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samedi 2 décembre 2017 à 14h

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Avec Macron c'est la pauvreté en marche !

Manifestation contre le chômage et les précarités

pour des droits nouveaux

A l'appel de AC ! - APEIS - MNCP - CGT-Chômeurs
et avec le soutien de nombreuses organisations syndicales, associatives et politiques

Les attaques contre les plus précaires ne cessent de se multiplier. Réforme des A.P.L., baisse générale de 5 euros. Augmentation de la C.S.G, avec perte de pouvoir d'achat, notamment pour des millions de retraités et remise en cause de la solidarité des cotisations sociales. Attaque sans précédent contre le code du travail.

Gel des emplois aidés. Suppression de l'I.S.F, maintien du C.I.CE, de ses milliards pour zéro résultat concernant les emplois.

Et quand ils vont s'attaquer au système du chômage, cela risque de faire tout aussi mal ; sanction quand refus de deux offres « décentes » d'emplois, le tout est de savoir ce que l'on entend par « décentes ».

L'âge auquel on pouvait prétendre à une indemnisation de 3 ans, au lieu de 2 ans était jusqu'à peu de 50 ans, il est aujourd'hui de 55 ans et Macron voudrait que cela passe à 59 ans. Les changements prévus vont faire baisser montant et durée des indemnisations.

Des mesures contre les plus pauvres et les plus précaires au bénéfice des riches, des actionnaires et des grands patrons. Alors que moins de 45 % des chômeurs sont indemnisés, et que les femmes sont particulièrement touchées.

Ajouter à ces mesures, les déclarations sur les fainéants, les illettré(e)s, les « travailles si tu veux t'acheter un costard », etc, etc. et on verra tout le mépris, l'arrogance, la suffisance, du Président de « tous les français ».

Face à sa pensée complexe, nous restons pragmatiques car nos vies c'est maintenant que nous les vivons.

Nous vous appelons à venir leur faire un croche pied en participant nombreux à la manifestation contre le chômage et la précarité, le samedi 2 décembre 2017, à 14 H, Place de Stalingrad à Paris.

Nous exigeons :

  • Un emploi correctement rémunéré, librement choisi, socialement utile.
  • une indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité avec le SMIC comme référence.
    Ce qui aurait comme effet de protéger contre la précarité et favoriserait le retour à l'emploi.
  • Une véritable et nouvelle réduction du temps de travail.
  • L'arrêt des contrôles et des sanctions contre les chômeurs et précaires, des moyens, notamment humains afin que Pole emploi puisse remplir sa mission de service public.
  • Une allocation exceptionnelle (dite prime de noël) d'un montant de 500 euros pour tous les chômeurs et les précaires.
  • Une véritable politique de formation choisie par les chômeurs.
  • La gratuité des transports publics pour les chômeurs, les précaires et leurs familles.
  • L'application du droit au logement pour toutes et tous.

Un emploi c'est un droit !
Un revenu c'est un du !

AC ! - APEIS - CGT Chômeurs - MNCP

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/57982
Source : http://www.ac-chomage.org/spip.php?article240...
Source : message reçu le 1 novembre 17h
Source : https://solidaires.org/Manifestation-a-l-appe...


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Manifestation nationale à Paris

pour la défense du droit au travail et à l'indemnisation

CGT - chômeurs rebelles / précaires

Tous les ans depuis décembre 2008 les chômeurs manifestent le 1 er samedi de Décembre.

L'origine de la première manifestation concernait la prime de Noël. Les choses ont bien changé, aujourd'hui c'est 11 millions de personnes sans emploi en France et autant qui vivent largement en dessous du seuil de pauvreté. Soit près de 1/3 de la population Française qui n'a pas le droit de vivre dignement.

Les privé-e-s d'emploi sont attaqué-e-s de toutes parts :

  • PAR LE MEDEF, premier pourvoyeur du chômage en France avec la multiplication des « plans de départs volontaires » et des ruptures conventionnelles. MEDEF qui creuse le déficit de l'UNEDIC par le gel des contributions et qui bloque les négociations UNEDIC en refusant la taxation des contrats courts.
  • PAR LE GOUVERNEMENT qui aide le patronat à démanteler le service public de l'emploi : avec la fermeture des agences de Pôle Emploi l'après-midi, avec la dématérialisation des relations entre Privés d'Emploi et l'Administration, les radiations qui vont bon train,
  • PAR LES PARTENARIATS PUBLIC-PRIVÉ ÉTAT / RÉGIONS / ASSOCIATIONS qui à travers la loi El Khomri, le CPA, la loi zéro chômeur de longue durée et le plan 500 000 formations, rétablissent un « livret ouvrier numérique » pour contrôler les mouvements de main d'œuvre et imposer des reconversions non souhaitées aux demandeurs d'emploi de longue durée.
  • PAR LES BANQUES qui harcèlent les pauvres avec des agios et autres frais inventés pour engraisser ceux qui ont tout.
    Par les agences immobilières qui refusent de loger celui qui n'a pas grand-chose.
    Par les fournisseurs d'énergie qui choisissent de voir des enfants avoir froid au profit de leurs actionnaires.
    Par les caisses de Sécurité sociale et Allocations diverses qui n'ont qu'un rôle de cache misère.
    Par tous ceux que nous ne citerons pas, tellement la liste est longue...

[...]

Les CHÔMEURS descendent dans la rue SAMEDI 2 décembre 2017 à PARIS

Source : http://www.communcommune.com/2017/11/les-chom...
Source : http://cgtparis.fr/spip.php?article3211
Source : http://www.cgt-educaction94.org/spip.php?arti...


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2 décembre : Contre le chômage et la précarité

Solidaires

Le 2 décembre aura lieu la manifestation à l'appel des associations de chômeurs. L'Union syndicale Solidaires a fait de son soutien aux associations et de la solidarité avec les chômeurs et chômeuses un élément de ses orientations depuis longtemps.

Cette année la journée aura un caractère particulier. Le gouvernement avec son projet de réforme de l'assurance chômage prépare de nouvelles attaques contre les droits de ceux et celles qui ont perdu un emploi, qui en cherche un ou qui risquent de se trouver dans cette situation un jour.

Parce que les confrontations se gagnent sur la durée, nous serons présent-es le 2 décembre

Nous avons été de toutes les mobilisations contre les ordonnances qui modifient le code du travail. L'une des raisons majeures de notre opposition à ces ordonnances est qu'elles organisent la facilitation des licenciements qu'ils soient individuels (indemnités prud'hommes, modifications qui s'imposent aux contrats de travail) ou collectifs (droit d'organiser des licenciements économiques dès lors que les entreprises font apparaître une difficulté économique en jouant sur leur organisation internationale). De plus, s'agissant de la précarité qui touche des emplois de plus en plus nombreux, il y a la possibilité d'étendre l'usage des CDD, de l'intérim… Tout cela rend la question du chômage et de son indemnisation d'actualité pour les salarié-es et le combat contre les projets de modification de l'assurance chômage est une continuité de notre mobilisation.

Parce que le remplacement par la CSG des cotisations chômage changerait notre régime de protection sociale

Le gouvernement envisage, sous couvert d'universalité du système, de mettre en place un régime d'assurance chômage pour tous et toutes y compris les non-salarié-es et basé sur la CSG. Il y aurait ainsi un régime « universel » mais à quel niveau ? et en plus un régime qui serait financé par les cotisations que paient (encore) les employeurs. Tout ceci porteen germe le risque de voir les cotisations patronales disparaître au profit de la seule CSG.

Parce que le chômage est structurel, ce n'est pas aux chômeurs et chômeuses de payer

Ce gouvernement comme les précédents a une politique qui favorise les plus riches et les entreprises, en considérant que celle-ci finira par créer des emplois… en parallèle, et sans que ces politiques n'aient rien donné jusqu'à présent, il est question du contrôle des chômeur-euses dans toutes les bouches gouvernementales et patronales. Ainsi ils entendent mettre en place une obligation de répondre positivement à des offres d'emploi jugées « équivalentes » sous peine de perdre ses droits à indemnisation.

Nous refusons le contrôle des chômeurs et chômeuses, nous voulons un service public de l'emploi qui soit une aide, pas un flicage.

Pour vaincre le chômage, réduction massive du temps de travail à 32 heures et embauches correspondantes.

Nous revendiquons la continuité des droits sociaux et du salaire entre deux emploi, par un statut correspondant.

Toutes et tous dans la rue, samedi 2 décembre

Pour Paris rdv 14h Place Stalingrad

Un meeting aura lieu salle Henaff, bourse du travail rue Charlot, le 28 novembre à 19h

Source : http://www.solidaires.org/2-decembre-Contre-l...


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Gouvernement Macron :

encore plus de galères et de misère pour les femmes !

Femmes contre les précarités,

Réduction drastique des contrats aidés : qui est impacté(e) ?

Baisse des dotations aux collectivités territoriales, réduction de 120 000 fonctionnaires, non-renouvellement de 260 000 emplois aidés en 2017-2018. Les associations les plus touchées sont celles qui s'occupent des populations de quartiers défavorisés, 70 % des emplois aidés sont occupés par des femmes. Tout cela va faire exploser les chiffres du chômage et de la précarité.

Ordonnances Macron du 22/09/2017 : quelles conséquences si elles sont adoptées ?

Ces ordonnances auront des conséquences encore plus graves pour les femmes, déjà soumises aux contrats précaires, aux temps partiels et aux bas salaires... Elles vont en effet entraîner :

Des facilités de licenciements accrues pour les employeurs

  • Un plafonnement des indemnités prud'homales en cas de licenciement abusif
  • Une explosion des CDD, du fait de leur réglementation par accord de branche
  • Des possibilités de modifications unilatérales de clauses des contrats de travail par un employeur,


l'imposition de clauses de mobilité, les salariés qui refusent étant licenciés sans recours possible

  • Des licenciements sous prétexte de difficultés économiques de la société, dès que le chiffre d'affaires accuse la moindre baisse…

Un affaiblissement des Institutions représentatives du personnel

  • Une concentration des IRP et une baisse de moyens
  • Des possibilités de sanctions et de licenciements sans contrôle de la DIRECCTE, beaucoup de syndicalistes n'étant plus protégés
  • Une disparition des CHSCT, instance essentielle pour la prévention des violences faites aux femmes dans le travail.

Un renforcement des inégalités entre les femmes et les hommes

L'article 3 vise à instaurer la primauté de la négociation d'entreprise ou d'établissement sur l'Accord de branche « hormis certains domaines limitativement énumérés ».

  • Un Accord de branche pourrait prévoir que certaines stipulations seront ou non appliquées dans les petites entreprises qu'il couvre.
  • Les modalités de conclusion et de validation d'un Accord pourraient permettre de mettre à l'écart les organisations syndicales…
  • L'égalité professionnelle femmes/hommes fait partie des questions pour lesquelles l'Accord de branche devrait prévaloir. Mais en réalité, la négociation en matière d'égalité professionnelle pourrait être vidée de contenu.
  • Les modalités, les contenus et la périodicité des négociations pourront être fixées par un accord d'entreprise et devenir à géométrie variable, par exemple tous les 4 ans.
  • Le contenu de la Base de données économiques et sociales (qui intègre des données comparatives entre femmes et hommes) resterait à la discrétion de l'employeur.

Réforme de l'assurance chômage : un désastre pour qui ?

6,7 millions de personnes sont inscrites à Pôle emploi, 8 millions sont en sous-emploi, avec les bénéficiaires du RSA.

  • Contrairement à ce qu'affirment les médias et les politiques, le chômage n'a pas diminué. Seule la catégorie A (celle des chômeurs sans activité) est en diminution. Les catégories B et C - personnes qui travaillent avec une activité réduite - ont explosé et elles comprennent 55 % de femmes.
  • 5 millions de salarié-e-s travaillent à temps partiel, dont 80 % de femmes et une moitié sont en temps partiel imposé.
  • 42 % des chômeurs inscrits sont indemnisés avec une Allocation de retour à l'emploi - ARE - en moyenne de 950 euros. Les femmes sont moins souvent indemnisées et ont une allocation en moyenne inférieure de 25 % à celle des hommes. De nombreuses femmes seules ou en famille monoparentale se retrouvent avec une allocation de minima sociaux pour vivre. Beaucoup de femmes dont le conjoint travaille n'ont droit à aucune aide.

L'actuelle Convention d'assurance-chômage, mise en application au 1er octobre dernier

  • entraîne un nouvel abaissement des indemnités de chômage pour les catégories les plus précaires - intérimaires, personnes en activité réduite, plus de 50 ans…- à cause d'une nouvelle méthode de calcul du Salaire journalier de référence et d'une réduction des durées d'indemnisation des seniors
  • évite toute augmentation des cotisations sociales patronales et évite une sur-taxation des CDD
  • prévoit d'augmenter encore les contrôles et les sanctions à l'égard des demandeurs d'emploi
  • remet en cause le principe de solidarité entre catégories de salariés, et instaure une « double peine » pour les plus précaires, tenus pour responsables de la faiblesse de leurs durées de travail.

Tandis que les nombreuses exonérations de cotisations sociales pour les employeurs sont reconduites, récemment, les cotisations sociales salariales ont été supprimées et remplacées par une augmentation des taux de la CSG, qui affecte les retraités, les salariés et même les chômeurs !

Le gouvernement tente à présent d'engager une refonte complète de l'assurance chômage qui, tout en élargissant la population concernée aux indépendants ou aux démissionnaires, vise à détruire le régime fondé sur la solidarité et les cotisations sociales et à instaurer une allocation de base financée par l'impôt, probablement accompagnée d'un développement progressif d'un système d'assurances privées.

Comment faire pour résister ?

Des salariés ne se laissent pas faire ! Les luttes dans les entreprises contribuent à empêcher au quotidien la mise en application de ces textes iniques. A l'hôtel Intercontinental de Porte de Clichy, depuis le 19 octobre, suite à un changement de sous-traitant qui a remis en cause tous les acquis individuels et collectifs des salariés, chez McDo (Champs Elysées et autres) ou chez KFC, contre des passages en franchise qui entraînent une perte de 23 % sur les rémunérations des salariés, contre la répression antisyndicale...

Plusieurs entreprises ont été récemment condamnées en justice. Sur les questions du travail en soirée et le dimanche : victoires du Comité de liaison intersyndical du commerce de Paris. En matière de harcèlement et de discrimination pour raisons syndicales : condamnation de Monoprix le 15/12/2016 par la Cour d'appel de Versailles, dans un jugement favorable à deux ex-déléguées CGT et SUD harcelées et licenciées abusivement.

Plusieurs plaintes devant le Conseil d'Etat ont été déposées par un ensemble de syndicats - majoritairement de la CGT et du Front social - pour demander l'annulation des articles 3,8 et 15 des ordonnances, qui foulent au pied tous les droits syndicaux. Et le combat continue !

Pour une véritable autonomie financière des femmes, il nous faut :

  • Une pérennisation des emplois aidés
  • Des centres d'hébergement pour les femmes en précarité et sans domicile
  • L'abrogation des ordonnances et de toutes les lois de destruction du Code du travail
  • Une attribution des allocations de minima sociaux à titre individuel
  • Une réduction du temps de travail à 32 h sans perte de salaire
  • Une indemnisation de toutes les formes de chômage au moins à hauteur du Smic

Nous appelons toutes les associations de défense des droits des femmes à mobiliser largement le samedi 2 décembre 2017 pour la manifestation des chomeurs et des précaires. départ place de Stalingrad 14 h.

Femmes contre les précarités, le chômage et les discriminations - Adresse mail : femmexescontreexprecaritexes@outloexok.fr

Avec le soutien de : Agir ensemble contre le chômage !, Fédération nationale IFAFE, Femmes migrantes debout, Forum femmes Méditerranée, Les Effrontées, Maison des femmes de Paris

Source : http://www.ac-chomage.org/spip.php?article240...


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Journee de mobilisation le 02 decembre

CGT Spectacle

La CGT Spectacle appelle à la manifestation pour les droits des chômeurs :

Samedi 2 décembre à 14h00 - Place Stalingrad à Paris

Les associations de chômeurs, dont le Comité national des travailleurs précaires et privés d'emploi (CNTPEP-CGT) appellent à manifester le 2 décembre.

Cette année, la manifestation se déroule alors que :

  • Depuis le 1er novembre, les droits au régime général ont baissé pour les 50/55 ans et pour les travailleurs précaires (jusqu'à 30 % sur les indemnités mensuelles pour les contrats courts) en raison de la Convention UNEDIC du 14 avril 2017 (que seule la CGT n'a pas signée).
  • Le gouvernement s'apprête à lancer la concertation sur la réforme de l'assurance chômage. Sous prétexte d'ouvrir de nouveaux droits (démissionnaires, indépendants), il s'agit d'encourager la précarité par le développement des faux indépendants et d'accroître les sanctions contre les chômeurs.

Parce que les salariés permanents de nos métiers sont touchés en cas de chômage par les nouvelles règles ;

Parce que les sanctions renforcées contre les chômeurs peuvent viser tout le monde ;

Parce que les artistes et technicien.n.e.s intermittent.e.s du spectacle veulent conserver les règles adaptées à nos professions et notamment le principe de la négociation professionnelle ayant permis l'accord du 28 avril 2016 ;

Parce que les ordonnances vont accroître le chômage ;

Parce les décisions budgétaires dans le champ du ministère de la Culture (Action publique 2022) risquent de créer une nouvelle crise de l'emploi :

La CGT Spectacle et ses syndicats appellent à manifester le 2 décembre, 14h Place Stalingrad à Paris.

Source : message reçu le 22 novembre 18h


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Cortège du travail social en lutte

Solidaires contre le Chômage et la Précarité

Le 2 décembre aura lieu la manifestation pour la justice sociale et contre le chômage et la précarité à l'appel des associations de chômeurs-euses. Des manif ont lieu à Paris, Caen et Marseille. La fédération SUD Santé Sociaux y participera. A Paris, l'assemblée générale du travail social en lutte appelle les salariéEs du secteur à y constituer un cortège.

Appel de l'assemblée générale du travail social en lutte

L'Assemblée Générale du travail social du 20 novembre à décidé de constituer un cortège du travail social en lutte samedi 2 décembre à l'occasion de la manifestation contre le chômage et la précarité. Nous invitons les professionnel-les et les étudiant-es de l'action sociale à converger aux côtés des sans-emploi, sans logis, sans papiers pour défendre une protection sociale de haut niveau. Les offensives en cours ou à venir contre le code du travail, la sécurité sociale ou l'assurance-chômage font partie des batailles que nous entendons mener pour nous et les publics accompagnés. Nous refusons par ailleurs de devenir des auxiliaires de police, des agent-es de tris des réfugiées ou des opérateurs/trices de contrôle social. Nous sommes en lutte pour la défense d'un travail social émancipateur et non-marchand !

à Paris RDV samedi 2 décembre à 14h place de Stalingrad derrière les banderoles du travail social en lutte

Source : http://www.sudsantesociaux.org/le-2-decembre-...
Source : message reçu le 29 novembre 15h


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Manifestation le 2 décembre

Tous précaires, tous chômeurs !

CGT 20e

Ce samedi 2 décembre, à l'appel des organisations de chômeurs et précaires CGT, AC !, APEIS et MNCP, et avec le soutien de nombreuses associations et partis politiques, se tiendra la 15e édition de la manifestation contre le chômage et la précarité.

Un rendez-vous particulier cette année, tant l'inquiétude est grande face à la casse sociale imposée à marche forcée par le gouvernement Macron.

Ils sont nombreux déjà, à en faire les frais : contrats aidés, jeunes, femmes, cinquantenaires, retraité.e.s, personnes handicapées... la liste des sacrifié.e.s est plus longue de jour en jour, mais toujours chez les plus faibles, qu'on stigmatise et désigne comme fainéants, fraudeurs, profiteurs, illettrés, riens !

Le gouvernement, avec le gel des emplois aidés, vient de faire le plus grand plan social jamais vu, en mettant 120 000 personnes sur le carreau.

Un rendez-vous particulier cette année, car plus que jamais, nul ne peut dire aujourd'hui de ce qu'il va advenir du principe solidaire de financement de l'assurance chômage, avec la réforme de l'impôt et des cotisations sociales. Ni quel sera le sort de ceux, qui, sortis de l'assurance chômage, touchent le RSA auprès de collectivités dont les dotations par l'Etat sont incertaines à court terme.

Seule certitude : le cabinet de Madame Pénicaud prépare une réforme de la durée et du montant des indemnisations, sans discussion avec les principaux concernés - chômeurs et précaires - et on peut se douter que cela n'ira pas vers le haut !

La mobilisation de tous est donc plus que jamais urgente et nécessaire pour défendre le droit au travail et à l'indemnisation.

Rendez-vous samedi 2 décembre

Place Stalingrad à Paris - 14h

Source : http://ulcgt20.org/spip.php?article1953


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Pour la justice sociale, travaillons tous moins et autrement

CNT

Étudiants, salariés, retraités, manifestons avec les chômeurs le samedi 2 décembre 14 h M° Stalingrad

Autrement ?

Oui, en se posant la question, quoi produire en biens et services, pourquoi ? Pour qui ? Et comment ?

Comment le produire ? Sans profit mais avec professionnalisme, avec des décisions collectives prises par les travailleurs eux-mêmes.

Tous !

Enfin celles et ceux qui peuvent… qui sont en âge…une façon de partager entre toutes et tous les travaux pénibles, répétitifs, ennuyeux, etc.

Moins !

Oui c'est le but : moins de travail par obligation, et plus de temps pour faire ce qui nous plaît, au boulot ou au dehors du boulot. Bricolage, art, farniente, voyages à pied ou en vélo… Du rêve, de l'utopie, et pourquoi pas ?

Et aujourd'hui, qu'est-ce qu'on nous vend ? Le profit maximum pour ceux d'en haut et des miettes pour nous ; un idéal de plein emploi alors que la compétition et la concurrence conduisent à supprimer nos emplois et nous contraignant à accepter des petits boulots de misère souvent pour progresser socialement, combien de fois il faut courber le dos, combien de couleuvres il faut avaler ? Jusqu'où et jusqu'à quand accepter l'étranglement de la laisse de la subordination ?

Car quel bonheur, quelle gaité, quelle convivialité à aller au boulot. Loin de chez soi, pour des services ou des productions quelquefois inutiles socialement.

On a toujours le choix, se résigner et courber le dos ou passer le premier en écrasant les collègues. Mais on peut aussi choisir une autre ligne de conduite, mais pas tout seul…

Ainsi à la CNT nous faisons le choix déjà de vivre autrement le syndicat. Des décisions collectives des adhérents, pas de direction, pas de professionnels du syndicalisme payés pour cela, mais le choix des combats à mener décidés entre toutes et tous à égalité. Nous nous entraînons déjà à vivre autrement. Pourquoi pas vous ?

Source : http://www.cnt-f.org/urp/tracts/pour-la-justi...


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Manifestation contre le chômage et la précarité

Lutte Ouvrière

Samedi 2 décembre, les organisations de chômeurs AC !, Apeis, MNCP et CGT chômeurs appellent à manifester contre le chômage et la précarité.

Lutte ouvrière se joint à cet appel.

À Paris, la manifestation partira à 14 heures de la place Stalingrad.

Source : https://journal.lutte-ouvriere.org/2017/11/29...