dimanche 22 mars 2009 à 17h
Soirée de solidarité avec le syndicat kanak USTKE et contre la répression anti-syndicale
https://paris.demosphere.net/rv/8188
Venez-nombreuses et nombreux soutenir les grèvistes kanaks de l'Union Syndicale des Travailleurs Kanaks et Exploités (USTKE)
Usines, Tribus, même combat!
dimanche 22 mars 2009 - 17h à 22h
Projection, débat, infos et musique avec
- KNC (musique Kaneka - Reggae - Kanaky)
- NOKTAMBULES (Chanson rock festive - Paris)
- ARSENE LUPUNK (singing punx songs - Lille)
KANAKY, CONTRE LA RÉPRESSION SYNDICALE :
Des grèves en Nouvelle Calédonie durent depuis plus d’un an à cause de la volonté affichée de certains patrons de ne pas vouloir négocier avec l’USTKE, premier syndicat du territoire. Les grévistes tiennent bon grâce à la solidarité des adhérents de l’organisation.
Des militants ont été condamnés à de très lourdes amendes et à des peines de prison ferme. Le bilan de la répression judiciaire à l’encontre des responsables et militants de l’Union Syndicale des Travailleurs Kanak et des Exploités, est sans précédent dans l’histoire syndicale de la Kanaky.
Pur l’affaire de Carsud (filiale de Véolia), l’arrêt de la cour d’appel du 9 septembre dernier a rendu un jugement quasi-surréaliste, de 2 mois de prison ferme jusqu’à 12 mois avec 9 de sursipour le président de l’USTKE. Au total, 23 militants condamnés pour une action syndicale… sans compter les énormes amendes : quelques 135 000 euros à titre de dommages et intérêts sont à verser à l’état colonial. Il est clair que les autorités locales, soutenues par l’Etat français veulent faire « plier » l’USTKE en mettant le syndicat dans des difficultés financières.
Dans une lettre du 8 octobre, Gérard Jobar, président de l’USTKE, explique les enjeux de cette solidarité : « depuis début novembre 2007, nos camarades de Carsud sont en grève. De même, depuis plus d’un an nos camarades de Ponérihouen Ambulances et depuis quatre mois ceux de TDF sont aussi en conflit.
Devant les refus quasi systématiques de négocier de la part des patrons de ces entreprises, face aux agressions commises à la demande du représentant de l’Etat par les forces de l’ordre contre nos adhérents, la plus forte des réponses que nous pouvons leur apporter est la solidarité. »
http://solidaritekanaky.org/
http://www.ustke.org/
SI VOUS NE POUVEZ PAS VENIR AU CONCERT, VOUS POUVEZ EGALEMENT SOUTENIR FINANCIÈREMENT L'USTKE
Pour soutenir les syndicalistes de l'USTKE, nous vous demandons une participation financière (même petite) en envoyant un chèque à l’ordre de l’USTKE, à l’adresse suivante :
Solidarité USTKE, 21ter rue Voltaire, 75011 PARIS
Source : liste de diffusion Anticolonial, reçu le 18 mars 15h
Soirée de solidarité à paris pour les grévistes de L'USTKE
Usines, Tribus, même combat !
DIMANCHE 22 MARS 2009 - 17H À 22H
AU CICP, 21TER RUE VOLTAIRE, PARIS 11E (Métro : Nation)
SOIRÉE DE SOLIDARITÉ AVEC LE SYNDICAT USTKE ET CONTRE LA RÉPRESSION ANTI-SYNDICALE
Projection, débat, infos et musique avec
- KNC (musique Kaneka - Reggae - Kanaky)
- NOKTAMBULES (Chanson rock festive - Paris)
- ARSENE LUPUNK (singing punx songs - Lille)
VENEZ-NOMBREUSES ET NOMBREUX SOUTENIR LES GRÈVISTES KANAKS DE L’UNION SYNDICALE DES TRAVAILLEURS KANAKS ET DES EXPLOITÉS (USTKE)
KANAKY, CONTRE LA RÉPRESSION ANTI-SYNDICALE :
Des grèves en Nouvelle Calédonie durent depuis plus d’un an à cause de la volonté affichée de certains patrons de ne pas vouloir négocier avec l’USTKE, premier syndicat du territoire. Les grévistes tiennent bon grâce à la solidarité des adhérents de l’organisation. Des militants ont été condamnés à de très lourdes amendes et à des peines de prison ferme. Le bilan de la répression judiciaire à l’encontre des responsables et militants de l’Union Syndicale des Travailleurs Kanak et des Exploités, est sans précédent dans l’histoire syndicale de la Kanaky.
Pour l’affaire de Carsud (filiale de Véolia), l’arrêt de la cour d’appel du 9 septembre dernier a rendu un jugement quasi-surréaliste, de 2 mois de prison ferme jusqu’à 12 mois avec 9 de sursipour le président de l’USTKE. Au total, 23 militants condamnés pour une action syndicale… sans compter les énormes amendes : quelques 135 000 euros à titre de dommages et intérêts sont à verser à l’état colonial. Il est clair que les autorités locales, soutenues par l’Etat français veulent faire « plier » l’USTKE en mettant le syndicat dans des difficultés financières.
Dans une lettre du 8 octobre, Gérard Jobar, président de l’USTKE, explique les enjeux de cette solidarité : « depuis début novembre 2007, nos camarades de Carsud sont en grève. De même, depuis plus d’un an nos camarades de Ponérihouen Ambulances et depuis quatre mois ceux de TDF sont aussi en conflit. Devant les refus quasi systématiques de négocier de la part des patrons de ces entreprises, face aux agressions commises à la demande du représentant de l’Etat par les forces de l’ordre contre nos adhérents, la plus forte des réponses que nous pouvons leur apporter est la solidarité. »
SI VOUS NE POUVEZ PAS VENIR AU CONCERT, VOUS POUVEZ EGALEMENT SOUTENIR FINANCIÈREMENT L’USTKE
Pour soutenir les syndicalistes de l’USTKE, nous vous demandons une participation financière (même petite) en envoyant un chèque à l’ordre de l’USTKE, à l’adresse suivante :
Solidarité USTKE, 21ter rue Voltaire, 75011 PARIS