mardi 31 mars 2020 (heure non définie)
Manifestation reportée
https://paris.demosphere.net/rv/78904
Communiqué intersyndical
Face à la crise sanitaire mondiale obligeant chacune et chacun à respecter les consignes de protection pour contenir la propagation du virus, nos organisations syndicales et de jeunesse ont décidé de suspendre jusqu'à nouvel ordre les actions programmées.
Ainsi, elles décident de reporter la « vraie conférence » prévue pour se tenir le 24 mars prochain et à laquelle d'ores et déjà des experts d'horizons divers avaient donné leur accord.
De la même façon, elles reportent la mobilisation sous forme de grève interprofessionnelle annoncée et en cours de préparation pour le 31 mars.
Elles demandent au gouvernement de prendre la mesure de la crise actuelle et de prendre en considération l'exigence de renforcement de notre système de sécurité sociale dont les retraites sont une partie essentielle. Celui-ci constitue à chaque moment de crise un filet de sécurité essentiel et ne saurait être affaibli. Elles réitèrent leur demande de suspension immédiate du processus législatif concernant la réforme des retraites.
L'intersyndicale n'en demeure pas moins mobilisée et convaincue de la nécessité d'obtenir le retrait du projet du gouvernement et l'ouverture de négociations permettant d'améliorer les droits à la retraite dans le cadre du système actuel.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/78904
Source : https://solidaires.org/Communique-intersyndic…
Manifestation à Paris pour les retraites
Trajet / parcours: à préciser
Ordre des cortèges: à préciser
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Rendez-vous particuliers
(Cliquez sur les liens)
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Informations pratiques:
Interpellation, violences policières: numéro d'urgence: 07 52 95 71 11
[fiche pratique légale, guide du manifestant]
Guide pour faire grève dans le privé
Tracts / appels pour le 31 mars
Sur cette page: Unitaire, Unitaire, Unitaire IdF, Unitaire fonction publique, Éducation 93, SUD éducation
Ailleurs: à préciser
31 mars : journée nationale de grève
Communiqué unitaire
Des manifestations, actions sans précédent ont eu lieu ce 8 mars journée internationale des droits des femmes. Elles ont exprimé le refus des violences faites aux femmes. Elles marquent la détermination à exiger l'égalité et cette année tout partculièrement à faire tomber ce système de retraite par point qui pénalisera partculièrement les femmes.
Les organisations syndicales et de jeunesse CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, MNL, FIDL appellent dans la continuité de cette dynamique, et de celle de ce mouvement social inédit entamé le 5 décembre, à poursuivre les mobilisations locales et sectorielles partout sur le territoire.
Elles tiendront la « vraie conférence » sur le système de retraites le 24 mars prochain alors qu'une majorité de la population reste opposée à cette réforme et que le gouvernement
s'enfonce dans le déni de cette réalité.
L'intersyndicale appelle à faire du 31 mars une journée nationale de grève. Elle appelle ce jour-là les travailleuses et travailleurs à une journée de grève interprifessionnelle et à organiser
partout des actions (rassemblements, blocages, occupations,… et manifestations.
Elle appelle les jeunes à se mobiliser sur leurs lieux d'études, à organiser des actions locales et à participer massivement aux manifestations. L'intersyndicale appelle d'ores et déjà à l'organisation d'assemblées générales dans tous les secteurs professionnels et lieux d'études où les salarié-es et les jeunes débatront des modalités d'actions à metre en oeuvre.
Le 31 mars et ses suites doivent être un nouveau message fort envoyé au gouvernement et au patronat.
La bataille des retraites est loin d'être terminée et l'intersyndicale construira les suites jusqu'au retrait du projet.
Tant qu'il le faudra !
Communiqué unitaire
Les Organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF soulignent la détermination affichée encore ce 20 février, par les manifestants et manifestantes dans tout le pays, après plus de deux mois et demi de mobilisation continue malgré les entraves au droit de manifester et aux libertés syndicales.
Le projet de système par points représente un recul pour les droits à la retraite de toutes les générations et particulièrement des jeunes. Le refus de ce projet est là et ancré parmi les salarié.es du privé comme du public.Le gouvernement et sa majorité doivent se rendre à l'évidence. Les formules générales et les slogans, très souvent mensongers, ne trompent personne.
Les critiques et les oppositions se multiplient. Si l'exécutif est poussé dans ses retranchements, pour autant, les OS n'accepteront pas un passage en force au parlement.Le gouvernement s'obstine alors qu'il est incapable de fournir une évaluation sincère sur l'impact financier et de lever les incertitudes sur le montant des pensions et l'âge de départ à la retraite. Ce qu'a souligné sévèrement le Conseil d'Etat.Le gouvernement refuse d'aborder la question du partage des richesses pour financer les retraites et se place dans une logique de croissance infinie.
D'autre part, les débats à l'assemblée confirment que l'âge d'équilibre, clé de voute de leur système, conduira à imposer un départ à 65 ans et au-delà. Les travailleuses et les travailleurs ne baisseront pas les bras aussi longtemps que le gouvernement ne retirera pas son projet. Parce qu'elles contestent le cadrage gouvernemental imposé pour la conférence de l'équilibre et du financement, les organisations tiendront leur propre conférence sur le système de retraite.
Lors de cet événement, des experts et des économistes interviendront pour un vrai débat contradictoire sans lettre de cadrage ! Cette initiative sera déclinée sur tout le territoire.
Les Organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF dénoncent toutes les inégalités subies par les femmes aggravées par le projet de réforme des retraites. Elles appellent à s'inscrire et organiser des actions et manifestations pour l'égalité tout au long de la vie entre les femmes et les hommes lors de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes le 8 mars et autour de cette date.
Les Organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF appellent à poursuivre les actions sans relâche, sous toutes les formes décidées localement. Elles préparent, dans ce cadre, une grande journée de grève interprofessionnelle et de manifestations dans tout le pays mardi 31 mars pour faire échec à ce projet de loi.Les Organisations décident de se revoir très prochainement.
Source : http://www.cgtfapt77.fr/wp/?p=14260
Tous ensemble, tous en même temps !
Unitaire Ile-de-France
Après deux mois et demi de mobilisation, et malgré la répression policière et judiciaire, les entraves aux libertés syndicales et au droit de manifester, la détermination des dizaines de milliers de femmes et d'hommes qui ont protesté et exigé le retrait de la réforme des retraites le 20 février à Paris est intacte.
A ce jour, ce gouvernement n'est toujours pas en capacité de présenter une évaluation cohérente de l'impact financier de sa réforme, ni de préciser le montant des pensions, et l'âge de départ à la retraite. Devant son incapacité à convaincre, celui-ci menace d'utiliser le « 49.3 », mettant de ce fait, fin au débat et à toutes illusions de démocratie dans ce pays.
Seule certitude qui ressort des débats à l'assemblée nationale, l'âge d'«équilibre », pierre angulaire de la contre-réforme qui imposera les départs à partir de 65 ans, et la casse des 42 régimes de retraite par la mise en place d'une réforme universelle par points qui entrainera des conséquences désastreuses pour le montant des retraites du public et du privé.
L'immense majorité des salariés du privé comme du public, étudiants, retraités, etc. ont bien compris la duperie du système de retraite par points proposé par le gouvernement. Les salarié-e-s conscients des enjeux de société que représente la bataille des retraites ne plierons pas, n'abandonneront pas jusqu'au retrait et pour obtenir :
- Maintien des régimes de retraites : régime général, régimes spéciaux, régimes complémentaires, code des pensions civiles et militaires
- Retraite à 60 ans à taux plein
- Taux de remplacement de 75% de la rémunération d'activité sur la base des 10 meilleures années dans le privé et des 6 derniers mois dans le public, pas de retraite inférieure au SMIC
- Prise en compte de la pénibilité, des périodes de formation et aménagement des fins de carrière
- Comptabilisation des années d'étude et de précarité chez les jeunes
- Egalité salariale entre les femmes et les hommes
- Augmentation des salaires et du SMIC (1800€)
Les Unions Régionales Ile-de-France (URIF) CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, soutiennent sans réserve toutes les actions de grève décidées par les assemblées générales, en particulier la grève des avocats engagée depuis plus de 7 semaines, ainsi que la grève puissante qui s'annonce dans les universités à compter du 5 mars pour exiger le retrait du plan Macron-Philippe.
Les URIF appellent à organiser des assemblées générales pour décider la grève, à participer à toutes les initiatives locales et départementales pour exiger le retrait de ce projet, pour défendre les libertés syndicales et la démocratie, et à interpeller les élus pour qu'ils engagent leurs responsabilités.
Dans le cadre de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes du 8 mars, les URIF appellent à organiser des initiatives sur l'égalité femmes/hommes au travail comme dans la vie.
Elles appellent à faire connaitre au plan médiatique à l'ensemble des salariés et lors d'une contre conférence de financement les propositions que nous portons depuis le début de la mobilisation, pour l'amélioration du système de retraite actuel, dans le cadre d'une meilleure répartition des richesses.
Enfin, elles appellent à décider massivement la grève, tous ensemble et tous en même temps, mardi 31 mars prochain.
« Mobilisé-es tant qu'il le faudra »
Unitaire Fonction publique
Les Organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FA-FP soulignent la détermination affichée encore ce 20 février, par les manifestants et manifestantes dans tout le pays, après plus de deux mois et demi de mobilisation continue malgré les entraves au droit de manifester et aux libertés syndicales. Le refus de ce projet est là et ancré parmi les salarié.es du privé comme du public.
Les annonces du gouvernement la semaine dernière ne règlent aucune question, ni pour les salarié-es du privé ni pour les agent-es public-ques :
La retraite progressive n'est pas la cessation progressive d'activité
Le gouvernement prétend améliorer les transitions, c'est faux.
- Le gouvernement maintient le flou sur les conditions d'application de la pénibilité, en revanche il est très clair sur la suppression pure et simple des catégories actives.
C'est l'ensemble du projet que nous rejetons. Plus que jamais, nous continuons à revendiquer :
- Une amélioration et une consolidation de nos retraites, avec le maintien des régimes existants, notamment le Code des pensions civiles et militaires et la Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales, ce qui passe par le retrait du projet gouvernemental
- La retraite à 60 ans pour toutes et tous et le maintien de la catégorie active pour tenir compte des spécificités dans les trois versants de la fonction publique et une meilleure prise en compte de toutes les formes de pénibilité
- Des augmentations générales de salaire avec, en particulier, une revalorisation immédiate du point d'indice et l'attribution de points d'indice supplémentaire de manière uniforme.
- Des créations d'emplois statutaires dans les nombreux secteurs qui en ont besoin, et un plan de titularisation des contractuels.
- La défense des missions publiques et donc l'abandon de toutes les formes d'externalisation et de privatisation.
- L'égalité réelle entre les femmes et les hommes
- Le renforcement du Statut Général, garantie pour le citoyen d'un service public neutre et impartial et, par voie de conséquence, l'abrogation de la loi dite de transformation de la Fonction publique.
Les organisations appellent à participer aux actions et manifestations pour l'égalité tout au long de la vie entre les femmes et les hommes lors de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes le 8 mars et autour de cette date.
Les organisations appellent à préparer dès à présent la grande journée de grève interprofessionnelle et de manifestations dans tout le pays mardi 31 mars pour faire échec à ce projet de loi.
Contre le coup de force du 49.3,
Pour le retrait du projet de réforme des retraites, urgence sociale et démocratique !
Éducation 93
Dès l'annonce du recours au 49.3 le samedi 29 février par le gouvernement, en plein débat parlementaire, alors que l'ensemble des organisations syndicales s'opposent à son projet, des milliers de manifestant.es sont descendus dans la rue dans tout le pays pour dire NON à ce véritable coup d'état social.
L'utilisation du 49.3 est un aveu :
celui d'un gouvernement aux abois, isolé, qui a perdu la bataille de l'opinion publique après une grève d'une durée historique. Toutes les enquêtes le montrent : les deux tiers des Français.es demandent au gouvernement de retirer son texte. Les seuls à réellement le soutenir désormais sont les fonds de pension et la commission européenne. Mais le président de la République et le 1er ministre sont bien décidés à passer en force.
Pour les enseignant-es, ce ne sont pas les vagues promesses de revalorisation de Blanquer, avec ses scénarios bricolés ne servant qu'à justifier une nouvelle attaque contre nos garanties statutaires, qui vont rassurer les enseignant.es quant aux conséquences de cette réforme sur nos pensions. Chacun-e a bien compris que nous serions les grands perdants et surtout les grandes perdantes si la réforme passait.
Il y a urgence sociale et démocratique !
Les organisations syndicales 93 SNES-FSU - SNEP-FSU - SNUipp-FSU - CGT Educ'action - SNFOLC - SNUDI-FO - SNETAA-FO - SUD Education - CNT Education estiment que la réponse au coup de force du gouvernement doit être nationale et interprofessionnelle. Cela nécessite d'aller vers une convergence intersyndicale et interprofessionnelle pour la réussite du mardi 31 mars.
Les organisations syndicales appellent les collègues du département à se réunir en assemblées générales, pour discuter des modalités d'action afin de gagner le retrait du projet de loi. Elles soutiennent l'ensemble des initiatives qui concourent à la réussite de la journée du mardi 31 mars.
Les organisations syndicales 93 SNES-FSU - SNEP-FSU - SNUipp-FSU - CGT Educ'action - SNFOLC - SNUDI-FO - SNETAA-FO - SUD Education - CNT Education continuent à engager toutes leurs structures syndicales locales, dans les écoles, les circonscriptions, les établissements et les administrations à tenir des assemblées générales, des réunions de mobilisation, des tournées intersyndicales…
NON au 49.3 et au coup d'état social !
Retrait du projet de réforme des retraites par points !
Tou-tes en grève et en manifestation le Mardi 31 mars !
Contre la réforme des retraites : 2e round en mars
SUD éducation
À nous de réactiver la dynamique de grève entamée le 5 décembre, en généralisant la grève reconductible pour construire un rapport de force capable de mettre en échec le gouvernement : contre la réforme des retraites, entamons dès le 31 mars le deuxième round pour mettre le gouvernement K. O. !
- Une loi toujours plus impopulaire dans l'opinion, un gouvernement fragilisé
- Rien n'est joué : la réforme n'est toujours qu'au stade du projet de loi
- Dans l'éducation, de nombreuses raisons de se mobiliser
Le gouvernement veut faire croire que la mobilisation contre la réforme des retraites est terminée dans la rue. Ce n'est pas le cas : des mobilisations continuent à avoir lieu un peu partout localement, mais aussi nationalement, avec les mobilisations qui ont continué fin février et début mars, la grève des femmes autour du 8 mars et les initiatives de la semaine du 16 mars. En effet, la colère qui a débouché sur le grand mouvement reconductible entamé le 5 décembre n'est pas éteinte et la population est toujours hostile au projet de loi. Le projet de loi est toujours examiné par le Parlement, et même promulguée une loi peut toujours être abrogée, d'autant plus qu'elle se ferait contre le peuple.
Les femmes, grandes perdantes
Le gouvernement tente un tour de force majeur : faire croire que les femmes bénéficieraient de la réforme des retraites. Il est insupportable d'être ainsi manipulées : les femmes seront au contraire les grandes perdantes, tout le monde le sait. En effet, dans la fonction publique, le passage d'un mode de calcul sur les 6 derniers mois à une prise en compte de l'ensemble de la carrière va inévitablement entraîner une baisse des pensions : en effet, les femmes connaissent beaucoup plus de périodes à faibles revenus (temps partiels, congés parentaux). Les autres dispositions de la réforme (points supplémentaires accordés pour les enfants, pensions de réversion) vont dans le même sens : le projet de réforme aggraverait encore plus les inégalités hommes-femmes entre pensionné-e-s !
La fin de l'âge pivot ? Un sacré enfumage
Que les choses soient claires : l'âge pivot provisoirement suspendu (article 56) ne concerne que les générations nées entre 1960 et 1975. Et encore, même celui-ci pourra être soit inscrit dans la loi (si les partenaires sociaux ne trouvent pas de solution satisfaisante pour le gouvernement d'ici avril), soit rétabli ultérieurement par simple ordonnance. Pour tou-te-s les autres, l'âge pivot à plus de 64 ans, c'est-à-dire un recul pur et simple de l'âge de départ à la retraite, est bel et bien maintenu. La CFDT et l'UNSA font donc croire à tout le monde qu'une avancée significative a été obtenue : ce petit jeu médiatique, qui oublie tout le reste, est objectivement dans l'intérêt du patronat. Il permet de passer sous silence le fait que ni la valeur de service du point ni son évolution ne sont fixées à cette heure dans le projet de loi, ce qui constitue une incertitude importante sur le niveau des retraites, d'autant plus qu'une nouvelle loi régressive pourrait le faire baisser (comme Fillon l'avait avoué en son temps). Ne nous laissons pas enfumer : c'est bien le retrait du projet de loi qu'il faut revendiquer.
Le Conseil d'État retoque le projet
Au-delà de l'écran de fumée, le seul élément tangible dans les engagements du gouvernement concernant les pensions des enseignant-e-s était d'inscrire dans la loi la garantie que le niveau des pensions des enseignant-e-s et chercheurs-euses ne puisse pas être inférieure à celle des autres fonctionnaires de catégorie A. Or, le Conseil d'État vient de rendre son avis sur le projet de loi et a retoqué l'article 1, qui contient ces éléments, en indiquant qu'il est inconstitutionnel : soit parce qu'il s'agit d'une injonction faite au Parlement, soit parce que l'article est tellement flou dans sa rédaction qu'il ne contraint en rien le gouvernement à le respecter. Bref, comme nous le disons depuis le début, les promesses du gouvernement sur les revalorisations sont une vaste entourloupe.
Dans l'éducation, on se mobilise !
Depuis les premières présentations du projet de loi, le gouvernement a bien conscience qu'il faut trouver des éléments de langage pour essayer de rassurer les enseignant-e-s. Et pour cause, comme nous l'avons montré dès novembre avec la publication du simulateur retraites.sudeducation.org, les pensions des personnels de l'éducation vont considérablement baisser. Dans le même temps, les raisons de se mobiliser dans l'éducation ne manquent pas : la mise en place des E3C, la Loi pluriannuelle de programmation de la recherche, mais aussi les suppressions de postes, les évaluations nationales, la précarisation et l'intolérable répression dont sont victimes les personnels mobilisé-es. Lors de ce second round, montrons au gouvernement et à Blanquer que l'Éducation refuse toutes les contre-réformes en cours.