samedi 13 juin 2009 à 14h
Manifestation Régionale à Paris
Journée de mobilisation nationale
https://paris.demosphere.net/rv/8704
Le 13 juin, pour une nouvelle grande action nationale avec manifestations unitaires dans les régions.
Trajet / Parcours : départ 14 h de Bastille, en direction de Montparnasse
Rendez-vous spécifiques:
- 13h30 : NPA - point fixe à partir de 13 h 30 à l’entrée du Pont d’Austerlitz.
- 14h00 : Chomage Année noire - Apnée (actuchomage) et les collectifs des chômeurs précaires – point fixe au 1 boulevard de l'Hôpital – coté grille du jardin des plantes
- 14h30 : vidéo-surveillance - deux stands du CDL à l’entrée du pont d’Austerlitz et à Port-Royal
Organisation de la manifestation :
S’agissant de la manifestation du samedi 13 juin : les organisations Syndicales Régionales sont convenues des dispositions suivantes :
• Itinéraire de la manifestation : Bastille – Montparnasse
Place de la Bastille, rue de Lyon, Avenue Ledru Rollin, Pont d’Austerlitz, boulevard de l’Hôpital, boulevard Saint Marcel, Boulevard de Port Royal, Boulevard du Montparnasse, Place du 18 juin 1940,
• Carré de tête: Rue de Lyon, (Angle rue Ledru Rollin)
• Ordonnancement et rendez vous
1) CFDT RUE DE LYON 2) CFE-CGC PLACE DE LA BASTILLE/ HAUTEUR RUE DE LYON 3) SOLIDAIRES PLACE DE LA BASTILLE / HAUTEUR OPERA 4) UNSA PLACE DE LA PBASTILLE / HAUTEUR DU CANAL 5) CGT PLACE DE LA BASTILLE / ST ANTOINE ET RICHARD LENOIR 6) CFTC PLACE DE LA BASTILLE / HAUTEUR BEAUMARCHAIS 7) FSU PLACE DE LA BASTILLE / HAUTEUR HENRI IV
Un plan détaillé des points de rendez-vous concernant chaque Organisation Syndicale a été remis à chacun des représentants présents.
Par ailleurs, il est convenu par l’ensemble des Organisations Syndicales présentes que la FSU sera placée en Première position lors de la prochaine manifestation unitaire régionale.
• Banderole unitaire
D’un commun accord, il est décidé de reprendre la banderole unitaire utilisée lors des précédentes manifestations (janvier, mars, 1er mai). « Ensemble, face à la crise, défendons l’emploi, le pouvoir d’achat et les services publics » Arrêt des suppressions d’emplois et augmentation générale des salaires et des retraites.
• Position sur la première ligne
Il est convenu de maintenir le même ordonnancement sur la première ligne (banderole) telle que pratiqué lors des précédentes manifestations. Le carré de tête est composé de 10 représentants par organisation syndicale dont 5 drapeaux.
• Accueil/sécurité unitare
Les brassards seront pris en charge et fournis par la CFE-CGC, et la corde par l’UNSA.
Le rendez-vous des équipes Accueil/Sécurité est fixé à 13h00 rue de Lyon (angle LEDRU ROLLIN).
Journée de mobilisations décentralisées le 26 mai et grande journée de manifestations le 13 juin
Communiqué suite à la réunion Intersyndicale du 4 mai
Communiqué des huit organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, Unsa
Le 1er Mai 2009 a été une journée historique tant en raison de l’unité des huit organisations syndicales, qu’en raison de l’ampleur de la mobilisation au travers de plus de 280 rassemblements dans toute la France.
Troisième mobilisation à l’appel des huit organisations syndicales en quatre mois, ce 1er mai témoigne d’un enracinement de la mobilisation et de la détermination des salariés, demandeurs d’emploi et retraités à exprimer leurs revendications et à obtenir des réponses. Le gouvernement et le patronat auraient tort de les traiter par le déni et le mépris, alors que la crise, le chômage, les licenciements, les suppressions d’emploi et les politiques de fragilisation des services publics les percutent de plein fouet.
C’est pourquoi les organisations syndicales appellent solennellement le gouvernement et le patronat à prendre en compte l’ampleur de ces rassemblements qui expriment inquiétude, désarroi et profond sentiment d’injustice. Sur la base de leur déclaration commune du 5 janvier, elles préciseront, dans les prochains jours, des propositions sur lesquelles elles attendent des réponses rapides du gouvernement et du patronat.
Les huit organisations syndicales appellent les salariés à faire du 26 mai 2009 une journée de mobilisations décentralisées dans des modalités diverses en fonction des réalités locales et visant à la participation du plus grand nombre.
Elles soutiennent les manifestations syndicales européennes de la mi-mai.
Les huit organisations syndicales appellent aussi à une grande journée de manifestations dans toute la France le 13 juin 2009.
Paris, le 4 mai 2009.
Manifestons samedi 13 juin 2009 pour faire plier le gouvernement !
SUD-Poste
Après les 29 janvier, 19 mars, 1er mai, 26 mai mobilisant public et privé, une nouvelle manifestation unitaire de l’ensemble des organisations syndicales au plan national (CGT, CFDT, CFTC, FSU, SOLIDAIRES et UNSA) ce 13 juin doit nous permettre d’amplifier encore la lutte contre la politique du gouvernement Sarkozy. Il y en a assez que ce soit les ouvriers, les employés, les salariés précaires, les sans-papiers, les retraités, les jeunes, les chômeurs, les familles, hommes et femmes qui paient les erreurs des boursicoteurs au service du grand capital. Il y en a assez que ce soit toujours les mêmes propriétaires du grand capital qui s’accaparent les fruits de la richesse produite au détriment de l’ensemble de la population. 360 milliards pour aider les banquiers, 32 milliards d’aide à l’emploi pour les patrons, y compris ceux qui licencient, 14 milliards du paquet fiscal qui profite aux plus riches, 8 milliards de taxe professionnelle qui ne sera plus payée, 4 milliards grâce à la défiscalisation des heures supplémentaires... ASSEZ, ASSEZ, ASSEZ ! IL FAUT IMPOSER LE PARTAGE DES RICHESSES ! L’ensemble des organisations syndicales propose dans une déclaration commune de se mobiliser pour défendre les revendications suivantes :
revalorisation du SMIC, des minima sociaux, des pensions et des retraites,
suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires et du bouclier fiscal,
mise à contribution des stocks-options au titre de la solidarité.
Cette déclaration commune vient compléter celle du 5 janvier appelant à :
défendre l’emploi privé et public,
lutter contre la précarité et les dérèglementations économiques et sociales,
exiger des politiques de rémunérations qui assurent le maintien du pouvoir d’achat des salariés, chômeurs, retraités et réduisent les inégalités,
défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale,
des services publics de qualité qui assurent en particulier tout leur rôle de réponse aux besoins sociaux et de solidarité.
A La Poste, SUD a déposé un préavis de grève national couvrant les personnels pour cette journée.
LA MANIFESTATION PARTIRA DE BASTILLE À 14H POUR ALLER À MONTPARNASSE.
Nous sommes toujours mobilisés : Pour l'emploi, les salaires et les services publics !
Tract de la CGT-Educ’action Ile-de-France
Samedi 13 juin 09
Manifestation interprofessionnelle
14h, Bastille - Montparnasse
Samedi 20 juin
Printemps des services publics 11h-18h Rotonde de Stalingrad
Ne jamais relâcher la pression :
Septembre 2009 : On continuera
Tenez-vous informé sur nos sites internet des initiatives des mois de juin et juillet : réunion nationale arts appliqués, actions pendant les examens…
Contre les suppressions de postes
13 500 à la rentrée 2009, après les 11 200 de la rentrée 2008…
17 000 à la rentrée 2010 ! En Ile-de-France, ce sont 1 800 emplois en moins dans le premier et le second degré en 2009 !
Pour un collectif budgétaire permettant un service public d’éducation premier et second degré de qualité, qui permette le maintien des postes et la création des postes nécessaires
Nous exigeons la titularisation sans condition de concours mais avec une formation des personnels non-titulaires
Contre la casse de la formation des Enseignants
Le gouvernement, avec la mise en place de la mastérisation, a pour objectif de supprimer la formation initiale des enseignants et de pouvoir recruter un nombre important d’enseignants non-titulaires ayant réussi le master sans concours ni dans le cadre d’un plan de titularisation.
Nous exigeons l’arrêt immédiat de la réforme du recrutement des enseignants, la non-publication des projets de décrets et le maintien de la formation initiale en IUFM.
Nous revendiquons un recrutement à bac 3 et une formation rémunérée et progressive en alternance permettant de valider un Master.
Nous revendiquons une remise à plat du contenu de la formation initiale et continue des enseignants
Contre la casse du premier degré
Entre la destruction de la scolarisation des moins de 3 ans, la disparition programmée des RASED, le SMA les évaluations… le premier degré est particulièrement remis en cause par le gouvernement.
Nous exigeons l’abrogation des décrets et loi Darcos, des nouveaux programmes, des évaluations nationales, de tout ficher informatisé des données individuelles élèves…du SMA
Nous exigeons qu’aucune sanction ne soit infligée aux « désobéisseurs »…
Nous exigeons le maintien et le développement de l’école maternelle publique laïque et gratuite ; et le droit à la scolarisation des 2 ans
Nous exigeons le maintien et le développement des RASED, du nombre d’enseignants spécialisés, des psychologues scolaires, des personnels de santé…
Contre la casse des 3 voies du lycée
La généralisation du bac pro en 3 ans a pour but principal de récupérer des postes dans les LP, elle entraînera à la rentrée 2009 la fermeture des BEP, la disparition de certaines filières et la déprofessionnalisation du bac pro…
L’imposition précipitée d’une épreuve de rattrapage démontre l’incohérence de cette réforme. En parallèle, le gouvernement tente de faire passer sa réforme du lycée soit disant repoussée à travers la mise en place « d’expérimentation » dans certains lycées. Deux rapports remis récemment confirment que le gouvernement veut imposer sa réforme dès la rentrée 2010, sur les mêmes bases que le premier projet.
Nous exigeons l’abandon de la réforme de la voie professionnelle et le retour des BEP
Nous exigeons l’abandon de la réforme du lycée, et pas simplement son report
Contre la casse des SEGPA et un collège de plus en plus dégradé
La nouvelle circulaire ministérielle sur les SEGPA tourne le dos aux orientations pédagogiques qui prévalaient jusqu’à aujourd’hui. Elle prépare, de fait, une dilution future dans le collège.
Dans la nouvelle circulaire sur le collège, le ministère annonce son désengagement en particulier pour l’éducation prioritaire.
Nous exigeons le renforcement des SEGPA dans leur orientation initiale d’enseignement adapté
Nous exigeons le développement d’un véritable collège, lieu unique de formation/émancipation des élèves
Contre des conditions de travail en constante dégradation
De nombreux établissements, écoles, collèges, lycées généraux, technologiques et professionnels, constatent une dégradation de leurs conditions de travail.
Nous ne supportons plus de travailler sans moyens et sans soutien réel de l’administration. Ces conditions de travail indignes pour les élèves et les personnels engendrent des violences insupportables.
Multiplication des HSA, annualisation du temps de service, augmentation du nombre d’élèves dans les classes, précarisation de la vie scolaire (moins de CPE, plus de « médiateurs »), dégradation de locaux, agressions… : il est enfin temps de lancer un plan d’envergure en faveur des établissements difficiles ! Les annonces de
Sarkozy et Darcos de portiques et fouilles ne résoudront en rien ces problèmes !
Nous exigeons l’ouverture de vraies négociations sur l’amélioration des conditions de travail et une diminution du temps de travail pour les personnels de l’Education Nationale
Contre la remise en cause du paritarisme
Le ministère et les rectorats ont délégué à une entreprise privée de prévenir par téléphone et par mail les projets de mutations, bien avant les commissions paritaires et bien avant que les organisations syndicales en soient informées. Cette initiative n’a d’autre but que de rendre plus opaque encore les opérations de mutation, sans permettre aux collègues de se défendre et de maîtriser ces mutations automatisées ! Cela entraîne une incompréhension pour les personnels et une pagaille dans les rectorats !
Nous exigeons l’arrêt immédiat de cette externalisation des informations et le respect du fonctionnement des commissions paritaires et du contrôle des organisations syndicales représentatives.
Contre la baisse de notre pouvoir d’achat
Le pouvoir d’achat des fonctionnaires est en chute libre depuis plusieurs années. Comme l’ensemble de la population française, nous sommes en droit d’exiger des augmentations de salaires ! La lutte dans les Antilles a montré que l’on pouvait gagner sur des questions salariales.
Nous exigeons l’ouverture de vraies négociations sur les salaires des fonctionnaires entrainant des augmentations immédiates et conséquentes
Depuis plus de 6 mois, les manifestations de la crise sont des plus évidentes pour tous avec aujourd’hui plus de 3 000 chômeurs de plus par jour. Pour les dominants, cette crise est une aubaine et ils en profitent pour faire des nouveaux cadeaux aux patrons et refuser toute augmentation salariale. Avec les licenciements qui se multiplient, les attaques qui se poursuivent contre les services publics (hôpitaux, éducation, recherche…)…, ce sont les salariés et la population qui payent la crise, alors que les actionnaires voient leurs profits maintenus.
Après les journées de grève du 29 janvier et du 19 mars, la réussite de la mobilisation interprofessionnelle du 1er mai témoigne d’un enracinement de la mobilisation et de la détermination des salariés, demandeurs d’emploi et retraités à obtenir satisfaction sur leurs revendications. La journée de manifestations du 26 mai a démontré que les salariés étaient toujours mobilisés mais qu’ils étaient en attente d’une dynamique véritable de construction de mobilisation interprofessionnelle.
Dans notre secteur depuis 3 mois, la mobilisation se poursuit contre la mastérisation, les réformes Darcos et les attaques sur l’enseignement supérieur. Nous soutenons les collègues qui comme à l’IUFM de Livry-Gargan ont bloqué les corrections des épreuves du concours de professeur d’école, les personnels qui refusent d’organiser "l’aide personnalisée" (qui revient à dégrader les aides aux élèves) dans les écoles et luttent dans les établissements contre la remise en cause de la qualité de formation et la dégradation des conditions de travail et d’enseignement. Nous exigeons le retrait des décrets Darcos, l’arrêt de l’expérimentation des lycées, un moratoire sur la généralisation du bac-pro 3 ans et l’ouverture de négociations sur les revendications des personnels.
Nous appelons les salariés et structures syndicales à se coordonner localement de manière interprofessionnelle pour favoriser la mobilisation.
Nous appelons à réussir les manifestations interprofessionnelles du 13 juin. Nous appelons à participer au Printemps des Services Publics le 20 juin, initiative unitaire réunissant syndicats, partis politiques et associations, pour défendre et développer ensemble les Services Publics.
Le 13 juin, faisons entendre haut et fort nos exigences
Tract de l’UGFF-CGT
L’ensemble des organisations syndicales appellent les salariés du public et du privé à manifester le 13 juin dans toute la France pour obtenir du gouvernement et du patronat d’autres réponses à la crise. De manière inédite, dans une plateforme commune, elles déclinent leurs revendications et leurs propositions pour une autre politique qui place le social au centre des questions économiques. La Fonction publique, le rôle et le statut des fonctionnaires et agents publics sont au cœur de ces enjeux.
En effet, malgré le besoin aujourd’hui évident de plus d’intervention publique pour réguler un système qui mène notre société au bord du chaos et malgré la demande exprimée par une très grande majorité de la population d’un renforcement des services publics pour garantir les solidarités et combattre les inégalités, le gouvernement actuel entend poursuivre sa politique de casse.
Pour les agents de l’Etat quatre bonnes raisons (entre autres) d’être dans la rue le 13 juin prochain.
L’emploi :
Alors que le nombre des chômeurs s’accroît de plusieurs dizaines de milliers chaque mois, le Premier Ministre réaffirme sa volonté de supprimer 30.600 postes en 2009 et 35.000 en 2010 pour la seule Fonction publique de l’Etat. Cyniquement, le même se félicite que les suppressions de postes effectuées en 2008 soient supérieures de 5.000 au chiffre pourtant déjà considérable (22.000) prévu en loi de Finance.
Les missions :
Dans le prolongement de sa politique de toujours moins d’Etat, le gouvernement accélère la mise en œuvre de la RGPP. Parallèlement, aux restructurations qui touchent ou vont toucher tous les services et établissements, ce sont des pans entiers de missions qui sont abandonnés ou concédés au privé, sous couvert de simplification administrative ou de mise en conformité avec le droit de la concurrence européenne.
Le Statut : Considéré comme un obstacle pour la mise en oeuvre de ces _ orientations, le statut des fonctionnaires constitue une cible principale de l’offensive néo libérale. Dans la foulée du rapport SILICANI, une proposition de loi vise à placer tous les agents de la Fonction publique territoriale sous contrat de droit privé.
La Fonction publique de l’Etat n’est pas épargnée et, après le mauvais coup déjà porté, c’est le projet de loi dit de « mobilité » qui est inscrit à l’ordre du jour de la commission des lois du 17 juin prochain. De toute évidence, la majorité gouvernementale envisage de faire passer les mesures rétrogrades de ce projet (intérim, possibilité de licenciement en cas de restructuration, possibilité accrue de recours aux contrats…) dans le courant de l’été.
Les Salaires :
Pour les rencontres salariales qui doivent se tenir « avant la fin du printemps » le gouvernement se refuse d’aborder la question du décrochage du point d’indice par rapport à l’inflation autrement qu’au travers de la GIPA. Dans le même temps, le tandem WOERTH – SANTINI tente de mettre un terme à la rémunération assise sur la carrière en annonçant coup sur coup leur volonté de généraliser le salaire au mérite et d’instaurer une part de rémunération adossée à la performance collective.
Trop c’est trop. D’autres choix sont possibles et nécessaires
Ces recettes libérales ont fait leurs preuves : ce sont elles qui sont à l’origine de la crise actuelle. D’ailleurs, si de l’avis du plus grand nombre, cette dernière frappe un peu moins la France que la plupart de ses voisins, c’est bien grâce à la Fonction publique et aux services publics. C’est pourquoi :
Le Statut général doit être sauvegardé et renforcé, parce qu’il est avant tout une garantie pour les citoyens. Dans ce cadre, le projet de loi dit de « mobilité » doit être retiré.
Les suppressions d’emplois doivent être arrêtées immédiatement et des créations mises en œuvre partout où c’est nécessaire.
Les traitements et les pensions, à partir de la valeur du point, doivent être augmentés immédiatement et massivement.
Les réformes nécessaires doivent être conduites dans le seul souci de l’intérêt général et des droits de toute la population, ce qui implique le retrait de la RGPP, machine à démanteler la Fonction publique.
D’autres choix sont possibles, nécessaires et justes à partir d’orientations politiques, notamment fiscales et budgétaires, totalement en rupture avec celles actuellement mises en œuvre.
Pour faire entendre notre voix manifestons Tous ensemble le 13 juin 2009
Montreuil, le 4 juin 2009