vendredi 14 février 2020 à 10h
Rassemblement contre la répression policière
https://paris.demosphere.net/rv/78607
En ce jeudi 13 février 2020, la déambulation contre la précarité étudiante au départ de Tolbiac à été nassée à l'intérieur de l'université par une centaine de policiers. Les étudiants et les personnels venus les soutenir ont violemment été intégrés à la nasse par des CRS et des agents de la bac qui leur criaient en les bousculant : 'tu veux manifester, vient là-bas manifester'. Des CRS auraient même été vus à l'intérieur de l'université. Les étudiant·e·s ont été fouillé·e·s à leur sortie de l'université.
Face à cette situation inacceptable, un rassemblement contre la répression policière administrative et disciplinaire est appelé :
- Quand : Vendredi 14 février 2020, à 10h00
- Où : Dans la fosse de PMF Tolbiac (90 ru de Tolbiac, 75013 Paris) .
Venez nombreux pour témoigner votre solidarité avec les étudiant·e·s et les personnels malmenés. Ce sera l'occasion d'avoir une discussion collective sur l'opportunité de faire valoir notre droit de retrait si de telles situations venaient à se reproduire.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/78607
Source : https://facebook.com/events/s/rassemblement-c…
Source : message reçu le 14 février 01h
Rassemblement
contre la répression policière administrative et disciplinaire
Aujourd'hui la manifestation au départ de Tolbiac contre la précarité et la réforme des retraites, votée lors de la dernière assemblée générale, a été nassée à l'intérieur de l'université par la police. Les étudiants et les personnels venus les soutenir ont violemment été intégrés à la nasse par des CRS et des agents de la bac qui leur criaient en les bousculant : 'tu veux manifester, vient là bas manifester'. Des CRS ont même été vus dans l'université, ce qui ne peut être le cas que sur autorisation du président de l'université. Jeudi 6 février déjà, l'entrée de la fac était gardée par des CRS n'hésitant pas à gazer étudiants, professeurs et personnels.Cette répression n'est pas anodine, elle montre la volonté d'un gouvernement de casser le départ d'un mouvement étudiant. Cette répression s'inscrit également dans une politique globale qui s'est traduit sur les piquets lors des grèves de la RATP et de la SNCF, sur les éboueurs ou encore sur les lycées contre les lycéens bloquant les E3C.
Source : message reçu le 14 février 02h