jeudi 3 mai 2018 à 19h
Annulé
https://paris.demosphere.net/rv/61667
Les organisatrices annulent finalement ce rdv:
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/61667
Source : message reçu le 2 mai 10h
Les rendez-vous du groupe de lecture féministe du Cedidelp
Nous vous proposons de venir débattre de vos lectures !
A chaque séance nous discutons d'un(e) auteur(e) (Angela Davis, Christine Delphy, … ) et plus particulièrement d'un chapitre qui sert de base de discussion.
Exceptionnellement la prochaine réunion n'aura pas lieu le dernier jeudi du mois, le rendez-vous étant reporté au Jeudi 3 mai.
La rencontre portera sur un chapitre de Pax Neoliberalia : Perspectives féministes sur (la réorganisation de) la violence, de Jules Falquet.
pax neoliberalia
Les réunions du groupe de lecture se tiennent tous les derniers jeudis du mois de 19h à 21h, au CEDIDELP _ 21ter rue Voltaire PARIS 11ème (Porte rouge avec interphone, sonnez CEDIDELP)
Pour plus d'informations (sur le chapitre sélectionné) ou pour participer à la prochaine réunion, vous pouvez nous écrire à cette adresse : gdlf em@gmail .com
- Groupe de lecture du Cedidelp.
Pax neoliberalia
perspectives féministes sur (la réorganisation de) la violence
Jules Falquet
Solidement ancré dans les recherches féministes sur la mondialisation et sur la dynamique des rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ce livre est un essai sur l'emploi méthodique de la coercition au service de la mondialisation néolibérale.
► L'instrumentalisation d'une violence en apparence "aveugle", mais en fait très contrôlée, dessine le fil rouge reliant entre eux les quatre textes qui le composent. Proximité troublante de la torture avec la violence domestique (au Salvador)… Création de la classe masculine des "frères d'armes" par le service militaire (en Turquie)… Diffusion des techniques de guerre de basse intensité (au Mexique)… Perpétuation (néo)-coloniale des violences contre les femmes indiennes (au Guatemala)…
Jules Falquet croise différents niveaux d'analyse pour rapprocher des perspectives généralement cantonnées à des sphères séparées. En révélant les continuités qui rattachent la violence misogyne aux méthodes coercitives militaro-policières, cette approche met à jour les logiques genrées de la « gouvernance » mondialisée, ici nommée, par antiphrase, Pax neoliberalia.