jeudi 13 septembre 2018 à 19h
Rencontre discussion autour du 2ème numéro de Panthère Première
"Héritage et justice sociale"
https://paris.demosphere.net/rv/63756
Le 13 septembre au café-librairie Michèle Firk, l'équipe de Panthère Première viendra présenter son second numéro, dont le dossier est consacré à l'héritage et aux inégalités patrimoniales. En effet, si d'une part, le genre oriente encore aujourd'hui les stratégies de transmission au sein des familles (avantageant dans nombre de cas les fils aux détriment des filles), on abordera aussi les effets des inégalités économiques entre membres d'un même collectif politique quand elles sont passées sous silence, et les manières d'y remédier, à partir d'inventions collectives... Venez nous rencontrer pour échanger sur ce dossier et sur les autres articles du numéro, qui abordent des thématiques variées, ou boire un verre pour oublier la rentrée !
Panthère Première
Panthère Première, c'est une revue indépendante de critique sociale qui a lancé son premier numéro en septembre 2017 : une publication de cent pages, semestrielle, distribuée en librairies et dans les lieux « amis » (collectifs, militants, festivals...) dont le titre se fait l'écho de la langue vulgaire dont parle Dante, une langue parlée, locale, vernaculaire, qui échappe aux tentatives de fixation.
Panthère Première, c'est une revue publiant des textes (enquêtes, réflexions, récits, poésie) et des images qui interrogent l'existence d'une « sphère privée » et d'une « sphère publique », partant du principe que les phénomènes politiques sont traversants et qu'ils ne s'arrêtent donc pas aux portes d'une catégorie. Les enquêtes et papiers publiés dans Panthère Première se situent donc à l'intersection entre ce qui est renvoyé à l'intime (famille, enfance, habitat, corps, maladie, sexualités…) et les phénomènes qui cherchent à faire système (État, industrie, travail, colonialisme, rapports de genre…). Si l'on regarde bien dans ces entrecroisements, si l'on regarde dans le détail, beaucoup d'aspects sont entièrement laissés de côté par la critique ou l'analyse, ou difficilement regardés comme des objets politiques du fait de leur relégation, bien arrangeante somme toute, dans les tréfonds de l'intime (on peut citer en exemple la violence conjugale ou les maladies professionnelles).
Les articles publiés dans la version papier sont progressivement republiés sur ce site Internet.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/63756
Source : message reçu le 29 août 11h
Source : https://openagenda.com/la-parole-errante-dema…