thème : travail
Réagir (0)EnvoyeriCalPartager

jeudi 22 octobre 2009 à 12h

8 parties : 1 2 3 4 5 6 7 8

Manifestation nationale à Paris

Licenciements, emploi, développement industriel

Trajet / Parcours :

Rendez-vous 12h à Denfert-Rocherau - en direction de place d'Italie puis Bercy

Rendez-vous particuliers:

  • 12h - salariés du Notariat, à l'angle rue Daguerre / avenue du Général Leclerc – (côté café daguerre)

Source : confirmation tel. du siège de la CGT le 14/10


1 2 3 4 5 6 7 8

Manifestation nationale à Paris contre les licenciements et pour l'emploi

Communiqué Solidaires

Chaque jour, les responsables de la crise veulent faire payer aux salariés le prix fort : licenciements, chômage partiel, dégradation des conditions de travail, blocage des salaires… _

Pendant ce temps, les grands groupes industriels et les banques affichent des résultats financiers insolents. Les directions d’entreprises profitent de la crise pour restructurer à bon compte et détruire massivement l’emploi.

Elles profitent des aides publiques qui leur sont versées sans aucun contrôle ni aucune contrepartie.

Face à cela, il est urgent d’imposer au patronat et au gouvernement d’autres choix qui priorisent l’emploi, les garanties des salarié-es, le pouvoir d’achat, l’amélioration des conditions de travail… plutôt que les dividendes pour les actionnaires et les plus-values pour les marchés financiers.

Depuis plusieurs mois, des luttes importantes se mènent dans les entreprises, notamment dans les secteurs de la Chimie / Pharmacie et de la Métallurgie, pour résister à tous ces mauvais coups.

L’Union syndicale Solidaires soutient ceux et celles qui luttent quotidiennement dans leurs entreprises : Michelin, Rhöm et Haas, Goodyear Dunlop, Freescale, Chaffoteaux, Continental, Molex… et tant d’autres qui essaient de maintenir l’emploi ou d’obtenir les indemnités qui leur permettront, à eux, et à leur famille, de survivre.

L’Union syndicale Solidaires s’inscrit pleinement dans toutes les initiatives qui favorisent la convergence et la coordination de ces mobilisations et leur développement.

Dans ce sens, avec ses unions de l’Industrie et de la Chimie-Pharmacie, Solidaires appelle à manifester massivement à Paris le 22 octobre, répondant positivement à la proposition de la CGT d’une manifestation nationale ce jour-là. D’ores et déjà, dans plusieurs entreprises, des sections syndicales CGT et SUD ont décidé d’appeler ensemble au 22 octobre. Solidaires propose que le 22 octobre se prépare le plus unitairement possible dans le maximum d’entreprises afin que cette journée constitue une étape importante dans la construction d’un rapport de forces général.

Tous ensemble le jeudi 22 octobre à Paris.

Rendez-vous : 13 heures Place Denfert Rochereau

Source : http://www.solidaires.org/article27329.html


1 2 3 4 5 6 7 8

Manifestation nationale pour le développement industriel

Rendez-vous 12 heures
Place Denfert Rochereau

Le 22 octobre prochain, l’industrie sera dans la rue. La CGT appelle en effet à une journée d’action nationale à Paris pour l’avenir des emplois et le maintien d’une industrie forte et diversifiée dans l’Hexagone.

Une initiative qui succède à la journée de lutte dans la filière automobile du 17 septembre dernier et aux actions menées depuis le coup d’envoi de la campagne de mobilisations lancée par le collectif « politiques industrielles » de la CGT, dont le point d’orgue a été l’organisation des Assises nationales de l’industrie du 11 juin dernier à Montreuil.

Longtemps grande oubliée des politiques publiques, l’industrie vit un retour en grâce dans le discours gouvernemental. Le 3 septembre dernier, le président de la République annonçait ainsi la tenue d’états généraux de l’industrie avant la fin de l’année, un événement qui pourrait « être préparé par ateliers dans les différentes régions par les PME, grandes entreprises, syndicats, financeurs, chercheurs (…) et qui pourraient se concrétiser en convention nationale », a indiqué Nicolas Sarkozy, rappelant qu’il s’agissant là d’une « très bonne idée de Bernard Thibault », secrétaire général de la CGT.

Si la CGT réclame en effet de longue date l’organisation d’une conférence permanente nationale sur l’avenir de l’industrie, elle entend rester attentive aux modalités d’organisation de ces états généraux. La façon dont le gouvernement s’est emparé du dossier Molex incite en effet à la plus grande vigilance. La CGT « ne se satisfera pas de la seule organisation d’états généraux (…) », ces derniers doivent « déboucher sur quelque chose de nouveau en termes de politique industrielle », a ainsi indiqué Bernard Thibault. Quelque chose de nouveau et surtout des mesures concrètes pour pérenniser leurs emplois, c’est bien ce que revendiquent les dizaines de milliers de salariés affectés par la crise alors même que 300 000 postes sont menacés à brève échéance dans le secteur.

document au format PDF:

Source : http://cgteduc93.free.fr/? Manifestation-nati...


1 2 3 4 5 6 7 8

Manifestation nationale à Paris le 22 octobre 2009
Pour le développement industriel et l'emploi

Dans un contexte de crise financière, les dégâts économiques et sociaux se sont aggravés. Tous les voyants sont au rouge : les licenciements économiques ont progressé de 60 % en un an ; 600 000 jeunes entrent sur le marché du travail ; le chômage augmente ; l’emploi industriel chute de 15 %.
Alors que les responsables gouvernementaux et patronaux veulent faire payer la facture aux seuls salariés et retraités du pays, partout monte l’exigence revendicative d’une rupture avec une société jouant les profits financiers contre l’humain.

Cela rend plus urgentes les réponses alternatives aux choix patronaux et gouvernementaux actuels en matière d’emploi, de formation, de salaires et de lutte contre les inégalités.
L’Enseignement Scolaire, l’Enseignement Supérieur et la Recherche publics, la Formation Continue sont directement concernés car au centre d’enjeux et de stratégies de portée considérable. Ils sont le lieu où se produisent les qualifications indispensables à l’essor économique et au progrès social, ils sont le lieu où se tissent les synergies, les liens entre disciplines, où s’organisent les mixités, les coopérations propres à favoriser, à leur tour, de nouvelles avancées des connaissances et de meilleurs transferts de technologie.

Or, la perte des emplois à l’Education Nationale – 50 000 postes depuis 2002 - se traduit par l’importance des mesures de carte scolaire, la réduction drastique des postes aux concours, le recours aux emplois précaires…Elle entraîne de nombreuses fermetures de classes en maternelle et primaire, de sections de formation dans le secondaire et conduit à la réduction de l’offre de formation aboutissant de fait à l’exclusion des jeunes les plus fragiles.
Dans l’Enseignement Supérieur, la politique menée tambour battant par les gouvernements depuis plus de 10 ans ne fait pas que remettre en cause les acquis des personnels du secteur ou les missions publiques qu’ils réalisent mais bien tout l’édifice des diplômes et titres universitaires qui constitue, pour la quasi totalité des salariés, une référence solide et nationale pour la reconnaissance des qualifications.
La loi « LRU », déportant la gouvernance et le financement des universités vers le Patronat, les nouveaux diplômes, LMD, système de « crédits » favorisant l’individualisation des parcours des étudiants remettent en cause, le caractère national des formations au profit des seules attentes des employeurs locaux, le caractère national du diplôme au profit d’une vague accréditation d’un niveau d’études permettant au patronat d’opérer l’individualisation totale des profils recherchés.

Quant à la Formation Continue, la mise en concurrence des divers acteurs publics et privés, GRETA, CNAM, AFPA, la remise en cause de leurs missions, la poursuite du démantèlement de ces services publics avec notamment le transfert de l’orientation à Pôle Emploi, conduit à écarter six millions de salariés soit 16 % de la population active – femmes isolées, travailleurs faiblement qualifiés, salariés en temps partiels, en situation de handicap, immigrés…- de l’accès à la formation et à l’emploi.

Ces politiques impactent plus particulièrement, au delà de l’ensemble des services publics, les secteurs de l’éducation, de la formation, de la recherche et de la culture. La sauvegarde et le développement de l’industrie et de l’emploi nécessitent d’autres politiques
La Ferc-Cgt revendique la place centrale de l’Etat dans le financement et le pilotage des établissements de nos secteurs. L’Etat doit rester l’opérateur culturel et éducatif qui garantit l’avenir des services publics, le maintien et le développement de l’emploi.

C’est pourquoi elle revendique :
- L’abrogation de la loi Fillon et de la loi sur l’égalité des chances,
- Le retour à un service public de recherche et d’enseignement supérieur au service de tous,
- La mise en place d’un plan pluriannuel de création de postes de titulaires tant dans l’enseignement scolaire que dans le supérieur et la recherche, et la résorption des emplois précaires par un plan de titularisation.
- Un service public de l’emploi, de l’orientation, de la formation et de la certification, adapté aux besoins de formation des demandeurs d’emploi, des salariés et des territoires. C’est le droit à la formation pour chaque citoyen qui serait garantie ainsi qu’une insertion durable dans l’emploi.

Plus que jamais l’heure est à la mobilisation !

Le jeudi 22 octobre,
manifestons ensemble à Paris
Rendez-vous 12 heures
Place Denfert Rochereau

document au format PDF:

Source : http://cgteduc93.free.fr/?Manifestation-natio...


1 2 3 4 5 6 7 8

Manifestation nationale à Paris pour l’avenir des emplois et de l’industrie

...

Il y a urgence pour l’emploi et l’avenir de l’industrie en France dont l’activité a baisse de 10 %, nous ramenant 12 ans en arrière. Après les Assises nationales du 11 juin à Montreuil « pour une politique industrielle durable », la CGT réaffirme la nécessité d’autres mesures, d’autres ambitions politiques qui font aujourd’hui défaut. Je l’ai redit au Président de la République mardi. Nous avons retenu la date du 22 octobre prochain pour une initiative de mobilisation d’envergure nationale pour l’avenir des emplois et de l’industrie, avec une manifestation à Paris.

...

Source : http://www.cgt.fr/spip.php?article36365


SUD-Rail confirme sa volonté d’agir le 22 octobre.

SUD-Rail est pour que les cheminots participent massivement à l’action interprofessionnelle du 22 octobre appelée par la CGT et Solidaires.

SUD -Rail confirme sa volonté d’agir le 22 octobre.

SUD-Rail est pour que les cheminots participent massivement à l’action interprofessionnelle du 22 octobre appelée par la CGT et Solidaires.

A ce jour il n’a pas été possible de réaliser un appel commun : CGT et CFDT veulent une grève uniquement SNCF le 20 octobre.

Source : http://sudrail.fr/index.php?page=actualite&id...


1 2 3 4 5 6 7 8

Grève le 22 octobre 2009

La CGT propose une journée nationale d’action le jeudi 22 octobre, à Paris, pour l’avenir des emplois et de l’industrie. Thibault en envoyant les travailleurs de la chimie et les métallos au charbon le 17 septembre devant la Bourse tente de désamorcer la colère de ceux qui contestent la stratégie confédérale. Pourtant en saucissonnant les grèves par secteurs professionnels, il nous refait le coup de l’impossibilité d’un grand mouvement interpro. Le 22 octobre sera t-elle la énième journée saute-moutons de la CGT ? Cela semble être le cas malheureusement...

Source : http://www.cnt-f.org/cnt76/spip.php?breve65


1 2 3 4 5 6 7 8

Le 17 septembre et le 22 octobre 2009 poursuivons l’action :

un appel de la Fédération Nationale des Industries Chimiques CGT

Patronat et gouvernement mettent sur le dos de la crise les restructurations, les licenciements, les fermetures, les délocalisations des activités et les milliers d’emplois supprimés. Les employeurs prennent le prétexte de cette situation économique et sociale pour accélérer les restructurations au nom de la compétitivité et de la rentabilité financière.

Pourtant, chaque emploi supprimé dans l’industrie est une perte de savoir faire, de la qualification indispensable pour l’avenir et le développement économique et social. Les luttes se développent  dans de nombreuses entreprises avec un mouvement social qui porte des exigences revendicatives et des éléments de confiance pour que les salariés se fassent entendre et imposent d’autres choix.

Pour nous, FNIC-CGT, nos revendications sont claires : le maintien et le développement de l’emploi, des investissements pour développer l’activité en refusant la négociation financière destructrice de l’emploi.

Notre Fédération Nationale des Industries Chimiques CGT n’est pas en reste pour aller de l’avant avec ses syndicats dans la bagarre, exemple : Faurécia/Auchel ; GoodYear ; Michelin ; Rhodia… etc.

D’autres batailles restent encore à mener afin de bien faire comprendre au gouvernement et au MEDEF que ce n’est pas comme cela que nous voyons le déroulement de notre vie professionnelle et celle de nos enfants.

STOP au « gavage de pognon » des actionnaires sur le dos des salariés.

STOP aux exonérations faites au patronat telles que, pour exemple, la suppression de la taxe professionnelle

remplacée par la taxe carbone payée par les ménages. Il faut que cela cesse !

ALORS TOUS ENSEMBLE, DONNONS-NOUS RENDEZ-VOUS DANS UN PREMIER TEMPS :

LE 17 SEPTEMBRE 2009

A 11 HEURES—RASSEMBLEMENT

DEVANT LA BOURSE DES VALEURS

(PALAIS BROGNIART—75002 PARIS)

Les salariés du Caoutchouc, de la filière automobile (avec la Fédération CGT de la Métallurgie) aux côtés des salariés de toutes les entreprises manifesteront pour :

Exiger une réelle politique industrielle garantissant les emplois.

ET DE NOUVEAU POUR « ENFONCER LE CLOU » NOUS NOUS RASSEMBLERONS :

LE 22 OCTOBRE 2009
ACTION NATIONALE INTERPROFESSIONNELLE CGT
POUR UNE AUTRE POLITIQUE INDUSTRIELLE RÉPONDANT AUX BESOINS DES POPULATIONS.
À PARIS

  • PARTOUT, PRENONS LES DISPOSITIONS POUR ÊTRE PRÉSENTS  MASSIVEMENT POUR :
  • DÉFENDRE NOS INTÉRÊTS ;
  • DÉFENDRE NOS EMPLOIS ;
  • DÉFENDRE NOS INDUSTRIES.

Fédération Nationale des Industries Chimiques CGT

Source : http://eldiablo.over-blog.org/article-3513012...


1 2 3 4 5 6 7 8

Salarié-e-s du Notariat, il va falloir se battre Ensemble

Tous et toutes dans la rue le 22 octobre !

le 22 octobre 2009 a 12h

a l'angle rue Daguerre / avenue du Général Leclerc – (côté café daguerre) 

Des attaques incessantes…

  • Des salaires, (parfois ridicules, notamment pour les employés et les techniciens), qui n’ont pas augmenté depuis plusieurs années.
  • Des conditions de travail qui se détériorent rapidement, au niveau matériel et psychologique.
  • Des pressions, parfois insoutenables, qui font reposer sur les seuls salariés, de plus en plus fragilisés, le poids d’une "crise" immobilière qui arrive après une décennie de profits mirobolants, jamais partagés.
  • Des patrons qui se servent de tous les prétextes à leur disposition pour ne surtout pas entamer leur capital, leurs "bas de laine" bien remplis ni diminuer leurs profits.
  • Plus de 4.000 suppressions de postes entre janvier et octobre 2009, sur une population salariée active globale de quelques 49.000 personnes.
  • Les attaques contre la Convention Collective.
  • Les attaques continues contre le régime spécial de la CRPCEN.
  • La difficulté à défendre ses droits de base, voire, la répression syndicale.

…Voilà le QUOTIDIEN des salariés du notariat, employés, techniciens, clercs, depuis plusieurs mois, et ce dans le plus grand silence des médias.

Les syndicats "historiques" et majoritaires dans le notariat échouent manifestement à s’opposer seuls à toutes ces agressions patronales.

L’absence d’une unité intersyndicale sans faille de tous, et reposant sur des défenses "dures", pénalise le combat des nombreux salariés qui s’engagent d’ores et déjà pour leurs droits, où qu’ils aient choisi de se syndiquer.

Bien sûr, des revendications divergentes peuvent tout à fait s’entendre, aucun syndicat n’est identique, historiquement, nous ne sommes pas fondés sur les mêmes idées, nous avons parfois des valeurs différentes, et la diversité d’opinions est aussi une bonne chose.

Mais la division intersyndicale dans la rue et dans les luttes dans une telle période d’urgence sociale ne peut plus être admise sans que les « diviseurs » en portent l’entière responsabilité.

Oui, il faut pouvoir opposer au patronat, dans les manifestations, dans les grèves, un front uni des syndicats de salariés du notariat sur ces quatre points principaux au moins, et qui nous concernent toutes et tous :

  • Préservation et défense de la CRPCEN
  • Arrêt des licenciements
  • Augmentation immédiate et collective des salaires
  • Défense et développement des droits syndicaux
    et de la liberté d’expression
  • Sur ces 4 points fondamentaux, nous devons pouvoir nous entendre, IL FAUT que nous nous entendions, pour nous battre ensemble et à fond, pour et avec les salariés, syndiqués et non -syndiqués.

Le 22 octobre 2009, il va y avoir une nouvelle journée d’action nationale intersyndicale.

TOUS ENSEMBLE, LE 22 OCTOBRE 2009, NOUS DEVONS APPELER A LA GRÈVE ET A LA MANIFESTATION POUR DÉFENDRE NOS DROITS FONDAMENTAUX DE SALARIES DU NOTARIAT.

DANS TOUTE LA FRANCE, TOUS ENSEMBLE ET EN MÊME TEMPS, SYNDIQUES ET NON SYNDIQUES, DANS UN MÊME CORTÈGE, POUR DIRE "STOP" AUX AGRESSIONS PATRONALES ET PROPOSER D’AUTRES VOIES.

PARLEZ EN A VOS COLLÈGUES - Contactez nous

Téléphonez au 01.48 .18 .84.34 ou contactez l’Union Locale CGT la plus proche de chez Vous.

Email : fsetexud@cgt.fexr

Word - 2.5 Mo

Source : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article92291
Source : http://www.soc-etudes.cgt.fr/news.php

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/9458