jeudi 13 février 2014 à 11h
Grève et rassemblements
Budget, postes, éducation prioritaire, rythmes scolaires...
https://paris.demosphere.net/rv/31084
Appel intersyndical.
-
11h00 - Rassemblement devant la préfecture de Bobigny (et pas la DSDEN)
Il y aura du café et du vin chaud à prix libre. - 14h00 - Manifestation de Saint-Michel au ministère (rv 13h30, départ 14h)
- 17h00 - Assemblée générale de grève interdegrés - Bourse du Travail de Paris
L'Assemblée Générale qui s'est tenue ce jeudi 6 février à la Bourse du Travail de Bobigny à l'appel de nos organisations syndicales a réuni 130 personnes, avec plus de 40 établissements représentés dont 16 en grève ce jour. Face au mépris du ministre de l'Education nationale, les participants ont montré leur détermination à obtenir de vrais moyens pour l'Education prioritaire et pour l'ensemble des établissements du département.
La discussion a montré que, partout, les conséquences des propositions de DHG faites par le rectorat ou la direction académique étaient désastreuses : fermetures de classes entraînant des sur-effectifs, suppressions d'heures statutaires, suppressions d'heures devant permettre les dédoublements, le soutien ...
L'assemblée générale, soutenue par les organisations CGT Educ'action 93, CNT Education, SNFOLC 93, SNEP 93, SNES-FSU 93, Sud éducation Créteil refuse
- les baisses de DHG
- la suppression des heures statutaires
Elle revendique, avec l'intersyndicale
- le respect des seuils
- l'abaissement du nombre d'élèves par classe
- l'ouverture immédiate de toutes les divisions pour faire face à la hausse démographique
- le respect des horaires réglementaires en LP
- la titularisation de tous les précaires
- le retour des heures 93 dans tous les établissements et toutes les divisions
- la Mise en place d'un plan de rattrapage et de développement pour créer tous les postes nécessaires
(rattrapage sur les fermetures des années 2002 à 2013, rattrapage lié à l'évolution démographique,
développement pour abaisser les effectifs).
L'assemblée générale et les organisations syndicales appellent donc les établissements à :
- poursuivre le mouvement par la grève le 13,
- à mettre en débat dès maintenant la grève du 4 mars et sa reconduction, qui sera discutée lors de l'AG du 13 février
- d'ouvrir l'assemblée générale aux autres départements de la RP
- à envoyer des délégué-e-s mandaté-e-s à l'assemblée générale de grève à 17 heures à la Bourse du Travail de Paris (rue du Château d'Eau, métro République).
Rendez vous à 14 h 00 à Saint Michel pour un départ en manifestation en direction du ministère !
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/31084
Source : http://www.sudeduccreteil.org/spip.php?articl...
Source : message reçu le 9 février 20h
Source : message reçu le 9 février 19h
Source : http://www.sudeduccreteil.org/spip.php?articl...
Source : http://www.cgteduc93.fr/spip.php?article5863
Source : http://sudeducation92.ouvaton.org/spip.php?ar...
Grève largement unitaire le 13 février en Ile-de-France
Communiqué CGT
Jeudi 13 février 2014, une grève aura lieu dans l'Éducation nationale en Ile-de-France, en particulier dans le 92 et dans le 93.
Cet appel est soutenu par deux larges intersyndicales, CGT, FO, FSU, SUD, UNSA et CFDT dans le 92 et CGT, FSU, FO, SUD et CNT dans le 93.
La CGT Éduc'action soutient ces appels et appelle à l'extension de la mobilisation. Le constat de la baisse des moyens, y compris dans ce qui a ressemblé à de "l'Éducation prioritaire" il y a quelques mois encore, est partagé par tous. Il est urgent que le ministre de l'Éducation nationale réponde aux revendications des personnels, en donnant à l'école les moyens de ses ambitions !
Une manifestation partira à 14h00 de la place Saint-Michel en direction du ministère de l'Éducation nationale.
Tract de Saint-Denis
Alors qu'en quelques jours, la pétition unitaire (SNUipp - Snudi FO FO territoriaux - SUD Education, SUD territoriaux) a recueilli plus de 1500 signatures (Enseignants - personnels communaux - et parents) !
Alors que des délégations d'écoles (enseignants - parents - communaux) sont venues en rassemblement et en audience ce jeudi 6 février pour demander au maire de Saint-Denis de ne pas appliquer la réforme à la rentrée 2014, pour lui demander de nous adresser ensemble au ministre de l'Education nationale afin qu'il suspende sa réforme et ouvre des négociations.
La mairie de Saint-Denis s'obstine, inexplicablement, à vouloir défendre cette réforme nocive que l'écrasante majorité rejette.
Pour autant, elle se trouve de plus en plus fragilisée, vu l'unité large et solide qui se réalise entre enseignants, communaux et parents.
La mairie de Saint-Denis doit se ranger du côté des écoles et donc refuser la mise en place de cette réforme à la rentrée prochaine.
C'est pourquoi les syndicats SNUipp - Snudi FO - SUD Education de Saint-Denis appellent les enseignants de la ville à être en grève jeudi 13 février , en rassemblement à la DSDEN à partir de 11 h (jour du CDEN où la mairie de Saint-Denis est invitée par le DASEN a présenté l'organisation des rythmes scolaires choisie sur la ville) et en rassemblement au ministère à partir de 14h30 à l'appel des syndicats SNUipp - Snudi FO - SUD - CGT du 93
Le décret doit être retiré Les maires ne doivent pas appliquer la réforme des rythmes scolaires.
Création des postes nécessaires (pour le remplacement, la baisse des effectifs, la reconstitution des RASED, des AVS, de réelles mesures pour l'Education prioritaire...)
Budget, postes, remplacement, éducation prioritaire, réforme des rythmes :
Mobilisation ! Grève le 13 février
- 11h : rassemblement devant la DSDEN à Bobigny à 11h, à l'occasion du CDEN qui doit valider les projets des villes pour l'application du décret rythmes à la rentrée 2014 ;
- après -midi : manifestation au Ministère l'après-midi pour porter la revendication des moyens et celle du retrait du décret rythmes.
La première étape de la refondation de l'école n'a pas apporté les changements nécessaires à la réussite scolaire des élèves de Seine-Saint-Denis : problème constant du non remplacement des maîtres, les effectifs en hausse, aucun poste de RASED n'a été restitué, l'accompagnement des enfants en situation de handicap n'est pas amélioré, le plus de maitre que de classes n'a pas de réalité nouvelle dans le département, la scolarisation des enfants de moins de 3 ans atteint à peine 1,5%.
Depuis la rentrée de janvier le remplacement des enseignants absents est de nouveau problématique voire inexistant sur certaines villes, ce sont même des remplacements de congés maternité qui ne sont plus assurés. Le problème ne sera réglé que par la création de postes d'enseignants remplaçants titulaires à hauteur des besoins, que nous réclamons depuis plusieurs années.
La politique de « réduction des déficits publics », encore réaffirmée par les annonces du président Hollande concernant le « pacte de Responsabilité », va continuer de mettre à mal tous les services publics dont la population a besoin, y compris l'école. Les 147 postes attribués à la Seine Saint-Denis pour la rentrée 2014 ne permettront ni de réaliser les objectifs affichés par le ministère, ni même d'améliorer le fonctionnement des écoles. Scolariser les 2370 nouveaux élèves, poursuivre la création de classes de TPS, améliorer le remplacement, il faudra que le DASEN fasse des choix ! Les mesures annoncées pour l'éducation prioritaire resteront des annonces sans concrétisation pour notre département : un maitre supplémentaire par école, du temps de décharge aux enseignants à raison d'une journée par mois, de la formation continue… Avec quels postes ? Le nombre total de maîtres supplémentaires prévu à cette rentrée pour toute la France, ne correspond même pas à un poste par école ZEP de la seule Seine Saint-Denis… Ces mesures ne concernent au mieux qu'un tiers des réseaux du département et ne mentionnent aucune notion de seuils !
Le décret sur les rythmes scolaires doit être retiré.
Les maires ne doivent pas appliquer la réforme des rythmes scolaires.
Création des postes nécessaires
Dans la situation de l'école aujourd'hui, la réforme des rythmes scolaires ne peut être vécue que comme une dégradation supplémentaire du temps scolaire. Trop souvent les maires présentent leurs nouvelles organisations du temps scolaire contre l'avis des conseils d'école, contre l'avis de l'immense majorité des enseignants. Certains tentent même d'intervenir dans les projets d'école avec leur PEDT. Les choix que font les municipalités d'organiser des activités péri-scolaires sont déterminés par leur budget. Ce contexte qui ne garantit ni la qualité, ni la gratuité de ces activités, légitime les inquiétudes de territorialisation de l'école : désengagement de l'Etat et PEDT ne peuvent qu'inciter les communes à se substituer progressivement à l'Education nationale.
Le décret du 24 janvier 2013 ne permet pas de poser les bonnes problématiques sur les rythmes scolaires. Ce décret doit être retiré pour permettre la réflexion sur le cadre national nécessaire, les garanties pour les enseignants, le bénéfice pour les élèves, sur une nouvelle organisation du temps scolaire dans le respect des missions et des statuts de chacun.
Les organisations syndicales SNUipp-FSU, CGTéduc'action, SUDéducation, SNUDI-FO, de Seine-Saint-Denis appellent les enseignants des écoles à se mettre en grève le jeudi 13 février 2014 pour obtenir des moyens au service de l'école et de la réussite scolaire, et dire non à cette réforme des rythmes.
Nous voulons des créations de postes pour : le remplacement, la baisse des effectifs dans toutes les classes, la reconstitution des RASED, des AVS pour la scolarisation des enfants handicapés, de réelles mesures pour l'éducation prioritaire…
Nous refusons : l'application de la réforme des rythmes scolaires telle qu'elle est imposée par le décret du 24 janvier 2013.
A l'occasion du CDEN (où siègent, le DASEN, le conseil général, les maires du département, les représentants des personnels enseignants et ceux des parents d'élèves), censé examiner les nouveaux horaires des écoles à la rentrée 2014, l'intersyndicale du 1er degré appelle les enseignants à se rassembler à la DSDEN de Bobigny à 11h ce jeudi 13 février.
Une manifestation sera organisée au ministère de l'Education nationale l'après-midi pour revendiquer les moyens dont les écoles de Seine-Saint-Denis ont besoin et pour dire non à la réforme des rythmes scolaires !
Tous en grève le jeudi 13 février !
Les collèges du 93 n'ont pas l'intention de se laisser plumer
Pourquoi nous nous opposons à la (re)fonte de l'éducation prioritaire
Avec les dernières informations obtenues lors des différentes audiences et avec les derniers compléments de DHG, les choses sont plus claires.
Les belles annonces du ministres ont été bousculées par la réalité des DHG.
C'est bien à budget constant que seront mis en place les mesures annoncées dans 6 REP+ du départements. Pour le reste de l'éducation prioritaire (56 collèges) cela veut dire le glissement d'un traitement en termes de moyens vers un traitement indemnitaire. On conservera la prime (qui sera augmenté de 40 euros en 2015, mais les promesses ...) mais les heures pour essayer de s'attaquer à la difficulté scolaire vont disparaitre. Dès 2014 pour certains, en 2015 ou 2016 pour les autres. Dès la rentrée 2014, ce sont 710 heures qui manquent par rapport à la rentrée 2013.
Ce n'est pas le volant de 216 heures réservées au REP+ qui vont inverser la tendance.
Pire, les directeurs adjoints ne font plus de mystère aux seuils du nombre maximal d'élèves par classe (23, 24 ou 25 selon son classement). Les seuils vont être « interrogés ». Ce qui peut être traduit en langage plus clair : la direction académique ne respectera plus ces seuils dès la rentrée 2015. C'est déjà le cas dans le département dans quelques classes, c'est bien une généralisation qui est annoncée. A ceux qui ne serait tenté qu'une telle inflexion politique ne serait possible :
C'est le cas dans le 92 ! Que le collège soit à Nanterre ou à Neuilly, le même seuil.
Seul le ministère peut débloqué des moyens pour qu'une réelle politique d'éducation prioritaire puisse mettre mis en œuvre.
C'est pourquoi nous appelons ,avec l'intersyndicale, tou-te-s les collègues à se mettre en grève le jeudi 13 février, à tenir des assemblées de grève pour parler de la reconduction de la grève dès le 4 mars au retour des congés et à venir manifester à 14h. De Saint-Michel jusqu'au ministère
Le 92, qui est en mouvement depuis maintenant deux semaines, les écoles du 93 sont aussi appelés à la grève le jeudi 13 février.
Source : message reçu le 9 février 19h
Grève, rassemblement et manifestation
Le décret rythmes doit être retiré ! Création des postes nécessaires !
- 11h : rassemblement devant la DSDEN à Bobigny à 11h, à l'occasion du CDEN qui doit valider les projets des villes pour l'application du décret rythmes à la rentrée 2014 ;
- après -midi : manifestation au Ministère l'après-midi pour porter la revendication des moyens et celle du retrait du décret rythmes.
SUD Education poursuit la mobilisation au niveau local, après la mise en sommeil de l'intersyndicale nationale (voir notre analyse). Plusieurs villes du 93 se mobilisent (Saint-Denis, Pantin, Aubervilliers, Saint-Ouen...), le 94 appelle à une journée d'action intersyndicale, c'est maintenant l'intersyndicale 93, suite à notre proposition, qui se met en action.
L'intersyndicale départementale SUD-CGT-SNU-FO appelle à une journée de grève le 13 février 2014 pour :
- le retrait du décret rythmes ;
- l'obtention des moyens nécessaires pour la Seine-Saint-Denis.
Les équipes sont invitées à faire signer l'appel sous forme de pétition et à l'amener devant la DSDEN ou à le transmettre à un représentant syndical en amont si elle ne peuvent s'y rendre.
SUD Education 92
appelle tous les personnels à faire grève et à manifester le 13 février
SUD Education 92 appelle tous les personnels de l'éducation des Hauts-de-Seine - des écoles, collèges et lycées - à faire grève et à manifester le jeudi 13 février pour des créations massives de postes dans le secondaire et le primaire ainsi que contre la réforme des rythmes scolaires.
Le syndicat appelle à se réunir en assemblée générale régionale et intercatégoriel pour décider des suites de la mobilisation.
C'est tous ensemble qu'il faut lutter !
Manifestation jeudi 13 fevrier 14h place saint michel en direction du ministère
Communiqué de l'Intersyndicale 92
Sans réponse du Ministre, la mobilisation s'élargit Ce mardi 04 février 2014, près de 700 personnes se sont réunies devant le ministère après une manifestation partie de Sèvres-Babylone. C'est la preuve que la mobilisation s'élargit au-delà des enseignants car de nombreux parents et lycéens ont rejoint le cortège.
Plus de 17 établissements étaient présents dans le cortège tandis que d'autres étaient bloqués par les parents d'élèves dans le département.
Une délégation a été reçue demandant des moyens supplémentaires nécessaires aux établissements du département. Encore une fois, après une quatrième journée de grève, aucune réponse n'a été donnée. C'est le choix du pourrissement qui a été fait par l'administration : c'est inacceptable. Le refus du Ministre de répondre aux revendications légitimes contraint les personnels à élargir le mouvement.
Dans ces conditions, l'Assemblée Générale des établissements en lutte et les organisations CGT Educ'Action, FNEC FP FO, FSU, SGEN-CFDT, SUD-Education & SE-UNSA appellent les personnels à poursuivre le mouvement :
- En poursuivant l'élargissement du mouvement en direction des parents et des jeunes scolarisés ainsi que des élus dans nos établissements et nos communes.
- En se rassemblant avec les familles samedi 8 Février à Colombes à 14 h30 devant la mairie de Colombes puis à Nanterre à 16 heures devant la Préfecture.
- En appelant à la grève jeudi 13 février et en manifestant devant le Ministère.
Toutes ces actions ont pour but d'obtenir les moyens du maintien des taux d'encadrement dans les Hauts-de-Seine c'est-à-dire une dotation supplémentaire de l'Etat de 2000 heures, nécessaire au maintien de conditions d'études convenables pour les enseignants comme pour les élèves.
CGT Educ'Action, FNEC FP FO, FSU, SGEN-CFDT, SUD-Education & SE-UNSA
Source : http://sudeducation92.ouvaton.org/spip.php?ar...
Source : https://paris.demosphere.net/rv/31110