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samedi 6 décembre 2014 à 14h

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Manifestation à Paris pour la justice sociale,

contre le chômage et la précarité

Si ce n'est pas nous, alors qui ?
Si ce n'est pas maintenant, alors quand ?

Le samedi 6 décembre 2014 aura lieu la 12e édition de la manifestation contre le chômage et la précarité et pour la justice sociale.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la situation des chômeurs, des précaires, des salariés et de la majorité de la population est loin de s'améliorer, bien au contraire. Chaque mois, de plus en plus de chômeurs, malgré l'explosion des radiations, des mesures contraignantes dont le but est de renforcer et multiplier les contrôles.

Une nouvelle convention d'assurance chômage défavorable aux chômeurs ; une allocation dont le plafond baisse de 57, 4 % à 57 % des derniers salaires ; des droits rechargeables, dont la mise en œuvre encore floue laisse craindre une pérennisation de la précarité. En effet, dans la conjoncture actuelle qui espère encore un CDI à temps plein ? Au-delà des chômeurs, les salariés voient leur revenu remis en cause, y compris le SMIC, et leurs conditions de travail dégradées, avec des attaques sans précédent contre les 35 h. et les seuils sociaux.

Stigmatiser et culpabiliser les victimes du choix des profits contre les hommes et les femmes et n'offrir comme avenir à la jeunesse que le chômage et la précarité !.

Ce sont les victimes qui sont montrées du doigt !!!

Favoriser encore et toujours le Medef, les actionnaires et les financiers, à coups de pacte de responsabilité, d'exonérations, de remises sur les cotisations sociales… Voilà la politique que nous subissons aujourd'hui ! Eux, ils s'organisent et se défendent, et comme rien ne leur suffit jamais, ils attaquent pour en avoir toujours plus, d'argent, de pouvoir… Et nous qui avons l'immense force du nombre, on pense trop souvent que c'est comme ça, que l'on n'y peut rien, que ça ne changera jamais… Les pôle-emploi, les CAF et tous les « guichets » publics sont de plus en plus éloignés des centres villes, au fond de zones industrielles et commerciales, avec les problèmes de transports et de déplacements que cela génère. Cela aussi conduit à l'isolement des chômeurs et les privent un peu plus des quelque droits qui leur restent. Bientôt le centre d'appel et de contact pour les chômeurs, le 39 49 ne serait plus accessible, gratuitement, dans les agences comme c'est le cas aujourd'hui, il sera joignable mais à partir de son propre téléphone donc de façon payante : encore un droit de moins et une difficulté de plus !

Les attaques contre les chômeurs sont des attaques contre toutes et tous, nous vous appelons solennellement à participer nombreux à la manifestation contre le chômage et la précarité et pour la justice sociale, le samedi 6 décembre 2014, à 14 H, Place de Stalingrad à Paris.

  • Un emploi correctement rémunéré, librement choisi, socialement utile
  • L'indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité avec le SMIC réévalué comme référence.
  • L'arrêt des contrôles et des sanctions contre les chômeurs et précaires.
  • La gratuité des transports publics pour les chômeurs, les précaires et leurs familles.
  • L'application du droit au logement pour toutes et tous

Tous ensemble chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires,... avec ou sans papiers

Pour nos droits !

A l'appel de

AC !, APEIS, MNCP et CGT-Chômeurs

Avec le soutien de

ACTU CHOMAGE, Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF), ATTAC, CGT Spectacle, CNT-Solidarité Ouvrière, Coordination des Intermittents et Précaire (CIP-Idf), Droit au Logement (DAL), Droits devant !!, Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Fondation Copernic, Marches européennes, SNU Pôle-emploi, SUD Pôle-emploi, Union syndicale Solidaires

et de : Les Alternatifs, Alternative Libertaire, Collectif Roosevelt, Ensemble !, Parti Communiste Français (PCF), Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti de Gauche (PG), Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA)

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/35224
Source : http://www.cip-idf.org/article.php3?id_articl...
Source : http://www.solidaires.org/article49231.html


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Manifestation nationale des chômeurs et précaires

pour l'emploi, contre le chômage et la précarité

à l'appel des 4 organisations de chômeurs (AC, APEIS, CGT Chômeurs, MNCP)

La nouvelle convention d'assurance chômage issue de l'accord du 22 mars 2014, et signée de façon déloyale par le patronat et certaines organisations syndicales, fait aujourd'hui l'objet de recours juridiques au TGI de Paris (30 septembre) et devant le conseil d'état.

Cette convention, agréée par le gouvernement, abaisse les droits de tous les demandeurs d'emploi, qu'ils soient, chômeurs indemnisés, travailleurs précaires, intérimaires, ou intermittents du spectacle.

La CGT n'a pas signé cette convention et mettra toute ces forces dans la bataille pour obtenir une nouvelle convention qui permette l'obtention de droits nouveaux pour tous les demandeurs d'emploi.

Les millions de privés d'emploi et précaires que nous sommes, n'aspirent qu'à une chose : vivre décemment de leur emploi et de leur salaire, mais gouvernement et patronat ne font rien pour favoriser l'emploi :

  • Pas de plan de financement du développement industriel et de l'emploi.
  • Pas de droits nouveaux d'intervention pour les salariés sur les choix de gestion des entreprises.
  • Pas de droits suspensifs pour le CE sur les plans de suppressions d'emplois.
  • Pas de plan de maintien et de développement des services publics.
  • Pas de mise en place de la sécurité sociale professionnelle.
  • Pas de création d'emplois stables et durables.
  • Pas d'augmentation du SMIC, des salaires, des pensions, des indemnités chômage, pas de reconnaissance des qualifications.

...

Source : http://cgtparis.fr/Contre-le-chomage-et-la-pr...


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Manifestation des Chômeurs et Précaires

Comme chaque année, les organisations de Chômeurs et Précaires appellent à manifester. Ce sera le 6 décembre à Paris. Rendez-vous à 14h00, Place Stalingrad.

Tous les ans à la même époque, les organisations de Chômeurs et Précaires se rappellent aux bons souvenirs de nos dirigeants et des médias.

Eh oui, le chômage on en parle beaucoup, mais les chômeurs, on ne les voit pas !

Voilà une occasion (rare) de se faire entendre en cette période où les nantis de tout poil pleurnichent : les patrons, les professions réglementées (notaires, huissiers, avocats…), les médecins, les gros agriculteurs… sans oublier tous les autres : les routiers, les anti-barrage, les anti-aéroport, les anti-tout…

L'augmentation du chômage est devenue une habitude. Chaque mois, 10.000, 20.000 ou 30.000 personnes perdent leur boulot dans une indifférence quasi-générale. On en parle le soir de la publication des chiffres et le lendemain, l'affaire est oubliée.

Pourtant, les indicateurs témoignent d'une dégradation préoccupante, notamment par l'accroissement du chômage de longue durée et celui des plus de 50 ans ( 11% en un an), ces fameux seniors qui paient au prix fort une "crise" qui n'impacte pas tout le monde. Loin s'en faut !

Les prix de l'immobilier et le nombre de voitures de standing vendues chaque année attestent (entre autres indicateurs) que la conjoncture n'est pas aussi catastrophique qu'on veut nous le faire croire.

Dans la France de 2014, la vie est douce pour ceux qui roulent en Audi, partent en vacances aux Seychelles et s'offrent un appartement à la montagne ou une villa en bord de mer. Ils sont très nombreux !

Elle est nettement plus rude pour ceux qui se contentent d'une vieille Peugeot (quand ils en ont encore les moyens), prennent quelques jours de vacances chez Mémé (quand ils en ont une) et sont étranglés par la hausse des loyers et des flux de première nécessité (comme l'électricité).

Ainsi va la France de Hollande… droit dans le mur !

Ne nous y trompons pas ! Le système favorise et encourage ceux qui achètent à l'étranger (grosses berlines allemandes, vacances sous les tropiques, produits high-tech…), qui "optimisent" leurs placements (à Bruxelles, à Londres, au Luxembourg ou plus loin encore) et ne cessent de se plaindre d'être "trop taxés" et "trop imposés" par le gouvernement. Les malheureux !

Ce sont eux les "Bons Français" qui font tourner l'économie… mondialisée. Pas les pauvres qui conservent leurs maigres avoirs à la Caisse d'Épargne et passent leurs vacances en France.

On marche sur la tête !

Donc, vous les sans-grades de la République, vous les "Mauvais Français" qui n'avez pas les moyens d'acheter une Audi, un home cinéma coréen, des vacances aux Maldives ou à Dubaï, sortez de vos pénates, exprimez votre indignation !

Rendez-vous le [6] décembre 2014 à 14h00, Place Stalingrad à Paris.

Actuchomage.org

Source : http://www.actuchomage.org/2014111226362/Mobi...


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Manifestation pour le droit au travail le 6 décembre ! -

CGT

Communiqué commun de la CGT et du Comité National des Privés d'Emploi CGT

Les choix patronaux et gouvernementaux favorisent et augmentent les licenciements, les délocalisations, le dumping social, la précarité. Le crédo patronal et gouvernemental est de réduire inlassablement le coût du travail pour augmenter le capital et enrichir les seuls actionnaires.

Pour faire diminuer le nombre de chômeurs, le gouvernement a fait croire à l'opinion qu'il suffisait d'assister durablement les entreprises en leur faisant des cadeaux fiscaux et en diminuant les cotisations sociales pour qu'elles créent de l'emploi. Le résultat aujourd'hui est désastreux ! Le chômage de masse et de longue durée explose et s'installe durablement. Dès lors, le vieux couplet stigmatisant des chômeurs fraudeurs, profiteurs revient dans le discours politique et donne du crédit aux thèses extrémistes et populistes à l'œuvre actuellement dans notre pays.

Les salariés privés d'emploi ou précaires sont les premières victimes de ces choix et payent une crise dont ils ne sont en rien responsables. Depuis des années, les gouvernements successifs nous promettent une inversion possible de la courbe du chômage. Mais chaque mois le constat se répète, le chômage de masse poursuit son ascension. Il pèse lourdement dans la vie de chaque famille, pour le développement du pays et le vivre ensemble.

La nouvelle convention assurance chômage révise à la baisse une fois de plus le droit des chômeurs, des intérimaires et des intermittents. Les premiers effets néfastes des droits rechargeables ne se sont pas faits attendre. Avec le nouveau calcul de leur indemnisation, certaines personnes perdent des sommes considérables sur leur revenu de remplacement par rapport à l'ancien mode de calcul qui n'était déjà pas en faveur des privés d'emploi.

Enfin, malgré les annonces faites lors de la Conférence nationale contre la pauvreté de 2012, notamment l'augmentation de 10% d'ici 2017 du niveau du RSA et un objectif de diminuer les non recours au RSA Activité, les annonces du gouvernement de dispositif remplaçant prime pour l'emploi et RSA Activité pour les travailleurs pauvres se fera à budget constant.

Dans ce contexte, notre appel à l'action avec trois associations de chômeurs, pour le droit au travail, l'accès à l'emploi, contre la précarité concerne tous les salariés de tous les secteurs d'activité et toutes les générations.

C'est pourquoi, CGT et le Comité National des privés d'emploi appellent chaque salarié, chaque chômeur, chaque retraité à participer très nombreux la manifestation nationale le samedi 6 décembre à 14h00, Place Stalingrad à Paris.

Source : http://cgtparis.fr/Manifestation-pour-le-droi...


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Contre le scandale de la baisse des droits à l'assurance chômage, la lutte continue !

La Cgt Spectacle

A l'appel notamment de la Cip-Idf et de la Cgt Spectacle, le hall de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) est occupé.

Nous revendiquons des droits nouveaux pour toutes celles et tous ceux qui sont privés d'emploi, une véritable sécurité sociale professionnelle qui empêche le chantage au chômage contre ceux qui sont privés d'emploi comme ceux qui pourraient l'être : plutôt que les baisses de droits instaurées par l'ANI du 22 mars (10% en moyenne selon l'Unedic), nous voulons un service public de l'emploi pour toutes et tous !

Concernant les artistes et techniciens intermittents du spectacle, la concertation patine du fait du refus des organisations signataires de l'ANI d'envisager tout avenant avant 2016, dans un contexte où le gouvernement s'en est violemment pris aux droits des privés d'emploi.

Le premier ministre avait pourtant annoncé en juin une concertation qui prendrait en compte nos propositions ...

Le délibéré du jugement au TGI, à qui la Cgt demande l'annulation de l'ANI pour déloyauté des négociations, devrait être prononcé le 18 juin.

Mobilisons-nous largement pour une autre politique, de nouveaux droits, notamment le 6 décembre pour l'emploi et les droits de ceux qui en sont privé.

À PARIS : RDV À 14H LE 6 DÉCEMBRE PLACE STALINGRAD

Source : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article14366...


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Travail, salaire, dignité au coeur

Manifestation nationale des chômeurs et précaires

CGT

La CGT et son comité national des Privés d'emploi appellent actifs et chômeurs, salariés précaires à participer à la manifestation nationale du 6 décembre (14:00 place Stalingrad à Paris) pour l'emploi, contre le chômage et la précarité.

Cette année, cette manifestation se déroule dans le contexte particulier d'une nouvelle convention d'assurance chômagequi rogne un peu plus les droits des chômeurs indemnisés, des intérimaires, des intermittents du spectacle. Par ailleurs, alors que notre pays continue à détruire des emplois, le Medef et le gouvernement veulent renforcer les contrôle des chômeurs. Pourtant, le service public de l'emploi est incapable de proposer plus 190 000 offres pour quelques 5 millions de chômeurs. Saturées de dossiers et en sous effectifs chronique, les antennes de Pôle Emploi sont incapables d'apporter des réponses de qualité pour remettre les privés d'emploi au travail. De l'autre coté du guichet, la souffrance des personnels de Pôle Emploi confrontés à cette demande croissante, est de plus en plus prégnante.

Ensemble, exigeons :

  • un emploi stable, choisi et correctement rémunéré ;
  • un véritable service public de l'emploi ;
  • le financement de formations qualifiantes ;
  • le Smic à 1700 euros ;
  • l'indemnisation à 80% de l'ancien salaire, ou , à défaut de 80% du Smic tel que le revendique la CGT à 1700 euros.

Source : http://www.cgt-educaction94.org/spip.php?arti...


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AVS-AESH en lutte contre la précarité !

Le 1er octobre dernier un rassemblement devant le rectorat avait permis d'obtenir la signature des contrats qui ne l'étaient pas et une avance sur salaire pour celles et ceux qui n'avaient pas été payés. Mardi 25 novembre 2014 nous étions en grève. Nous nous sommes réunis en assemblée générale. Nous avons occupé la MASESH puis manifesté jusqu'au rectorat. Cette journée de grève nationale est une première et nous ne comptons pas nous arrêter là !

  • Parce que la galère demeure la règle et que la création du statut d'accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) n'améliore rien (baisse du volume horaire annuel donc du salaire, formations non rémunérées, étalement du calcul de la paie de 36 à 39 semaines). Parce que 60% des contrats signés restent des contrats uniques d'insertion (CUI de droit privé, payés 20 h pour 24 h de travail effectif soit 670 €/ mois !, renouvelable seulement pour 2 ans maximum).
  • Parce que l'annonce de la CDIsation n'est que de la poudre aux yeux : cette CDIsation n'offre aucune garantie d'augmentation de salaire, de réelle formation, d'amélioration des conditions de travail. Il faut avoir cumulé 6 ans de contrat AED (et souvent 2 de CUI en plus) et elle ne concerne à l'heure actuelle que 4% des AVS parisien.ne.s. La CDIsation n'a rien à voir avec la titularisation, elle ne fait que pérenniser la précarité au lieu d'une création d'un réel statut.
  • Parce que, sans statut, nous sommes dans la précarité la plus totale. Que bon nombre d'entre nous sont confronté.e.s à des difficultés pour se loger, se nourrir, se soigner, payer ses factures et ses titre de transport, etc. De plus, certain.e.s rencontrent des problèmes pour le renouvellement de leur titre de séjour car leurs contrats ne sont jamais signés à temps.

Nous revendiquons :

  • La titularisation de tous Les AVS en poste, sans condition de concours ni de nationalité.
  • La possibilité de signer des contrats à temps plein.
  • La revalorisation de nos salaires : un vrai salaire qui n'oblige pas à cumuler d'autres emplois.
  • La création d'un statut réel et reconnu des AVS, correspondant aux conditions d'exercices dans La fonction publique, et son inclusion pleine et entière au sein des équipes pédagogiques !
  • parce que nous n'avons accès à aucune formation sérieuse ayant une réelle utilité et donnant accès à des équivalences en terme de diplôme. que Les formations Nous sont présentées comme « obligatoires » mais ont souvent lieu hors du temps de travail (par exemple le samedi) et ne nous sont pas rémunérées .

Nous revendiquons :

Une formation adaptée et rémunérée, qui aboutirait à l'obtention d'un diplôme d'état de niveau IV

  • Parce que nos conditions de travail sont de plus en plus dures : retards (voire absence) de paiement des salaires ou de remboursement de titres de transports, contrats non signés à temps, problèmes de renouvellement, mu- tations arbitraires, absence complète de légitimité au sein des équipes éducatives, problèmes de pauses, pressions, harcèlement, etc... Nous sommes de plus en plus amenés à prendre en charge les manquements du rectorat qui n'affecte pas le nombre d'AVS suffisant, ceci au détriment des élèves. Tous ces problèmes rythment notre quotidien et il n'y a aucune prise en compte des difficultés que nous rencontrons sur le terrain, seulement du mépris.
  • Parce que nous n'obtiendrons rien en étant isolé.e.s, chacun.e dans son établissement, mais qu'ensemble, tous et toutes uni.e.s dans la lutte et par la lutte nous pouvons gagner sur ces revendications et améliorer nos conditions de travail.
  • Parce qu'à l'éducation nationale nous ne sommes pas les seuls dans cette situation. Les contrats précaires se multiplient : assistants d'éducation, assis- tants pédagogiques, agents, techniciens, administratifs, profs non titulaires, auxiliaire de vie en faveur du personnel...
  • Pour continuer d'élaborer nos revendications, pour rompre l'isolement dans lequel nous sommes toutes et tous et pour préparer de nouvelles actions, nous appelons les AVS-AESH à une nouvelle

Rendez-vous :

Nous appelons également tous les AVS-AESH et les précaires de l'éducation nationale à participer à la manifestation contre le chômage et la précarité
le Samedi 06 décembre 2014 à 14 h
Place de la Rotonde, 75019 Paris, M° Stalingrad.

Nos luttes construisent nos droits !

Collectif AVS 75

collexectif.avexs75@yahoexo.fr
http://collectifavs75.blogspot.fr/
facebook : collectif-avs-75
SUD Éducation Paris, CNT

Source : message reçu le 3 décembre 00h


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Cortège "violences policières"

dans la manifestation chômeurs

A l'occasion de la manifestation annuelle des chômeurs et précaires, RV pour un cortège contre les violences policières (suite notamment à la mort de Rémi Fraisse).

Source : message reçu le 29 novembre 16h


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Le 6 decembre :

toutes et tous ensemble pour les droits des privés d'emploi !

CGT Spectacle

Dans le contexte des déclarations des messieurs Valls, Macron et Rebsamen, remettant en cause des droits des chômeurs, nous appelons à participer massivement à la manifestation pour l'emploi et les droits de celles et ceux qui en sont privés.

A Paris : rdv le 6 décembre à 14h place Stalingrad (m° Jaurès ou Stalingrad).

Alors que François Hollande annonçait début 2014 « qu'on ne baisse pas les droits des chômeurs » en période de crise, l'ANI du 22 mars sur l'assurance chômage et la convention Unedic du 14 mai qui en découle s'attaquent à la protection sociale (déjà bien imparfaite puisque moins d'un chômeur sur deux est indemnisé).

La menace du chômage pèse sur tous les salariés dans l'emploi ou non, de moins en mois stable, de plus en plus précaire : les catégories de chômeurs, en plus forte augmentation, sont celles des chômeurs de longue durée, et particulièrement celles des travailleurs et travailleuse qui alternent chômage et « petits boulots ». Les femmes sont particulièrement touchées par la précarité.

Rendons le chômage moins « rentable » pour le patronat, en défendant de nouveaux droits pour toutes et tous à travers une véritable sécurité sociale professionnelle et l'égalité des salaires entre femmes et hommes !

Les artistes et les technicien-ne-s intermittent-e-s du spectacle sont violemment concernés par la nouvelle convention Unedic et la réglementation de Pôle Emploi qui durcit encore les règles (sans même en avertir les signataires !).

Les heures effectuées en résidence d'artiste ne sont pas comptabilisées au régime général.

Des droits ouverts au régime général y bloquent un-e intermittent-e tant que ces droits, souvent très faibles, ne sont pas épuisés, MÊME SI il/elle a travaillé plus de 507 heures en annexes 8 et 10.

Dans certains cas des contrats effectués au régime général, par exemple un dernier contrat comme formateur, peuvent faire basculer au régime général un-e intermittent-e.

Nous avons interpelé l'Unedic, Pôle Emploi, les ministres concernés pour que cette

interprétation restrictive cesse.

Par ailleurs, l'issue de la concertation du trio - Gille, Archambault et Combrexelle - est menacée par les refus des signataires d'envisager un avenant modifiant la convention, et le peu d'empressement des ministres à mettre en œuvre les engagement du Premier Ministre, que ce soit sur l'emploi, l'accès à la protection sociale, les dysfonctionnements de Pôle Emploi ou la remise à plat du régime.

Chômage, précarité, non respect des engagements, nous sommes toutes et tous concernés le 6 décembre !

  • Une AG unitaire pour faire le point sur le dossier « assurance chômage » est prévue à Paris le 8 décembre à 19h au Théâtre de la Colline - 15 Rue Malte Brun, 75020 Paris, M° Gambetta.
  • Nous appellerons à une journée d'actions et de grève le jeudi 18 décembre à l'occasion du prochain Conseil National des Professions du Spectacle, présidé par la ministre de la Culture et de la Communication, pour une autre politique sociale et culturelle !

Source : http://cgtparis.fr/LE-6-DECEMBRE-TOUTES-ET-TO...


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Précarité, chômage

Reprenons le chemin de la lutte Imposons un véritable rapport de force !

CNT

Manif précarité le 6 décembre à Paris, rendez vous à 14h00 place Stalingrad !

La dernière convention de l'assurance chômage (Unédic) signée en mars 2014, rogne encore un peu plus le droit des travailleurs privés d'emplois. Le gouvernement et le Medef veulent aller encore plus loin dans la précarisation des travailleurs.

Convention Unédic : ce que prévoit le nouvel accord...

Un rallongement du délai de carence. Dans le cadre d'une rupture de contrat de travail, le délai de carence passe de 75 jours maximum, avant que le salarié puisse toucher ses premières indemnités, à 180 jours avec la nouvelle convention !

Les « droits rechargeables » des chô-meurs. Prévus par l'Accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, cette « nouveauté » est une énorme escroquerie, malgré les efforts des signataires de l'accord pour le présenter sous un aspect séduisant, mettant, notamment en avant le rallongement de la période d'indemnisation.

Accepter tout contrat pour « recharger » ses droits !


Observons ce qui se passe concrètement : un salarié vient de perdre son emploi. Ses droits à l'indemnisation sont donc calculés par rapport à sa dernière période de travail. Avant la fin de sa période d'indemnisation, il reprend une activité en CDD. L'indemnité est suspendue pendant ce contrat. À la fin de ce CDD, l'indemnité est reprise au même taux qu'avant, c'est‑à‑dire calculée sur l'ancienne activité, même si le CDD plus récent était plus avantageux en terme de salaire. Les droits ouverts avec ce CDD sont « collés » à la fin de la première période d'indemnisation, une fois que les premiers droits sont écoulés à la condition que l'ensemble des contrats effectués atteigne au moins 150 heures.

Le Medef est content : le précaire privé d'emploi, dans l'angoisse de la fin de droit, va être amené à accepter n'importe quel contrat pour tenter de « recharger » ses droits, à des taux variables.
C'est une véritable régression ! Jusqu'à maintenant, les allocations se recalculaient lors des renouvellements de droits, en fonction de la période d'indemnisation la plus avantageuse !

Source : http://www.cnt-f.org/urp/actualites/313-preca...


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Lutte ouvrière

Samedi 6 décembre, les quatre organisations de chômeurs AC (Agir ensemble contre le chômage), APEIS (Association pour l'emploi, l'information et la solidarité), CGT-Chômeurs et MNCP (Mouvement national des chômeurs et précaires) appellent à manifester contre le chômage et la précarité qui ne cessent d'augmenter. Elles dénoncent aussi la dégradation de la situation des chômeurs : radiations fréquentes, installation des « guichets » destinés aux chômeurs dans des zones industrielles isolées, loin des centres-ville, projet de suppression de la gratuité du numéro d'appel 39 49 pour joindre Pôle emploi, etc.

Les attaques contre les chômeurs sont des attaques contre tous les travailleurs, car tous, y compris ceux qui ont encore un emploi, sont aujourd'hui sous la menace de devenir chômeurs. Cette manifestation est une occasion de dénoncer ces attaques ainsi que la politique du gouvernement, qui engraisse le patronat sous prétexte de favoriser l'emploi, mais ne fait rien pour lutter vraiment contre ce fléau qu'est le chômage de masse. Lutte Ouvrière appelle ses amis et sympathisants à y participer.

Samedi 6 décembre à 14 h à Paris, place Stalingrad (métro Stalingrad ou Jaurès).

Source : http://www.lutte-ouvriere-journal.org/index.p...