vendredi 15 mai 2009 à 21h
Villa El Salvador
Une Utopie péruvienne à l'écran.
https://paris.demosphere.net/rv/8810
Maison de l'Amérique Latine le 15 mai
Un documentaire de 52’
En présence des réalisateurs Marina Paugam & Jean Michel Rodrigo
Ce film retrace l’histoire de centaines de milliers de paysans, d’ouvriers, de sans toit, de sans droit, de sans voix du Pérou qui ont eu l’outrecuidance de croire qu’il était possible de construire une cité idéale, libre et fraternelle sur un bout de désert de sable. L’utopie est devenue réalité malgré des obstacles gigantesques: le manque d’argent, le chômage généralisé, la violence des autorités, une guérilla haineuse... C’est l’histoire d’un rêve commun ou plutôt de la conjugaison de rêves : l’eau, l’électricité, des cuisines collectives, des écoles pour les enfants, des universités, des adultes qui travaillent dans leurs propres entreprises... et des Anciens qui font du Taichi!
Quand l’Utopie a droit de cité...
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
RÉSERVATION INDISPENSABLE au 01 42 38 23 99 ou à casa santafep aris@yah oo.fr
avec l’ appui de la Casa De Santa Fé à Paris et France Amérique Latine Paris (Fal)
www.mecanosprod.com
Source : message reçu le 13 mai 22h
Villa el Salvador, les bâtisseurs du désert
Durée : 55 minutes
Villa el Salvador, cité péruvienne créée en 1971 en plein désert, à une trentaine de kilomètres de Lima, repose sur la solidarité, le partage et la fraternité.
Villa el Salvador, bidonville de plus de 300 000 habitants qui, progressivement, rejoint la banlieue de Lima, est comme un rêve dans le désert, une communauté urbaine autogérée dans laquelle tout le monde a le droit de posséder une maison. Les infrastructures ont été construites par la population, avec les ressources disponibles. Le taux d'alphabétisation de la cité dépasse les 97%, un record pour le pays. Des actions concrètes sont menées en commun, un peu comme un miracle de solidarité, de partage et de fraternité. Cette communauté a d'ailleurs été globalement épargnée par les drames qui ont touché le Pérou depuis la fin des années 60.