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mardi 18 novembre 2014 à 12h

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Mobilisons nous, rassemblons nous !

Pour la défense de l'emploi public et de ses agents

  • 10h - Rassemblement CGT finances publiques devant Bercy
  • 12h- Rassemblement commun devant l'Assemblée nationale

Parce que depuis le 15 mai dernier, date de la dernière manifestation unitaire pour la défense du pouvoir d'achat et de la qualité de l'emploi public, la situation au sein de la Fonction publique s'est encore dégradée, nos quatre organisations syndicales viennent d'interpeller le président de la République pour que soit entendue notre demande de justice sociale, d'égalité et de solidarité.

Nous refusons de renoncer aux justes revendications que nous portons unitairement :

  • Une revalorisation immédiate du point d'indice ;
  • La refonte de la grille pour une meilleure reconnaissance des qualifications ;
  • L'intégration d'une large partie des primes dans le traitement indiciaire ;
  • L'égalité salariale entre les femmes et les hommes ;
  • Des emplois statutaires pour faire face aux besoins ;
  • Un large processus de titularisation des agents non titulaires et le développement des garanties pour les précaires ;
  • Des perspectives de carrière et de mobilité choisie pour tous les agents ;
  • La possibilité d'exercer les missions de service public dans des conditions décentes.

Nos inquiétudes sont grandes également face aux projets en cours : réforme de l'Etat, revue des missions, réorganisation territoriale, projet de loi santé...


Pour réussir et être utiles à la société, les réformes ne peuvent pas avoir pour objectif central la recherche de réduction de coûts mais répondre aux besoins de la population et à l'amélioration nécessaire des conditions de travail des agents.

Les choix budgétaires proposés par le gouvernement au travers des projets de loi de finances font peser de graves menaces sur l'avenir de la Fonction publique et de la solidarité nationale.
Pour demander que cesse cette politique de régression pour la Fonction publique, ses agents et les services publics nos quatre organisations appellent les trois versants de la Fonction publique à se rassembler :

  • le 18 novembre à Paris devant l'Assemblée nationale de 12h à 14h où nous demanderons à rencontrer le président de la Commission des finances.
  • le même jour, à l'initiative des intersyndicales locales, sur tous les territoires de métropole et d'Outre-mer où nous rencontrerons les élus et préfets.

Nous jugerons des réponses qui nous seront apportées ce jour là. A défaut, nous poursuivrons notre action dans un cadre unitaire le plus large possible dés le début 2015.

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/35778
Source : http://www.ugff.cgt.fr/spip.php?article4645
Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?breve1358


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Mobilisations Fonction publique et Santé en lutte

Tract Solidaires Fonction publique

Une hausse des salaires : OUI OUI OUI !
Des créations d'emplois : OUI OUI OUI !
Une politique « d'Hôstérité » : NON NON NON !
La casse des services publics : NON NON NON !

Le 18 novembre prochain, partout en France, interpellons ensemble nos élu(e)s qui votent à l'Assemblée Nationale le projet de loi de finances et le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour l'année 2015.

Ces deux projets ont un seul objectif : obtenir 21 milliards d'euros d'économies !

L'objectif fixé pour les trois années à venir : 51 milliards d'ici 2017 !!

Tout cela essentiellement sur le dos des services publics, de la fonction publique et de ses agents !!

En 2015 :

  • poursuite du gel du point d'indice de nos rémunérations (bloqué depuis juillet 2010)
  • poursuite des suppressions d'emplois dans l'ensemble des secteurs de la fonction publique hormis les trois secteurs prioritaires (Education, Police, Justice)
  • une revue des missions chargée d'accompagner ces réductions !
  • une réforme territoriale dévastatrice pour les collectivités et qui risque de casser le service public de proximité.

En 2015 c'est :

  • 7,7 milliards d'économies pour l'Etat
  • 9,6 milliards d'économies pour la protection sociale
  • 3,7 milliards d'économies pour les collectivités locales !

Ajoutez à cela la réforme de la Santé voulue par Marisol Touraine qui aggrave et amplifie la loi HPST !

En 2015, c'est toujours 60 milliards d'euros de fraude fiscale que le gouvernement se garde bien de combattre !!

C'est une véritable casse programmée de l'action publique qui se prépare.

Les usagers n'y trouveront certainement pas leur compte !

Nous ne pouvons rester sans broncher, l'arme au pied.

Solidaires, avec la CGT, la FSU et la FAFPT, vous appelle à vous mobiliser et à vous rassembler le mardi 18 novembre :

  • à Paris de 12 h à 14h devant l'Assemblée nationale.
  • partout en France devant les Préfectures aux heures décidées par les intersyndicales locales.

Faisons converger les luttes qui s'enclenchent d'ores et déjà dans de nombreux secteurs (la Santé mobilisée ce jour là avec la Convergence des Hôpitaux en Lutte contre « l'Hôstérité », les Douanes qui, le 27, aussi se mobilisent …)

Cette journée d'action sera une étape de notre mobilisation.

Par le rapport de force que nous construirons ensemble, nous pourrons stopper cette casse infernale et faire aboutir nos légitimes revendications.

Source : http://www.solidaires.org/article49415.html


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Rassemblement devant l'Assemblée Nationale

Donner des perspectives à la Fonction publique

Lettre de la CGT fonction publique, de la FSU, de la FA-FP et de Solidaires Fonction publique

Nos organisations syndicales n'ont eu de cesse de réclamer collectivement une négociation annuelle sur les salaires. Ce que le gouvernement refuse toujours de valider.

Le gel des salaires des agents de la Fonction publique se poursuit. Le premier ministre vient de confirmer l'intention de le maintenir jusqu'en 2017.

La perte de pouvoir d'achat de tous les agents est considérable. Aujourd'hui, plus d'un million d'agents vivent avec des revenus équivalents au SMIC. La précarité est devenue exponentielle dans de nombreux secteurs et tout particulièrement sur le versant territorial.

En matière d'emploi, le bilan de ces dernières années et les perspectives sont tout aussi inquiétants. Certes trois secteurs (Education, Justice et Sécurité) sont déclarés prioritaires, ce qui reste une nécessité, mais ce renforcement ne peut se faire au détriment de tous les autres.

Les inquiétudes sont grandes également face aux projets en cours : réforme de l'Etat, revue des missions, ré-organisation territoriale, projet de loi santé... Pour réussir et être utiles à la société, les réformes ne peuvent pas avoir pour objectif central la recherche de réduction de coûts mais répondre aux besoins de la population et à l'amélioration nécessaire des conditions de travail des agents.

Cette situation ne peut pas durer.

Nos organisations syndicales, UGFF-CGT, Solidaires, FSU et FA-FP ont interpellé le président de la République en lui demandant de donner une toute autre perspective à la fonction publique et à ses agents. (voir lettre ci-dessous)

Au moment où sont discutés les projets de loi de finance PLFSS pour 2015, elles demandent urgemment une rencontre avec le président de la commission des finances de l'Assemblée Nationale. Elles appellent le 18 novembre les personnels à des rassemblements à Paris devant l'Assemblée Nationale et le même jour partout sur le territoire.

Nos organisations syndicales entendent poursuivre l'action, si aucune réponse ne leur était apportée, dès le début 2015, dans le cadre unitaire le plus large.


Monsieur le Président de la République,

Les agents de la fonction publique souhaitent, par cette lettre ouverte, vous faire part de leur inquiétude et de leur colère face à la politique que vous menez sur les services publics.

Confrontés à des politiques publiques (RGPP, réforme territoriale, loi HPST...) qui ont conduit à la suppression de plus de 150 000 emplois, victimes d'un gel du point d'indice initié dès le mois de juillet 2010, les personnels attendaient des perspectives plus favorables pour celles et ceux qui, chaque jour, agissent avec une grande conscience professionnelle qu'ils dépendent de l'Etat, de la territoriale ou de l'hospitalière.

Où en sommes-nous aujourd'hui ?

Le gel des salaires s'est poursuivi et le Premier ministre confirme l'intention de le maintenir jusqu'en 2017. La non revalorisation de la valeur du point d'indice sur une période aussi longue est un fait sans précédent.

Comment accepter que cette valeur ait décroché de l'inflation de 14% depuis le 1er janvier 2000 ?

Nos organisations syndicales n'ont eu de cesse de réclamer une négociation urgente pour mettre fin à cette situation.

Aujourd'hui, plus d'un million d'agents vivent avec des revenus équivalents au SMIC, voire en dessous pour celles et ceux qui sont à temps partiel imposé. La précarité est devenue exponentielle dans de nombreux secteurs et tout particulièrement dans le versant territorial.

Cela ne peut pas durer.

En matière d'emploi, le bilan de ces dernières années et les perspectives sont tout aussi inquiétants. Certes trois secteurs sont déclarés prioritaires, l'Education, la sécurité et la justice. Cela reste une nécessité. Cependant nous ne pouvons admettre que ce renforcement se fasse au détriment de tous les autres secteurs.
Pour la plupart des agents ce choix est totalement incompris et inacceptable.

Ces restrictions d'emplois ont des conséquences néfastes sur la qualité des services rendus aux usagers et sur les conditions de travail des personnels : perte de repère quant aux missions, souffrance au travail, désorganisation de services... Les effets sont similaires dans la fonction publique territoriale et hospitalière.

L'objectif de 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017 dans le projet de loi de finances et dans celui de la sécurité sociale, se fait en grande partie au détriment des salariés, particulièrement des agents de la fonction publique, et des retraités.

La Fonction publique connaît bien la nécessité de réforme car s'il y a bien un secteur qui, au fil du temps, s'est fortement modernisé, adapté, c'est bien celui des services publics afin de toujours répondre mieux aux besoins de la population. Qu'ils s'agissent des missions exercées directement par l'Etat, les collectivités locales ou l'hôpital public, ils ne se sont jamais autant transformés.

Adaptation du service public à l'évolution de notre société souvent remarquable qui est à mettre essentiellement à l'actif de ses agents. Mais, les réformes pour réussir et être utiles à la société ne peuvent pas avoir pour objectif central la recherche de réduction de coûts. Or, les inquiétudes sont grandes aujourd'hui face aux projets en cours : réforme de l'Etat, revue des missions publiques, réorganisation territoriale, projet de loi santé...

Nous réaffirmons que le modèle social de notre pays est un facteur de cohésion sociale et de solidarité. C'est aussi un outil de lutte contre les inégalités. Ce sont bien ces enjeux qui doivent être le moteur des réformes à conduire. La dépense publique est en réalité autant d'investissements pour notre pays. Et derrière ces investissements, il y a des services publics, des femmes et des hommes qui les servent chaque jour avec un grand engagement.

Pour assurer ces financements, une véritable réforme fiscale basée sur davantage de justice sociale, symbolisée par l'impôt progressif sur le revenu, est indispensable. Il est nécessaire également d'assurer la lutte contre la fraude fiscale qui s'élève aujourd'hui à 60 milliards d'euros.

Les aides aux entreprises, sans contrôles ni conditionnalités notamment en terme d'emplois, ne produisent aucunement les résultats nécessaires. En revanche, elles exigent un effort qui pèse essentiellement sur les actifs et les retraités.
Il est temps de cesser cette politique qui en outre porte en germe le désintérêt de l'action politique. Il est urgent désormais d'entendre la nécessité de justice sociale, d'égalité et de solidarité.

Nous espérons, Monsieur le Président de la République, que vous porterez une attention particulière à la demande des agents de la Fonction publique et que vous apporterez une réponse favorable à leurs attentes.

Nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'assurance de notre très haute considération.

  • Pour la FSU - Bernadette Groison
  • Pour la CGT Fonction Publique - Jean-Marc Canon
  • Pour Solidaires Fonction Publique - Denis Turbet-Delof
  • Pour la FA-FP - Bruno Collignon

Source : http://www.convergence-sp.org/spip.php?articl...


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Le 18 novembre, toutes et tous en grève !

CGT Finances publiques Paris

Ils veulent faire encore pire ! On ne doit pas les laisser faire !

Nous subissons depuis des années les suppressions d'emplois à la DGFIP et la diminution de nos moyens. Cette année encore le Comité Technique de Réseau (DG) qui va se réunir dans les prochains jours décrètera plus de 2 000 nouvelles suppressions d'emplois. Ce sera pour la DRFIP Paris 150, 200, voire plus de suppressions d'emplois supplémentaires (nous ne connaissons pas encore la répartition départementale).

La démarche stratégique est en marche et les plans d'austérité se succèdent. Pour Paris, ce sont :

  • des incessantes restructurations-réorganisations avec à la clé plus de polyvalence et une perte croissante de technicité.
  • des fusions : dès qu'un service ne peut plus fonctionner faute de moyens humains, il est regroupé avec un autre.
  • des missions qui sont de plus en plus difficiles à exécuter, voire laissées à l'abandon faute de personnel et dans le cadre de la priorisation des tâches.
  • de nouvelles mesures de fermeture au public vont ouvrir la voie à la déréglementation des droits notamment en matière d'horaires variables et vont, de fait, organiser un recul de la mission de service public. Ces mesures seront accompagnées de la fusion programmée des SIP et des SIE sur Paris.

L'administration, à coup de suppressions d'emplois, est à l'origine du mal être des agents. Nous comprenons donc leurs interrogations sur les horaires d'ouverture. L'administration doit y répondre par l'arrêt des suppressions d'emplois et des recrutements à la hauteur !

  • des services laissés sans directive face aux tâches quotidiennes.
  • des brigades qui disparaissent ou qui sont dépeuplées.
  • des centaines de vacances d'emplois qui font peser sur tous les collègues des charges de travail de plus en plus importantes.
  • des postes gelés pour répartir la pénurie au mépris des règles de mutations (exemple : dernières mutations locales B et C).

IL FAUT AGIR ! Dans le contexte actuel, nous devons collectivement refuser cette politique destructrice de nos droits, de nos services, de nos missions, du service public. Pour la CGT Finances Publiques et FO DGFIP il s'agit aujourd'hui de construire la mobilisation pour imposer la satisfaction de nos revendications.

Toutes et tous en greve le 18 novembre !

Pour le retrait du Pacte de responsabilité, la défense du service public et l'arrêt de la démarche stratégique avec ses restructurations incessantes Pour le développement d'une protection sociale couvrant tous les besoins Pour le déblocage de la valeur du point d'indice et l'augmentation des salaires Contre tout recul sur nos règles de gestion et nos droits statutaires Pour l'arrêt des suppressions d'emplois Pour la création des emplois nécessaires au bon fonctionnement des services, à la réalisation de l'ensemble de nos missions dans de bonnes conditions de travail.

RASSEMBLEMENT DEVANT BERCY A 10H00 VENEZ NOMBREUSES ET NOMBREUX !

Source : http://cgtparis.fr/Le-18-novembre-toutes-et-t...


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Ils veulent faire encore pire ! On ne doit pas les laisser faire !

Le 18 novembre tous en grève !

Dans le tract ci joint, toutes les raisons de faire grève pour imposer d'autres choix à la DGFIP :

  • Contre les politiques d'austérité et la liquidation des services publics ;
  • Pour le retrait du pacte de responsabilité et l'arrêt de la démarche stratégique ;
  • Pour le développement d'une protection sociale couvrant tous les besoins ;
  • Pour le déblocage du point d'indice et l'augmentation des salaires ;
  • Contre tout recul sur nos règles de gestion et nos droits statutaires ;
  • Pour l'arrêt des suppressions des emplois ;
  • Pour la création des emplois nécessaires au bon fonctionnement des services et à de bonnes conditions de vie au travail.

Source : http://www.financespubliques.cgt.fr/spip.php?...


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A Pôle Emploi : toutes et tous en grève

Fédération Solidaires SUD Emploi

Le 18 novembre prochain, les députés discuteront à l'Assemblé Nationale de nouvelles restrictions budgétaires. C'est ce jour qu'ont choisi 4 Organisations Syndicales de la Fonction Publique , CGT, FA-FPT, FSU et SOLIDAIRES pour appeler à manifester dans la rue pour protester contre ce budget d'austérité.

A Pôle Emploi la CGT et la Fédération Solidaires Sud Emploi relaient cette mobilisation et appellent l'ensemble des personnels à se mettre en grève le 18 novembre.

Les restrictions annoncées pour les trois années qui viennent s'inscrivent dans une même logique : poursuite du blocage des salaires, nouvelles baisses des effectifs et des services rendus à la population. Et, de plus, faute de respect des règles européennes dans la tenue du déficit, c'est un vaste programme de réformes auquel le gouvernement veut s'attaquer ensuite sous l'oeil attentif de Bruxelles : régime d'assurance chômage et baisse d'indemnisation des chômeurs et chômeuses, baisse des droits de représentation et de défense des salarié-es dans les entreprises, extension du travail de nuit et du dimanche...

A Pôle Emploi nous sommes concernés au premier chef par ces restrictions budgétaires, ces baisses de protection sociale, cette remise en cause de nos droits sociaux. Bien sûr les agents publics vont payer le prix fort avec notamment le maintien du gel des salaires et des déroulements de carrière. Mais l'ensemble des salariés de droit privé seront directement impactés : on le voit déjà avec l'enveloppe budgétaire ridicule consacrée à la classification des emplois. De plus, les mesures de restrictions de droits, de rétorsions, de contrôles exacerbés, voire de coercition qu'on nous demande de mettre en œuvre à l'encontre des chômeurs ne peuvent qu'avoir des répercussions négatives en retour sur nos conditions de travail. On commence à peine à en avoir un aperçu avec le déploiement des mesures régressives de la convention d'assurance chômage 2014 qui n'a pas produit encore tous ses effets délétères. La prochaine étape sera la nouvelle convention tripartite Etat/Unedic/Pole Emploi en cours de discussion.

La convergence des personnels, des associations d'usagers et des syndicats progressistes de la Fonction publique est un premier pas pour une mobilisation d'ampleur contre l'austérité gouvernementale, contre les politiques européennes, guidées par la volonté de satisfaire les seules exigences des sphères financières.

A Pôle Emploi , avec la CGT , la Fédération Solidaires Sud Emploi appelle à la grève le 18 novembre et invite tous les salariés de notre établissement public à rejoindre les rassemblements à l'appel des syndicats de la Fonction publique.

Fédération Solidaires SUD EMPLOI

Tél : 01 58 10 45 31 / courriel : syndexicat.sud@pole-emexploi.fr / site : http://www.sudemploi.org/

Source : liste de diffusion CIP-IDF, reçu le 15 novembre 00h