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mercredi 23 septembre 2015 à 11h30

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Journée nationale de solidarité et d'actions

Syndicalistes... pas voyous !

Déroulement du rassemblement place de la République :

11h30 - 16h Rassemblement place de la République Paris

  • A partir de 11h30 : accueil des manifestant-es.
  • 11h45 - 13h45 : prises de paroles et témoignages de militants syndicaux : Comment lutter et gagner contre la répression syndicale !
  • A 12h30 : une délégation militante se rendra avec les 5 camarades d'EDF au Tribunal correctionnel de Paris.
    Tout au long du rassemblement nous aurons une communication en directe avec le TGI pour l'évolution du procès des camarades d'EDF.
  • 14h - 15h : Débat autour d'une table ronde : « Les Libertés syndicales, un enjeu de Démocratie » avec des parlementaires, des militants associatifs, des dirigeants CGT...
  • 15h - 16h : Animation musicale avec le groupe : Collektif GLU.

En marge du rassemblement, une fresque géante sera réalisée sur le thème des libertés syndicales vues par des dessinateurs et graphistes professionnels.

Restauration possible sur place : sandwichs, boissons...


Les affaires judiciaires de Roanne, des « 5 d'EDF-GDF », l'inspectrice du travail à Annecy poursuivie par Tefal, de la Bourse du travail du Blanc-Mesnil, de Chartres, du Havre, de Villefranche-sur-Saône, de la Caisse d'Epargne de l'Ile de France… sont autant de preuves d'une volonté patronale et d'une partie du pouvoir judiciaire, de criminaliser l'action syndicale dans un contexte d'action collective (Grève, manifestation…).

Les sanctions en droit pénal, qui pèsent contre les militants syndicaux, traités comme des « voyous » par le patronat et certains procureurs, sont inadmissibles et n'ont rien à voir avec la réalité du fait syndical ! A l'image de l'acharnement que déploie la ville du Blanc-Mesnil à briser l'action militante et le syndicalisme, des centaines de salariés, syndicalistes, militants sont victimes de répression syndicale en France. Poursuites devant les tribunaux, fermetures de locaux syndicaux…, Etat et patronat n'hésitent pas à s'attaquer à celles et ceux qui résistent et s'opposent.

Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT, était aux côtés des militants et leur a annoncé la préparation d'une grande initiative nationale pour les libertés syndicales le 23 septembre 2015. Ce même jour, cinq militants d'ERDF-GRDF comparaîtront au tribunal correctionnel de Paris pour avoir participé à un rassemblement de soutien à une mère célibataire menacée de licenciement.

La CGT demandera une audience au ministère de la Justice, pour porter les exigences de la CGT :

  • Le vote de la loi d'amnistie pour tous les militants syndicalistes et associatifs ;
  • De ne pas donner de suites judiciaires aux tentatives patronales de criminaliser de l'action syndicales ;
  • De renforcer la protection des militants syndicaux, agissant dans l'intérêt général des salariés dans le cadre d'actions collectives, en modifiant d'une part le Code Pénal et d'autre part, en supprimant le prélèvement d'ADN de tous les militants.

Pour la CGT, porter atteinte à un militant syndical, c'est porter atteinte à toute la CGT ! La lutte contre la criminalisation de l'action syndicale, s'inscrit dans la démarche générale de la CGT de lutte contre toutes les formes de discrimination.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/40977
Source : http://www.ulcgt11.fr/?Pas-de-conquetes-socia...
Source : http://ulcgt20.org/spip.php?article1503
Source : http://cgtparis.fr/Mercredi-23-septembre-jour...


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Le 23 septembre, Liberté syndicale, j'écris ton nom !

Cinq militants du syndicat CGT Énergie Paris sont convoqués au Tribunal correctionnel de Paris, le 23 septembre 2015, pour atteinte à la liberté du travail alors qu'ils défendaient avec 200 agents le droit au travail d'une collègue licenciée arbitrairement.
Ils seront au rassemblement Place de la République à Paris.

Vous êtes des millions de salarié-es, du secteur privé comme du public, à vérifier chaque jour l'intérêt de vous organiser collectivement au sein de votre entreprise ou de votre service. La liberté syndicale est fondamentale, c'est un droit humain universellement reconnu et protégé ; liberté consacrée par différentes constitutions ou traités.

Mais cette liberté est de plus en plus contrainte (lois, criminalisation de l'action syndicale, discriminations, etc). Le patronat, le gouvernement français mais aussi les Institutions européennes veulent imposer des réformes réactionnaires, supprimer des garanties et des acquis sociaux. Pour œuvrer le plus aisément possible, ils essaient par différents moyens d'uniformiser le syndicalisme, de l'institutionnaliser afin qu'il ne soit plus qu'à leur service, un outil d'accompagnement des décisions patronales et gouvernementales.

La liberté de l'action syndicale dans ses différentes expressions est aujourd'hui comme hier importante pour toutes et tous afin de gagner des droits et des conquêtes sociales.

Elle doit pouvoir s'ancrer dans des pratiques syndicales libres de toutes contraintes via un syndicalisme de contre-pouvoir, de transformation sociale véhiculant des valeurs de justice, de démocratie, d'égalité, de solidarité et de progrès social.

Notre organisation syndicale est indépendante du patronat, du gouvernement. Elle est un outil au service des revendications des salarié-es, des privé-es d'emplois, des retraité-e-s afin que chacun-e puisse prendre son destin en main, décider de son avenir, œuvrer pour son émancipation. Elle est un bien commun.

Le 23 septembre, ensemble, exigeons le respect des libertés syndicales !

Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?article1365


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Le 23 septembre ensemble pour les libertés syndicales !

Rassemblement place de la république de 11h30 à 16h.

Le 23 septembre, ensemble, exigeons le respect des libertés syndicales !

La liberté syndicale est un droit des salariés universellement reconnu et protégé. Une valeur fondamentale consacrée par le préambule de la Constitution de l'Organisation Internationale du Travail, depuis 1919.

De l'accompagnement d'un salarié menacé de sanction, à la grève pour des revendications professionnelles ou interprofessionnelles, tout relève de la même intervention syndicale, du même besoin des salariés, des privé-e-s d'emplois, des retraité-e-s individuellement ou collectivement d'être entendus, de gagner de nouveaux droits, d'améliorer leurs conditions de vie et de travail.

La Confédération Générale du Travail (CGT) est une organisation syndicale indépendante du patronat, du gouvernement. Elle est un bien commun.

Organisés, nous sommes plus forts !

Dans de nombreux pays européens, les libertés publiques et les acquis sociaux sont attaqués en même temps que les politiques d'austérité sont imposées aux peuples.

Bien que nous rayonnons dans différentes entreprises, dans des métiers différents, nombre de sujets nous sont communs : la politique salariale, l'emploi, la formation professionnelle, le temps de travail, les congés payés, les comités d'entreprises, les libertés individuelles et collectives comme le droit de grève, la défense de la retraite par répartition, de la sécurité sociale, des services publics …

L'histoire sociale est jalonnée de ces conquêtes sociales qui n'auraient jamais vu le jour sans actions syndicales organisées par un puissant mouvement social.

Le patronat, le gouvernement français mais aussi les institutions européennes veulent imposer des réformes réactionnaires, supprimer des garanties et des acquis sociaux. Ils essaient par différents moyens d'uniformiser le syndicalisme, de l'institutionnaliser afin qu'il ne soit plus qu'un outil d'accompagnement des décisions patronales et gouvernementales.

Femmes/hommes de conviction, pas martyres !

Alors qu'une longue séquence de négociations a été engagée suite à la promulgation de la loi du 4 août 2014 et à sa mise en œuvre, gouvernement et direction SNCF semblent avoir décidé de se liguer contre la CGT.

Des syndicalistes sont même traînés devant la justice, pour des faits qui s'inscrivent pourtant dans le cadre de leurs missions syndicales. Au-delà des procédures engagées par les employeurs, c'est une chaîne de complicité qui s'instaure avec certains hauts fonctionnaires ou élus politiques. C'est bien le syndicalisme interprofessionnel qui est visé, c'est-à-dire le droit et les moyens de s'organiser pour agir.

Observons comme nos dirigeants politiques sont indulgents avec certaines professions libérales qui peuvent incendier des établissements publics, détruire des biens et bloquer des circulations en toute impunité.

« Casser du militant syndical », briser des mobilisations, créer des peurs font partie des moyens patronaux pour freiner le développement du syndicalisme. Ce sont des recettes aussi vieilles que le syndicalisme lui-même !

Dès lors qu'ils contestent des orientations patronales ou gouvernementales nuisibles aux salariés, les militants syndicaux font l'objet de discriminations. Du national aux établissements, il ne se passe pas une journée sans que nous soyons alertés des dérives managériales : blocage des carrières, avertissements, sanctions, pressions, harcèlements, instances représentatives du personnel bafouées, intimidations, menaces jusqu'à la radiation des cadres…

Les sanctions deviennent banales, les dossiers sont montés à charge contre des militants syndicaux CGT, il n'y a ni justice, ni impartialité dans le traitement des situations.

Pour la CGT, cette situation n'est pas de nature à nous poser en martyres. Au contraire, elle nous donne l'ambition de lever haut la tête et de nous renforcer pour donner encore plus de puissance à notre combat en faveur des salariés.

Les libertés syndicales pour plus de progrès social !

La liberté de l'action syndicale dans ses différentes expressions est aujourd'hui comme hier importante pour toutes et tous afin de conquérir de nouveaux droits. Elle doit pouvoir s'ancrer dans des pratiques syndicales libres de toutes contraintes par un syndicalisme de lutte, de transformation sociale véhiculant des valeurs de justice, de démocratie, d'égalité, de solidarité et de progrès social.

Vouloir inverser la hiérarchie des normes sociales, plaçant les accords d'entreprises et de branches au-dessus de la loi, serait encore une réponse gouvernementale aux exigences patronales allant encore plus loin que l'ANI scélérat de janvier 2013, validé par la loi du 16 juin 2013.

Les salariés avec la CGT, doivent exiger de nouveaux droits pour agir et permettre des avancées sociales. Afin d'empêcher ces dérives, dangereuses pour le syndicalisme de conquête que nous incarnons et plus largement pour le respect de la démocratie, la CGT porte l'exigence du vote au Parlement d'une loi d'amnistie sociale, portant des droits nouveaux protégeant les militants syndicaux et progressistes qui agissent dans le cadre de leur mandat.

Le 23 septembre 2015, rassemblons-nous dans le cadre d'une large mobilisation public/privé contre les discriminations et en faveur de nouveaux droits pour tous les salariés et leurs représentants !

arton - a

Source : http://blog.cgt-psl.fr/le-23-septembre-ensemb...


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Rassemblement contre la répression syndicale !

CGT Educ'action 93

La remise en cause du droit de grève et du droit syndical sont une des facettes de la violence des plans d'austérité que connaissent aujourd'hui les salariés :

  • Baisse des salaires et augmentation du chômage
  • Privatisation des services publics qui s'accélère notamment dans la santé et l'éducation
  • Remise en cause du code du travail et des conventions collectives avec les futures lois Macron

Les rectorats qui sont les relais de la politique du gouvernement dans l'enseignement sèment de plus en plus un climat de peur et d'intimidation chez les enseignants syndicalistes. Mutation forcée, conseil disciplinaires, grèves de la faim … Les collègues de Bellefontaine ou de Colombes en ont fait l'expérience, pour avoir défendu les conditions de travail des enseignants et d'étude des élèves contre la refonte de l'éducation prioritaire.

Ne les laissons pas faire ! Ne laissons pas le gouvernement nous diviser !

Parallèlement, les nouvelles mairies réactionnaires de Seine-Saint-Denis, lancent une nouvelle offensive contre l'existence des Bourses su Travail sous prétexte d'économies budgétaires :

  • fermeture de la bourse du travail du Blanc Mesnil
  • menaces de fermetures des locaux de Bobigny et de Saint-Ouen.


L'hébergement des organisations syndicales par les institutions n'est pas un coût, mais un droit reconnu par tous les salariés.
C'est la raison pour laquelle nous rejoignons l'appel interprofessionnel en défense des libertés syndicales avec nos camarades de l'énergie et des autres secteurs en lutte.

  • Tous et toutes au rassemblement interprofessionnel !
    Mercredi 23 septembre place de la République 14 H
  • Pour le maintien des Bourses du Travail
    Manifestations dans le 93, mercredi 30 septembre

Source : http://www.cgteduc93.fr/spip.php?article6465


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Journée de mobilisation contre les discriminations syndicales

Le 23 septembre 2015, la CGT organise une initiative nationale pour exiger le respect des libertés d'expression et d'actions syndicales qui touchent aussi bien les militant-es dans les entreprises et les services, les militant-es dans l'interprofessionnel que la remise en cause des hébergements des ULs ou UDs par les municipalités ou conseils départementaux.

Partout en France, les organisations de la CGT organiseront des initiatives afin d'exiger l'arrêt des atteintes aux libertés syndicales et de faire connaître les propositions de la CGT.

Un rassemblement aura lieu à PARIS, Place de la République - symbole des libertés-, puis une marche ira jusqu'au tribunal correctionnel pour accompagner 5 militants d'ERDF-GRDF. Ils subissent un acharnement judiciaire depuis plus de 2 ans. Motif : ils ont participé à un rassemblement qui s'opposait au licenciement d'une mère célibataire !

Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?breve1513


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Journée nationale pour les libertés syndicales

« Casser du militant », briser des élans sociaux, créer des peurs, menacer les Bourses du travail… la répression syndicale reste un des moyens patronal pour freiner le développement du syndicalisme. Ainsi, certains militantes et militants de la CGT, de par leur engagement, sont traités comme des délinquants. Ils sont trainés devant les tribunaux, dans des procédures de plusieurs années. Leur carrière est souvent brisée, leur vie bouleversée, leur famille affectée…

Les affaires judiciaires de Roanne, des « 5 d'ERDF-GRDF », l'inspectrice du travail à Annecy poursuivie par Tefal, de la Bourse du travail du Blanc-Mesnil, de Chartres, du Havre, de Villefranche-sur-Saône, de la Caisse d'Epargne de l'Ile de France… sont autant de preuves d'une volonté patronale et d'une partie du pouvoir judiciaire, de criminaliser l'action syndicale dans un contexte d'action collective (Grève, manifestation…).

Les sanctions en droit pénal, qui pèsent contre les militants syndicaux, traités comme des « voyous » par le patronat et certains procureurs, sont inadmissibles et n'ont rien à voir avec la réalité du fait syndical !

Pour la CGT, porter atteinte à un militant syndical, c'est porter atteinte à toute la CGT ! La lutte contre la criminalisation de l'action syndicale, s'inscrit dans la démarche générale de la CGT de lutte contre toutes les formes de discrimination.

Source : http://www.ulcgt11.fr/?23-septembre-journee-n...


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C'est les spéculateurs qu'il faut emprisonner,

Pas les militants !

CGT-RATP/Bus

Les chefs, les directeurs, les patrons de la RATP nous répètent sans cesse « qu'on est bien » à la Régie, et « qu'on lui doit beaucoup ». C'est faux !

Tout d'abord, c'est la RATP qui nous doit, collectivement, la réalisation quotidienne de l'offre de transport, et individuellement, en contrepartie, un salaire. Et si « on est bien » à la RATP, il faut dire précisément pourquoi.

Ce que nous, agents RATP, avons en plus du salaire (Statut, Conditions de Travail, CRE, disposition fortes chaleurs, Conseil de Prévoyance, etc.) nous le devons aux anciens qui ont lutté. Ceux qui ont mené des grèves longues. Ceux qui ont fait d'importants sacrifices individuels pour obtenir collectivement ces droits, ces acquis dont nous bénéficions encore.

A toutes les époques, il y a eu des chefs pour dire que l'entreprise allait couler, si on écoutait les travailleurs. Cela n'a pas empêché les anciens d'aller arracher des avancées sociales considérables.

Aujourd'hui, on nous demande de tout sacrifier, de renier l'héritage des anciens, sous peine de couler lors de l'ouverture prochaine à la concurrence. C'est le même chantage qu'à l'époque.

A la CGT, on n'est pas d'accord avec ça. Et on le dit ouvertement !

C'est pour cela que, depuis toujours, les militant-e-s CGT sont dans la ligne de mire du patronat.

Aujourd'hui, deux de nos camarades sont attaqués parce que militant-e-s. Nous n'avons pas le droit de détourner le regard. Que l'on soit militant ou pas, syndiqué ou pas, nous n'avons pas le droit d'abandonner celles et ceux qui se mettent en première ligne pour le bien du collectif.

Sans liberté syndicale, il n'existe pas de droits pour les travailleurs.

Alors, en Septembre 2015, la CGT te donne trois rendez-vous pour les défendre :

  • Le 2 septembre, au dépôt de Lagny, pour soutenir Yaël, convoquée par la direction :
    • 5h30 : rassemblement au dépôt,
    • 8h00 : Assemblée Générale (présence massive nécessaire !)
    • 10h00 : début de l'entretien disciplinaire.
  • Le 7 septembre, au dépôt de Bords de Marne, pour soutenir Pablo, convoqué par la direction :
    • 5h30 : rassemblement au dépôt,
    • 15h00 : début de l'entretien disciplinaire.
  • Le 23 septembre, place de la République, à Paris :
    • 14h00 : rassemblement pour la défense des libertés syndicales.

C'est les spéculateurs qu'il faut emprisonner, Pas les militants !
Le 2, le 7, le 23 septembre,
Avec la CGT,
Construisons la riposte syndicale !

Source : http://cgtparis.fr/C-est-les-speculateurs-qu-...