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samedi 20 mai 2017 à 15h

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Nos droits Contre leurs Privilèges

Le 20 mai : la place est à nous !

A quelle sauce Emmanuel Macron veut nous manger ?
On résiste !
On s'organise !
Sur quoi et comment ?
On en débat tous/toutes ensemble...

15 h 30 à 17 h 30 : huit ateliers

  • Rendez l'argent public volé !
  • Chômage et précarité, çà vous tente ?
  • Macron et les enjeux internationaux : dans les pas de Hollande et de Sarkozy !
  • Du racisme et des mouvements sociaux aux violences policières !
  • Loi travail /Code du travail : quelles évolutions pour les travailleurs et travailleuses ?
  • Protection sociale : le grand coup de balai...?
  • L'état d'urgence : se réapproprier la lutte et faire vivre nos droits !
  • Logement, quartiers populaires, spéculation, grands projets inutiles : nous organiser pour imposer notre droit au logement et à la ville !

17 h 30 à 19 h

Assemblée
Les propositions, les stratégies, les rendez-vous à venir...
Et aussi :

Préparons nous à 1826 journées de résistance et d'alternatives !

La période qui s'ouvre sous la présidence de Macron nous impose un engagement à faire des 1826 jours à venir de ce quinquennat 1826 journées de résistance multiples et convergentes pour faire face aux mauvais coups inscrits dans le programme électoral du nouvel élu. Nous savons que sans luttes, nos revendications ne seront ni entendues ni satisfaites. Les alternatives portées par nos mouvements ne verront pas le jour sans mobilisations sociales d'ampleur !

Les inégalités augmentent, le chômage, la précarité et la pauvreté touchent de plus en plus de personnes, en particulier les femmes, les jeunes, les habitant.es des quartiers populaires, les migrant.e.s

L'explosion de la spéculation, des privilèges et de la richesse de quelques-uns, se renforce au détriment de toutes et tous.

Le racisme, sous toutes ses formes, en premier lieu le racisme institutionnel, gangrène notre société. Les noirs.es, les musulman.es, les arabes, les rrom.es, les asiatiques… sont accusés de tous les maux de notre société alors que discriminations et violences policières à leur égard se multiplient.

Les droits des salarié.es, des chômeurs et chômeuses, des locataires, la protection sociale et les services publics déjà affaiblis sont menacés dans leurs fondements. Les enjeux écologiques sont remisés au second plan.

La Place est à nous !

Retrouvons nous le samedi 20 mai à partir de 15 h place de Stalingrad à Paris pour tenir une assemblée de mobilisation.

Nous débattrons ensemble de nos droits fondamentaux, des libertés publiques et de l'état d'urgence, des violences policières et du racisme, du partage des richesses et de l'évasion fiscale… Nous exigerons nos droits et dénoncerons leurs privilèges.

Nous mettrons en commun les perspectives de mobilisations sociales !

Nous partagerons ensemble un moment festif : fanfare, bal populaire, bouffe et boissons…

===> https://www.facebook.com/events/1834550036867…

www.nosdroits.org
contexact@nosdexroits.orexg

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/54881
Source : https://twitter.com/Sudsante_APHP/status/8652...
Source : https://www.droitaulogement.org/2017/05/nos-d...


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Pour nos droits et contre leurs privilèges

faisons entendre nos droits et nos actions

Justice, Dignité, Solidarité, Egalité et respect de nos droits.
Contre les régressions, contre la répression, contre le racisme, contre le fascisme

Lundi 1er mai

journée internationale de luttes et de solidarité des travailleurs/travailleuses

Nous manifesterons ensemble pour affirmer notre volonté commune de construire les luttes et les convergences indispensables.

Samedi 20 mai

Au lendemain de l'élection du ou de la président.e de la République et de la nomination du nouveau gouvernement, nous ferons entendre nos exigences sociales et notre engagement à construire les convergences nécessaires pour imposer une société juste et égalitaire.

A Paris, rendez-vous à partir de 15 h (lieu à confirmer).

L'appel

Dans la période électorale actuelle nous sommes plus déterminé.es que jamais à faire entendre nos voix et nos résistances. Car à l'issue des élections présidentielle et législatives, nous savons que sans luttes, nos revendications ne seront ni entendues ni satisfaites.

Les inégalités augmentent, le chômage, la précarité et la pauvreté touchent de plus en plus de personnes, en particulier les femmes, les jeunes, les habitant.es des quartiers populaires, les migrant.e.s

L'explosion de la spéculation, des privilèges et de la richesse de quelques-uns, se renforce au détriment de toutes et tous.

Le racisme, sous toutes ses formes, en premier lieu le racisme institutionnel, gangrène notre société, avec une séquence électorale où une fois de plus, on montre du doigt accusateur les noirs.es, les musulman.es, les arabes, les rrom.es, les asiatiques…

Les droits des salarié.es, des chômeurs et chômeuses, des locataires, la protection sociale et les services publics déjà affaiblis sont menacés dans leurs fondements. Les enjeux écologiques sont remisés au second plan.

Le mouvement contre la loi travail, la persistance de luttes et de grèves, démontrent que les résistances perdurent dans ce pays, malgré la répression, les violences policières ou l'état d'urgence. Des logements vacants sont réquisitionnés par des mal logés et des sans logis, des travailleurs sans papier occupent leur lieu de travail…

Les mobilisations des migrant.es se sont multipliées De multiples initiatives d'accueil et de solidarité existent dans notre pays, à l'encontre des discours de haine et de rejet développés par certain.es et à l'encontre des guerres impérialistes conduisant à des exodes massifs de migrant.es.

Le récent mouvement social populaire en Guyane nous rappelle que l'égalité est à géométrie variable selon les territoires et que, seule, la mobilisation paye.

La Marche du 19 mars pour la Justice et la Dignité, organisée à l'appel des familles de victimes des violences policières a montré que les premier.es concerné.es s'organisent pour ne plus subir, pour être acteurs/actrices de leurs vies et imposer dans un élan de convergence de toutes nos luttes, l'égalité de droits et le partage de richesses.

www.nosdroits.org

@nosdroits_org

Pour Nos Droits et Contre leurs Privilèges

Appel des mouvements sociaux

Premiers signataires :

AC !, ACORT, Amelior (Les Biffins), AMF, Amis de la Confédération paysanne, APEIS, ASDHOM, ATMF, ATTAC, CEDETIM, CGT Finances, CNT Solidarité ouvrière, Comité Vérité et Justice pour Ali Ziri, Compagnie Jolie Môme, Confédération Paysanne, Convergence Services Publics, COPAF, CRLDHT, CSP 75, Culture et Liberté, DAL, Droits Devant !!, Emmaüs - France, FASTI, Fondation Copernic, FSU, FTCR, IPAM, Les Effrontées, Les jours heureux, MRAP, MNCP, On Bloque Tout, Osez le Féminisme !, Pas Sans Nous, ReAct, RESF, Sortir du colonialisme, Solidaires Finances Publiques, SUD Education, SUD PTT, Sud Recherche - EPST, SUD santé Sociaux, Union syndicale Solidaires, UJFP, Urgence notre police assassine, UTAC, UTOPIA, VISA

contexact@nosdexroits.orexg

Source : message reçu sur ensemble-faldi le 28 avril 09h
Source : http://www.sudptt.org/Nos-droits-contre-leurs...


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Construire la riposte sociale

Solidaires

Alors qu'un tiers des inscrit-es se sont abstenu-es ou ont voté blanc ou nul, nouvelle illustration de la « crise politique », Emmanuel Macron a été élu président de la république avec une large avance devant la candidate du FN. La défaite du Front National est une bonne nouvelle mais le niveau atteint par celui-ci et la banalisation de ses idées montrent que ce n'est pas la fin du risque nationaliste, raciste, sexiste et autoritaire. Le vote frontiste trouve ses racines dans des années de politiques de régressions sociales et libérales et dans la banalisation de la parole xénophobe, voire raciste chez de nombreux autres responsables politiques y compris à la tête de l'Etat.
Ces mêmes politiques économiques et antisociales sont aujourd'hui incarnées par le président élu, son parti et ses soutiens. Mais elles sont loin d'être majoritaires dans le pays.

Le nouveau président a, durant la campagne, défini les contours d'un projet qui accentuera les politiques libérales menées par les différents gouvernements depuis des années. Il a d'ores et déjà annoncé la mise en place de mesures régressives qui devraient empirer la situation de millions de travailleurs/ses et qui bénéficieront avant tout aux plus riches ou aux patrons des entreprises : remise en cause du système de protection sociale et de son financement, diminution de l'impôt sur les sociétés, suppression de l'ISF sur les revenus du capital, assouplissement des 35 heures, démantèlement du Code du Travail, poursuite de la casse et de la privatisation des services publics, affaiblissement de la Fonction publique. Par ces annonces et par sa volonté de gouverner par ordonnances, il montre le peu de cas qu'il fait des syndicats, et prépare une politique autoritaire autant que libérale.

Dès les heures qui ont suivi la proclamation des résultats, des manifestations ont montré qu'il n'y avait pas d'état de grâce à accorder au nouveau président ! Nous condamnons les violences policières qui ont eu lieu dans plusieurs villes lors de ces manifestations… comme nous condamnons les interdictions de manifester qui avaient été signifiées à plusieurs de nos militant-es !
Un des prochains rendez-vous aura lieu le 20 mai, avec le collectif « Nos droits contre leurs privilèges » pour coordonner les luttes, et montrer les alternatives concrètes que nous portons collectivement face aux politiques qui font fi de la justice sociale, du respect des libertés et des exigences écologiques vitales.

Nous n'attendons rien de positif de ce nouveau président et des orientations qu'il compte mettre en place et qui dessinent un projet de société encore plus inégalitaire, avec toujours plus de pauvres, de chômeurs/euses, de précaires, et des conditions de travail dégradées. Nous devons donc préparer un nouvel affrontement plus large, plus déterminé et plus massif encore que ce que nous avons réalisé lors de la mobilisation contre la loi travail. Pour cela, l'unité syndicale est indispensable. C'est le sens de la proposition que nous avons faite dès vendredi dernier à l'ensemble des organisations syndicales d'une rencontre rapide dans les prochains jours.

Il faut construire une riposte sociale dans nos entreprises, nos services, nos quartiers, nos villes et dans la rue.

Source : http://www.solidaires.org/Construire-la-ripos...