mercredi 22 octobre 2014 à 8h30
Rassemblement : Non à la criminalisation du
mouvement de solidarité avec la Palestine
https://paris.demosphere.net/rv/34618
Soutien à Alain Pojolat !
Rassemblement mercredi 22 octobre à 8H30 place Saint-Michel, à Paris.
Cet été, l'État d'Israël a conduit une nouvelle offensive meurtrière contre la bande de Gaza. Le bilan de 50 jours de bombardements et d'opérations terrestres est édifiant : près de 2.200 morts, 11.000 blessés, des dizaines de milliers de bâtiments partiellement ou totalement détruits, plus de 500.000 déplacés (soit 30% de la population), etc.
Révoltés par cette agression, mais aussi par la position des autorités françaises qui ont, dans les premiers jours de l'offensive, déclaré leur soutien à l'État d'Israël avant d'essayer en vain de corriger le tir en dénonçant timidement la violence des bombardements, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté, à de multiples reprises, dans de nombreuses villes de France.
Le gouvernement Hollande-Valls, soucieux de ne pas fâcher le pouvoir israélien et inquiet de constater le développement de la mobilisation malgré la période estivale, a alors entrepris de s'attaquer frontalement à celle-ci. Il n'a pas hésité à pratiquer de scandaleux amalgames et à laisser entendre que la solidarité avec les Palestiniens portait en elle l'antisémitisme. Puis, comme cela ne suffisait pas, les autorités ont décidé d'interdire certaines manifestations, notamment à Paris.
Nous avons été nombreux à protester contre ces interdictions, une atteinte grave, au nom de prétextes fallacieux, aux droits élémentaires et aux libertés fondamentales. Nous avons été d'autant plus révoltés d'apprendre qu'Alain Pojolat, membre du NPA, qui était en contact, au nom de nombreuses organisations , avec la Préfecture pour les manifestations parisiennes, était convoqué par la justice le 22 octobre prochain sous prétexte d'avoir organisé des « manifestations illégales ».
Nous exigeons que les poursuites contre Alain Pojolat soient immédiatement levées : manifester est un droit et même, dans certaines circonstances, un devoir, et il est scandaleux que quiconque puisse être condamné pour avoir voulu exercer ce droit.
Nous demandons en outre que les poursuites contre celles et ceux qui ont participé ou organisé les manifestations de cet été, ou qui s'investissent dans la campagne de boycott d'Israël, soient abandonnées, et exigeons l'abrogation de la circulaire Alliot-Marie qui criminalise le boycott.
Signataires :
( voir http://www.ujfp.org/spip.php?article3574 )
Voir en ligne : La page Facebook de l'événement
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/34618
Source : http://www.ujfp.org/spip.php?article3574
Contre la répression, solidarité avec le peuple palestinien
Union syndicale Solidaires
L'Union syndicale Solidaires tient à apporter son soutien sans réserve à Alain Pojolat militant du NPA, menacé aujourd'hui de répression pour avoir au nom de tous ceux qui voulaient manifester, déposé et négocié avec la préfecture de Paris des demandes de manifestations à Paris en soutien avec le peuple palestinien, finalement interdites.
Les autorités lui reproche d'avoir porté individuellement une exigence collective.
Après les déclarations complices du gouvernement, les interdictions de manifester, celui-ci ne tolère pas de n'avoir pas pu empêcher l'expression de la solidarité de milliers de manifestants et manifestantes. Après avoir tenté l'amalgame entre solidarité et antisémitisme, refusé clairement par le mouvement de solidarité, il use de la répression.
L'Union syndicale Solidaires estime que les incidents qui ont suivi la manifestation massive et pacifique de Barbès le 19 juillet relèvent de la responsabilité de ceux qui ont décidé l'interdiction. Elle assume sa présence lors des deux manifestations parisiennes interdites les 19 et 26 juillet et l'appel public qu'elle a fait à les rejoindre.
Elle exige l'arrêt de toute poursuite contre Alain Pojolat et le respect du droit d'expression et de manifestation.
Elle demande au gouvernement français d'oeuvrer pour :
- l'arrêt des bombardements,
- la levée du blocus de Gaza,
- la libération des prisonniers palestiniens,
- la mise en place de sanctions à l'encontre de l'Etat israélien pour le contraindre au respect du droit international.
Elle appelle aux nouvelles manifestations qui auront lieu dans les jours qui viennent.
Source : message reçu le 20 octobre 13h
Suite aux manifestations Palestine interdites
Alain Pojolat poursuivi :
jusqu'où Hollande et Valls iront-ils dans la complicité avec les criminels ?
Rassemblement Place Saint Michel, de 8h30 à 10h30.
L'armée israélienne poursuit son entreprise de destruction de la bande de Gaza, d'assassinat de femmes, enfants, vieillards; d'anéantissement des bâtiments publics et des habitations. Dans le même temps, il réprime de façon sanglante les manifestations de Cisjordanie et poursuit la destruction des villages des Palestiniens bédouins du Néguev. Israël est coupable à la face du monde de crimes de guerre et de crimes contre l'Humanité.
Dans cette situation, le gouvernement français tient à montrer sa « fermeté»....
Comment ?
Croyez-vous que ce soit, par exemple :
- En rappelant son ambassadeur quand Ziad Medoukh, le directeur du département de français à l'Université Al Aqsa de Gaza se voit interdit de se rendre en France ?
- En convoquant l'ambassadeur d'Israël à Paris quand la maison du Consul de France à Gaza, parfaitement repérée et identifiée, est détruite par l'armée israélienne ?
- En demandant la suspension des accords entre l'Union Européenne et Israël en dépit d'un article de l'accord qui le conditionne au respect des droits de l'homme ?
- En demandant l'inculpation des dirigeants politiques et militaires coupables de ces crimes ?
- En exigeant des instances de l'ONU qu'elles cessent de faire des déclarations lénifiantes sans jamais en assurer l'exécution ?
- En publiant enfin l'abrogation de la circulaire Alliot Marie qui interdit aux citoyens français de boycotter les produits et les institutions israéliens ?
- En décrétant la dissolution du groupe fascisant Ligue de Défense Juive coupable des incidents de la manifestation du 13 juillet à Paris ?
Non, vous n'avez rien compris à la politique de François Hollande et du gouvernement Valls.
Le gouvernement français montre sa « fermeté » en engageant des poursuites contre Alain POJOLAT.
Ce responsable du Nouveau Parti Anticapitaliste avait déposé, avec une vingtaine d'autres associations (dont une bonne dizaine sont membres du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Israéliens et Palestiniens), la demande de manifestation pour le samedi 26 juillet à Paris afin que la colère légitime des Parisiens contre la politique israélienne puisse s'exprimer dans un cadre organisé.
Ce rassemblement, scandaleusement interdit, n'a pas connu d'incident jusqu'à sa dispersion assurée par son propre service d'ordre. Mais il fallait au pouvoir un bouc émissaire, un « exemple ».
Alain est convoqué devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le 22 octobre prochain. Faire porter au seul Alain POJOLAT le chapeau du maintien du rassemblement décidé par plus d'une dizaine d'organisations, est une manœuvre minable montrant à quel niveau de bassesse en est arrivé ce gouvernement. L'Union Juive Française pour la Paix apporte à Alain POJOLAT son total soutien.
Nous serons à ses côtés le 22 octobre prochain au Tribunal. Cette nouvelle tentative d'intimidation du mouvement de solidarité ne peut avoir qu'une seule réponse : développer encore davantage les manifestations de soutien à la résistance du peuple palestinien et dénoncer tous les complices de l'agression qu'il subit.
Bureau national de l'Union Juive Française pour la Paix, 30 juillet 2014
Union Juive Française pour la Paix (UJFP)
Source : message reçu sur sortir du colonialisme le 12 octobre 15h
Source : message reçu sur ensemble-faldi le 30 juillet 21h
Rassemblement en soutien à Alain Pojolat
Mercredi 22 Octobre 2014, 08:30
Crédit Photo: Photothèque Rouge / Milo
Rassemblement Place Saint Michel le 22 octobre à 8H30 en soutien à Alain Pojolat.
Après avoir tenté de diaboliser cet été le mouvement de solidarité, le gouvernement a voulu le museler en interdisant certaines manifestations. Cela constitue une atteinte grave aux droits élémentaires et aux libertés fondamentales. Le gouvernement veut criminaliser la légitime expression d'une solidarité avec le sort du peuple palestinien, et ne recule devant rien pour stigmatiser et empêcher cette solidarité. Les militantEs de la campagne BDS sont régulièrement poursuivis, tout comme un certain nombre de militantEs ayant participé aux manifestations interdites, convoqués au tribunal le 29 octobre prochain, ainsi que notre camarade Alain Pojolat convoqué lui le mercredi 22 octobre pour avoir déclaré à la préfecture ces manifestations... interdites par la suite !
Face à cette tentative d'intimidation et de criminalisation du mouvement de solidarité, le site Mediapart a publié un appel de 200 personnalités - syndicalistes, politiques, mouvement social, intellectuels et artistes - qui exigent l'arrêt des poursuites engagées contre ces militants et réaffirment que la solidarité est un droit, pas un délit ! Cet appel est devenu une pétition à faire signer largement.
À l'initiative de l'AFPS, du PG, de Solidaires, de l'UD CGT 75 et du NPA, un rassemblement unitaire pour dénoncer cette criminalisation a lieu à Paris devant le Palais de justice, le mercredi 22 octobre à partir de 8 h 30, au moment où Alain Pojolat est convoqué au tribunal. Soyons-y nombreux et nombreuses !
Arrêt des poursuites contre Alain Pojolat
Lutte Ouvrière
Les poursuites engagées contre Alain Pojolat, dirigeant du NPA auquel il est reproché d'avoir appelé à des manifestations interdites, s'inscrivent dans une posture choisie par Valls pour montrer qu'il continue à se situer aux côtés des massacreurs d'État israéliens, tout en cultivant son image d'homme à poigne. Son intransigeance s'exerce de façon unilatérale, plus particulièrement contre ceux qui sont indignés par les massacres décidés et exécutés froidement, méthodiquement, sans pitié par les dirigeants d'Israël et qui sont révoltés par la complicité affichée du gouvernement socialiste avec les responsables de ce carnage.
Lutte Ouvrière s'associe à tous ceux que ces poursuites révoltent et réclame l'annulation des poursuites contre Alain Pojolat et dénonce l'arbitraire de décisions gouvernementales qui visent à intimider, voire à bâillonner les contestations, plus particulièrement celles qui se situent à sa gauche.
Soutien à Alain Pololat
dont le procès aura lieu le 22 octobre à Paris
Tandis que les dangereux nervis de la LDJ agissent et agressent en toute impunité, c'est un membre du NPA, qui est convoqué par la justice le 22 octobre prochain, accusé d'avoir organisé des « manifestations illégales » cet été, en soutien à la Palestine, dans la seule capitale au monde à avoir interdit des manifestations de protestation contre les bombardements de populations civiles. Tous au tribunal de Paris mercredi prochain à 9 H.
Alain Pojolat, membre du NPA, qui était en contact, cet été, au nom de nombreuses organisations, avec la Préfecture pour les manifestations parisiennes, a été convoqué par la justice le mercredi 22 octobre, sous prétexte d'avoir organisé des « manifestations illégales ».
L'audience se tiendra à la 24ème chambre (Palais de Justice de Paris - M° Cité, St Michel ou Chatelet) à 9h00.
« Nous appelons à un rassemblement devant le palais [ NDR: place St Michel ] à 8h45 », écrit Alain Pojolat.
Un communiqué devrait être publié prochainement.
CAPJPO-EuroPalestine
Communiqué de l'AMDH-Paris-IDF
suite à l'inculpation du camarade Alain Pojolat, membre du NPA, pour maintien de manifestation interdite.
Nous venons d'apprendre avec stupéfaction l'inculpation du camarade Alain Pojolat pour maintien de manifestation interdite. Sa comparution devant le Tribunal de Grande Instance de Paris est prévue pour le 22 octobre 2014.
Alain Pojolat, militant au sein du NPA, étant le dépositaire de la déclaration à la préfecture de police de Paris de la manifestation de soutien au peuple palestinien du 23 juillet 2014 Place de la République pour l'ensemble des organisations se trouve ainsi poursuivi pour tenue d'une manifestation interdite.
L'Association Marocaine des Droits Humains Paris-Ile-de-France exprime son entière solidarité avec Alain Pojolat dans cette épreuve judicaire et dénonce par la même occasion une machination visant à priver un citoyen de son droit constitutionnel d'expression libre de ses opinions politiques pacifistes.
Ce procès honteux que subit le camarade Alain Pojolat dénote une volonté de criminalisation par les pouvoirs en France de tout élan citoyen de solidarité avec le peuple palestinien dans sa lutte pour la reconnaissance de ses droits sur ses terres occupées par l'entité sioniste. Cette entité étant coupable de crimes contre l'Humanité dans la bande de Gaza, notamment depuis plus de vingt jours avec plus de 1 300 victimes, principalement des civils, femmes et enfants.
L'AMDH Paris- IDF en renouvelant sa solidarité avec A. Pojolat et toutes les personnes arrêtées abusivement pour leur participation aux manifestations « interdites » du 19 et 26 juillet, exige l'arrêt de ce procès inique et exprime sa profonde inquiétude quant à la répression que subissent les droits de manifestation et d'expression pourtant reconnus droits constitutionnels en France.
L'AMDH Paris-IDF dénonce la position officielle prise par la France au sujet de l'agression sioniste, cautionnant le massacre des populations civiles par l'armée d'occupation. L'AMDH Paris-IDF interpelle le gouvernement français afin d'exiger la fin de cette agression et la levée du blocus de Gaza.
Enfin, l'AMDH Paris-IDF se joint à la manifestation du samedi 02 Aout 2014 de Denfert-Rochereau jusqu'aux Invalides appelée par plusieurs associations, partis politiques, syndicats, etc. pour dénoncer les crimes commis par l'Etat sioniste et pour soutenir les résistances légitimes du peuple palestinien.
Le Bureau de l'AMDH-Paris/Ile-de-France
Source : message reçu le 31 juillet 13h
Pétition en ligne
Voilà une pétition à signer en ligne présente notamment sur mediapart
en solidarité avec Alain Pojolat :
La pétition est disponible ici : allez vite la signer !
Non à la criminalisation de la solidarité avec la population de Gaza !
Nous exigeons la relaxe d'Alain Pojolat !
Alain Pojolat, porte-parole du NPA, est convoqué devant la justice, le 22 octobre prochain pour avoir appelé à manifester le 19 juillet en solidarité avec la population palestinienne de Gaza en dépit d'une interdiction gouvernementale. De telles interdictions ont été exceptionnelles depuis la fin de la guerre d'Algérie. Le droit de manifester fait partie des libertés démocratiques. La France est le seul ou l'un des très rares pays où de telles manifestations ont été interdites ! Au moment où la population de Gaza subit un terrifiant déluge de bombes, qui a fait plus d'un millier de morts, des milliers de blessés, dans leur immense majorité civils, et une centaine de milliers de sans abri et déplacés, il est inacceptable que le gouvernement prétende nous refuser le droit de dénoncer ces massacres dans la rue. Par cette interdiction provocatrice, il est le premier responsable des incidents. Incidents qui ont d'ailleurs été déformés et démesurément grossis pour tenter de justifier cette atteinte aux libertés élémentaires.
En criminalisant les actions de solidarité avec le peuple palestinien, le gouvernement prend de fait partie pour ceux qui le massacrent. Il cherche à nous dissuader de continuer à affirmer cette solidarité en s'en prenant à l'un des organisateurs. Alain Pojolat a eu le courage d'affirmer qu'on a le devoir de braver une telle interdiction antidémocratique quand tous les jours des enfants innocents sont déchiquetés par les bombes d'une des plus grandes puissances militaires de la planète. Condamner Alain Pojolat serait un acte de complicité avec ceux qui lancent quotidiennement ces bombardements terroristes sur Gaza.
Nous exigeons que Alain Pojolat soit relaxé.
Premières signatures:
- Gérard Delteil, écrivain
- Serge Quadruppani, écrivain
- Gilles Perrault, écrivain
- Olivier Favier, Journaliste, auteur, traducteur
- Yves Pagès, écrivain, éditeur
- José Reynès, cinéaste
- François Ruffin, journaliste
- Florence Rigollet, comédienne
- Pierre Carles, cinéaste
- Frédéric Neyrat, philosophe
- Jiho, dessinateur
- Carali, dessinateur
- Siné, dessinateur
- Catherine Sinet, rédactrice en chef de Siné Mensuel
- Olivier Landau, Directeur délégué à l'Anticipation et la Stratégie à Sofrecom
- Hervé Le Bras, démographe
- Gus Massiah, économiste
- Robert Rousso, dessinateur de presse
- Jeanne Folly, journaliste
- Dr Marcel Francis Kahn
Source : message reçu le 31 juillet 16h
La CGT Paris exige la relaxe d'Alain Pojolat !
Union Départementale CGT Paris
Alain POJOLAT militant CGT, mais aussi politique, qui avait déposé au nom de l'ensemble des organisateurs la déclaration en Préfecture des manifestations de soutien au peuple palestinien qui ont finalement été interdites, a été convoqué pour se voir notifier sa mise en examen et devrait comparaître devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le 22 octobre 2014.
L'UD CGT Paris a déjà désapprouvé la décision prise par les autorités françaises d'interdire certaines manifestations de solidarité avec le peuple palestinien.
Il faut remonter à la fin de la guerre d'Algérie pour retrouver de telles interdictions.
Le droit de manifester fait partie des libertés démocratiques. La France est le seul pays où ces manifestations ont été interdites.
Au moment où la population de Gaza, toujours frappée par le blocus imposé par l'Etat d'Israël subit un véritable déluge de bombes, qui a fait plus de 2000 morts, des milliers de blessés, dans leur immense majorité civils, et 250 000 sans abri et déplacés, il est inacceptable que le gouvernement nous prive du droit de dénoncer ces massacres dans la rue. Par cette interdiction provocatrice, il est le premier responsable des incidents. Incidents qui ont d'ailleurs été déformés et démesurément grossis, avec la complicité des médias, pour tenter de justifier cette atteinte aux libertés élémentaires.
Dans le même temps, ces autorités n'ont eu aucune volonté de prendre la moindre initiative politique répondant à la gravité du drame qui se déroule à Gaza comme la dénonciation des violences perpétrées contres les civils, soutenir les droits du peuple palestinien et mobiliser la communauté internationale en faveur de la paix.
En s'en prenant à un militant qu'il soit syndical ou politique, mais aussi à de simples manifestants, le pouvoir continue à entretenir l'amalgame qui a été fait entre certains "casseurs" et ceux qui souhaitent simplement manifester de façon pacifique leur soutien à la cause du peuple palestinien.
Le pouvoir tente une nouvelle fois de criminaliser le mouvement de solidarité et continue d'affirmer ainsi son soutien à la politique criminelle de l'Etat d'Israël.
Manifester, n'en déplaise au gouvernement est un droit constitutionnel garanti par la convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales dont la France est signataire.
Pour la CGT cette nouvelle atteinte au droit de manifester et de pouvoir exprimer librement sa solidarité avec le peuple palestinien massacré par l'Etat d'Israël est inadmissible.
La CGT Paris, l'UL CGT du 18ème et le syndicat BNP expriment toute leur solidarité à Alain POJOLAT et s'associeront aux différentes initiatives qui iront dans ce sens.
Elles appellent d'ores et déjà à signer massivement la pétition de soutien à notre camarade Alain POJOLAT et exigent qu'il soit relaxé.