembre, journée d'actions unitaires des retraités en territoire, à l'appel des 9 organisations et associations qui agissent ensemble depuis 2014. À l'appui des 12 000 questionnaires remplis par les retraités, elles porteront au président de la République l'exigence d'une hausse des pensions pour tous les retraités.

Source : http://cgtparis.fr/spip.php?article3139


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Mobilisation des retraité.e.s

UFSE-CGT - union fédérale des syndicats de l'État

Contre l'augmentation de la CSG
Pour, l'augmentation des retraites et des pensions
L'UFSE-CGT (EX-UGFF-CGT) appelle les retraité.e.s à se mobiliser

Le 12 septembre, tous concernés,

Actifs et retraité-e-s !

Les choix politiques du gouvernement Macron sont porteurs de lourds reculs sociaux et sociétaux. La réforme du code du travail imposée par ordonnance fait la part belle au MEDEF qui trouve là de grandes satisfactions.

Alors que le chômage augmente, la pauvreté gagne du terrain, le gouvernement prévoit la simplification des procédures de licenciements, la généralisation des CDI de chantiers... autant de dispositions régressives pour l'économie et qui ne résoudront pas la question du chômage massif, bien au contraire.

Rogner sur les droits des salariés n'a jamais favorisé la reprise de l'économie. Plus de flexibilité, plus de précarité, moins de rémunérations, moins de droits, moins de protection en matière de santé et de couverture sociale pour les salariés ne va pas relancer l'économie, bien au contraire.

Relancer l'économie nécessite une augmentation des salaires et des pensions, une politique qui repose sur la justice sociale et le partage des richesses.

Avec la CGT le 12 septembre, je manifeste contre le projet de « Loi Travail ».

Le 28 septembre,

Je suis dans la rue !

Le gouvernement Macron est décidément très créatif pour faire passer sa politique de régression qui repose sur une justice de classe au service des plus riches et qui porte une attaque au monde du travail et au droit social d'une gravité extrême. Avec le transfert du financement de la protection sociale par l'augmentation généralisée de la CSG de 1.7 %, il est mis un terme au fondement de la Sécurité sociale qui repose sur la solidarité. Le mécanisme inventé pousse la supercherie à faire croire à l'augmentation du pouvoir d'achat des actifs par la suppression sur leur bulletin de paie des cotisations maladie et chômage.

Par ailleurs il exonère les employeurs des cotisations sociales et près de 10 millions de retraité.e.s paieront à leur place. Sont taxés, des retraité-e-s qui selon E.

Macron seraient « les plus aisés ». De qui se moquet-il, comment peut-on dire qu'avec 1 390,50 € brut par mois on est aisé ?

La hausse de la CSG interviendrait pour :

  • les retraité-e-s disposant d'une part en matière d'impôt sur le revenu ayant un revenu brut mensuel égal ou supérieur à 1 497, 84 € pour les plus de 65 ans et 1 390,50 € pour les moins de 65 ans.
  • les retraité-e-s disposant d'une part et demie en matière d'impôt sur le revenu ayant un revenu brut mensuel supérieur ou égal à 1 875,25 € pour les plus de 65 ans et 1 761, 75 € pour les moins de 65 ans.
  • les couples ayant des revenus bruts mensuels supérieurs ou égaux à 2295, 33 € s'ils ont plus de 65 ans, 2 246,50 € si l'un à plus de 65 ans et l'autre moins et 2 133 € s'ils ont tous les deux moins de 65 ans.

L'UFSE-CGT appelle ses organisations à tout mettre en œuvre pour assurer la réussite de cette journée d'actions du 28 septembre, à l'appel de l'intersyndicale des retraité-e-s : UCR-FO, UNAR-CFTC, UNIR-

CFE-CGC, SFR-FSU, UNIR-Solidaires et les associations FGR-FP, LSR, Ensemble et Solidaires-UNRPA.

Les retraité-e-s doivent faire pression.

Le gouvernement doit abandonner son projet d'augmentation de la CSG.

Nombreux dans la rue, nous pouvons faire reculer le gouvernement.

Mais aussi, soyons à l'offensive, retraité.e.s de la Fonction publique de l'Etat pour :

  • une amélioration du pouvoir d'achat de tous les retraités par une revalorisation des retraites et un rattrapage immédiat de 300 € ; et à terme qu'il n'y ait pas de pension inférieure au smic revalorisé ;
  • le retour à une revalorisation annuelle au 1er janvier des pensions et pensions de réversion ;
  • la proratisation du salaire annuel moyen (sam) pour les poly-pensionnés ;
  • que le taux de la réversion soit porté à 75 % de la ou des pensions du conjoint, concubin ou pacsé décédé, sans condition d'âge et de ressources ;
  • le rétablissement de la demi part supplémentaire pour les personnes vivant seules ayant élevé au moins un enfant, pour le calcul de l'impôt sur le revenu (dans l'attente d'une réforme globale de la fiscalité) ;
  • la non-imposition de la majoration pour les retraités ayant eu trois enfants ou plus ;
  • la reconnaissance de l'évolution de la qualification du grade auquel appartenait le retraité par le rétablissement de la péréquation.

Alors oui, le 28 septembre, je manifeste.


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Retraités : attaqués comme les autres

Lutte Ouvrière

Après trois années de blocage, les pensions de retraite vont augmenter de… 0,8 % au 1er octobre prochain. Les retraités n'auront pas le temps de profiter de ces quelques euros supplémentaires car, dès le 1er janvier, tous ceux dont la pension dépasse 1 200 euros par mois se verront prélever 1,7 % de CSG en plus.

Cette minuscule augmentation n'est même pas un cadeau gouvernemental pour faire avaler la potion amère de la CSG. Elle résulte de l'inflation officiellement constatée au cours des douze derniers mois. Depuis la réforme de Balladur en 1993, les pensions ne sont plus indexées sur l'augmentation moyenne du salaire des actifs mais sur les prévisions d'inflation pour l'année à venir. Cela a permis de réduire drastiquement les pensions. Depuis 2016, la revalorisation est calculée sur l'inflation constatée et non plus estimée. Les retraités n'y ont rien gagné, tant les chiffres de l'inflation sont arrangés et peu transparents.

En 2015, le patronat refusant d'augmenter ses cotisations, les syndicats gestionnaires des caisses de retraites complémentaires du privé, l'Agirc et l'Arrco, avaient décidé de bloquer les pensions pour trois ans. Gelées depuis 2013, les retraites complémentaires, qui représentent jusqu'à un tiers des pensions, resteront au congélateur.

Pendant sa campagne, Macron avait promis de revaloriser le montant scandaleusement faible du minimum vieillesse (allocation de solidarité aux personnes âgées) pour le porter de 803 à 900 euros. Le gouvernement a confirmé cette promesse… mais d'ici la fin du quinquennat, en 2022 ! Combien de retraités seront décédés avant d'avoir pu bénéficier de la moindre revalorisation ?

Neuf organisations syndicales appellent les retraités à manifester le 28 septembre contre la hausse de la CSG et pour la revalorisation des pensions. Il faut que cette journée soit un succès. Mais, puisque Macron et les patrons attaquent tous les travailleurs, actifs ou retraités, c'est à une mobilisation tous ensemble qu'il faudra parvenir pour inverser le rapport de force.

Xavier LACHAU

Source : https://journal.lutte-ouvriere.org/2017/09/20...


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Mobilisation étudiante contre la loi Travail XXL et la sélection

Les étudiants se joignent aux retraités

Les étudiants mobilisés d'Ile de France appellent à se mobiliser contre les ordonnances et la sélection le 28 septembre

A la suite de la manifestation contre les ordonnances Macron, une Assemblée « inter-fac » s'est réunie pour décider des suites aux mouvements. Celle-ci a regroupé des étudiants mobilisés de plusieurs universités de région parisienne : Paris 1, Paris 3, Paris 5, Paris 6, Paris 7, Paris 8, Paris 10 et Sciences Po, et d'autres écoles publiques et privées.

Face au constat qu'uniquement la mobilisation des jeunes et des salariés permettra de faire reculer les ordonnances Macron, la sélection à l'université, la baisse des APL et toutes les autres mesures antisociales annoncées par ce gouvernement, cette Assemblée a voté majoritairement de relayer l'appel des étudiants de Paris 10 Nanterre à poursuivre le mouvement. Ainsi, elle appelle à rejoindre la journée du 28 septembre convoquée par les syndicats de retraités (CGT, UCR-FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR, Ensemble & Solidaires) et à faire de cette manifestation une nouvelle journée de mobilisation contre les ordonnances, la loi Travail XXL et la sélection. Ils incitent l'ensemble des travailleurs opposées à cette réforme à se joindre à l'initiative du 28 septembre.

Les différentes universités présentes se sont notamment engagées à soutenir la grève reconductible des routiers et de participer aux actions de blocage prévus.

Appel des étudiant.es de Nanterre à poursuivre le mouvement

Nous, étudiant.es de Nanterre réuni.es en Assemblée Générale, ce jeudi 21 septembre 2017 affirmons notre rejet des ordonnances de Macron et des multiples attaques annoncées par ce gouvernement.

En effet, celui-ci se montre déterminer à remettre en cause les conditions de travail des « fainéants » par le biais de la loi Travail XXL. Une réforme du Code du Travail qui est dans la continuation de la première contre laquelle on s'est battu et qui suit la même logique : rendre les salariés plus corvéables face à des patrons plus avide de profit. Comme si fragiliser notre entrée dans le monde du travail ne suffisait pas, Macron menace aussi nos conditions d'études, en annonçant la mise en place de la sélection à l'entrée de la L1. Et la longue liste d'attaques se poursuit : réforme des APL, de la CSG, suppression massive de contrats aidés et de poste de fonctionnaire, coupes budgétaires dans les services publics, etc…

Un mouvement d'ensemble de la jeunesse et des salariés contre ces projets est le seul biais par lequel on arrivera à faire reculer ce gouvernement. Pour cela, la mobilisation de la jeunesse ne peut pas s'arrêter le 21 septembre.

Ainsi nous appelons :

  • à préparer une nouvelle journée de mobilisation nationale et de grève dans les universités le jeudi 28 septembre.
  • à travailler à la massification du mouvement par un travail d'explication le plus large possible sur les conséquences des ordonnances et de l'ensemble des attaques de Macron
  • à ce que des initiatives soient prises pour faire le lien avec les travailleur-euse-s et les lycéen-e-s mobilisé-e-s, dans la perspective d'un tou-te-s ensembles

Source : https://www.facebook.com/events/3518402119393...
Source : message reçu le 25 septembre 16h