mercredi 11 juin 2014 (heure non définie)
lieu et heure d'une éventuelle manifestation à préciser
Cheminots : Appel unitaire à la grève !
https://paris.demosphere.net/rv/33964
A partir du 10 juin 2014, 19h00
Après les actions de grève du 13 juin et du 12 décembre 2013 ainsi que la puissante manifestation nationale unitaire du 22 mai dernier qui a vu plus de 22 000 cheminots envahir les rues de Paris afin d'exiger une autre réforme du système ferroviaire, le gouvernement et la direction de la SNCF font le choix de ne pas répondre aux légitimes revendications des cheminots.
Le gouvernement a repoussé au dernier moment la rencontre avec les organisations syndicales qui était initialement prévue le 4 juin, tout en annonçant une nouvelle rencontre le 12 juin 2014! Il s'agit pour lui de gagner du temps en tentant d'étouffer la mobilisation des cheminots!
La Fédération CGT des cheminots, dans l'unité revendique :
- Une réelle réunification du système ferroviaire public par une unicité économique, sociale et technique autour d'une entreprise publique intégrée : la SNCF.
- Le retour à la mutualisation des moyens de la production pour plus d'efficacité, de réactivité et une meilleure qualité du système ferroviaire.
- Que la dette du système soit placée dans une structure de défaisance pour ne plus peser sur les investissements nécessaires à la modernisation du réseau et au renouvellement du matériel qui doivent demeurer un bien public national ;
- La réhumanisation des gares et des trains ;
- Des conditions sociales de vie et de travail de haut niveau pour les cheminots.
Les Fédérations CGT et SUD-Rail appellent l'ensemble des cheminots de tous collèges et toutes fonctions à cesser le travail dans le cadre d'une grève reconductible par période de 24 heures à compter du Mardi 10 juin 2014, 19h00 afin d'obtenir des réponses favorables à nos revendications.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/33964
Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?breve1316
Grève reconductible des cheminots tous services.
Les Fédérations Syndicales de cheminots CGT - SUD-Rail, dépose un préavis de grève reconductible par période de 24 heures qui prendra effet à compter du mardi 10 juin 2014 à 19 heures.
Courrier adressé à Mr Pepy président de la SNCF.
Monsieur le Président,
Les Fédérations Syndicales CGT et SUD-Rail vous ont déposé, le 23 mai 2014, une Demande de Concertation Immédiate. Cette demande faisait largement référence à la réforme du système ferroviaire pour rappeler les revendications et propositions alternatives de nos organisations syndicales contenues dans la plateforme unitaire que nous vous communiquions en pièce jointe. Certes, ce dossier et le dialogue social y afférant est de la responsabilité du gouvernement français, mais au regard de la quantité et de la densité de la communication interne à l'entreprise visant à faire promotion de ce projet de loi, il apparaît comme une évidence que vous souhaitez en porter une partie non négligeable de la paternité. Face à cette attitude, il est naturel que vous soyez interpelé sur le sujet par nos Organisations Syndicales.
Cette DCI avait néanmoins, et c'est normal, un contenu revendicatif concernant des thèmes qui sont de votre responsabilité directe. Les organisations du travail et de la production en lien avec les restructurations imposées ainsi que les conditions de vie et de travail des cheminot-e-s, avec comme éléments centraux, la question de l'emploi et celle des salaires.
D'ailleurs, nous mettions en exergue dans la DCI les relations évidentes entre le projet de réforme gouvernemental et la politique menée dans l'entreprise.
Il y a une tendance forte à la SNCF à vouloir avancer au forceps et à mettre en place la réforme avant toute procédure parlementaire et validation du projet de loi. Sur la structuration de l'entreprise, ce sont les territoires de production de l'infra, l'isolement des agents de la DCF et des EIC. Sur les plans stratégiques et financiers, les projets « Excellence 2020 » et « Réseau 2020 » sont une préfiguration du projet de loi gouvernemental.
Sur le niveau stratégique, ces projets sont d'ailleurs inapplicables légalement car force est de constater, en l'état actuel des choses, que M. Rapoport n'a aucunement le droit d'inclure des cheminots de la SNCF dans un projet concernant RFF. C'est une répartition des compétences et des responsabilités incompatible avec l'organisation du système ferroviaire en vigueur à ce jour. Sur le plan financier, « Excellence 2020 » intègre 700M€ et 1,3 G€ d'économie de fonctionnement qui, après analyse, font ressortir que vous faites reposer sur la productivité des cheminot-e-s l'essentiel du désengagement de l'Etat, tant sur le coût de la dette de RFF, qui est pourtant de sa charge directe, que sur le financement des travaux nécessaires de rénovation du réseau, qui relève pourtant de sa responsabilité. L'aménagement du territoire comme la rénovation, la maintenance et le développement des infrastructures de transports sont, et doivent demeurer, à la charge de l'Etat, il s'agit d'un domaine stratégique pour la Nation.
La politique salariale, comme celle conduisant à la réduction massive d'emplois, s'inscrit dans cette démarche. Ce sont à la fois des orientations qui vont dans le sens d'un projet de réforme qui n'est pas financé, mais aussi dans celui des choix budgétaires du 1er Ministre qui détruisent les services publics avec les emplois afférents et assèchent financièrement les collectivités territoriales, dont les Régions, Autorités Organisatrices des Transports sur les TER et le Transilien.
Cette trajectoire organisationnelle et financière contenue dans le projet de réforme du système ferroviaire, et qui se traduit d'ores et déjà dans la stratégie d'entreprise, ne laisse augurer que des mesures inquiétantes sur les conditions sociales et de travail des cheminot-e-s.
Sur la CCN, l'attitude servile du gouvernement vis-à-vis du MEDEF ne permet pas d'entrer dans une telle négociation avec confiance avec un patronat ayant des velléités très libérales, comme peut en témoigner son comportement avec les cheminots des Entreprises Ferroviaires Privées de Fret ou chez Thello, les directions des filiales créées par la SNCF ont des conduites bien comparables par ailleurs. Sur le volet règlementation du travail, l'ensemble des discours internes à l'entreprise et externes, laissent entendre qu'il y a une volonté partagée au sein de l'UTP d'abaisser les normes en vigueur à la SNCF, ce qui est inacceptable. Sur le Statut, les discours sont rassurants mais, dans les faits, les droits statutaires des cheminot-e-s sont sans cesse attaquer.
Quelques exemples illustratifs :
- La réduction du taux T2 finançant notre régime spécial de protection sociale,
- Le traitement des prestations familiales,
- Le paiement des pensions de retraite et de réversion au trimestre à échoir,
- Les menaces faites sur les Facilités de Circulation et sur les Fonds de l'Action Sociale,
- La politique du logement conduite par les filiales de la SNCF qui ne visent qu'à éjecter les cheminots actifs et retraités du parc locatif des cheminot-e-s,
- Le niveau sans cesse croissant de recrutements hors statut au cadre permanent est un des éléments les plus dangereux quant à la pérennité de ce dernier.
A partir de ces quelques éléments, vous comprendrez que la crédibilité a des limites quand il est affirmé, du coté gouvernemental comme au sein de l'entreprise, que le statut des cheminot-e-s sera préservé.
Enfin, sur la question du fret ferroviaire, qui est totalement absente du projet gouvernemental, ce qui est déplorable, la direction de cette activité à la SNCF poursuit sa politique de casse et de destruction d'emplois alors que, sur le plan environnemental comme au niveau de la ré-industrialisation et de la relance économique de notre pays, l'entreprise publique SNCF devrait être exemplaire. Il est du devoir de la SNCF de maintenir une offre de transport ferroviaire sur l'ensemble du territoire et d'être très volontariste sur le report modal de la route vers le rail, notamment sur la messagerie ferroviaire.
Par conséquent, au regard de l'ensemble de ces éléments et de la responsabilité pleine et entière de l'entreprise pour répondre aux exigences exprimées par les cheminot-e-s, les Fédérations Syndicales de cheminots CGT - SUD-Rail, conformément à l'article L 2512-2 du Code du Travail, vous déposent un préavis de grève reconductible par période de 24 heures qui prendra effet à compter du mardi 10 juin 2014 à 19 heures.
Ce préavis couvre l'ensemble du personnel SNCF.
Dans le cadre de ce préavis, nous souhaitons aborder les sujets suivants :
è Un moratoire sur l'ensemble des réorganisations et restructurations qui impacte l'ensemble des services de l'entreprise. Il en va de même de toutes les démarches initiées visant à modifier le contenu des métiers et passant outre vos obligations de respecter le dictionnaire des filières.
è Une autre prise en compte de la sûreté et de la sécurité des voyageurs et des agents pour une ré-humanisation des gares et des trains, par l'arrêt de l'ensemble des projets remettant en question le nombre et les plages horaires d'ouverture des gares et guichets ainsi que de l'Equipement des trains Agent Seul.
è Une modification radicale de la politique menée à Fret SNCF en s'inspirant des préconisations de la Commission Economique du CCE dans le cadre de la procédure de droit d'alerte lancée par les élus de cette instance.
è Le maintien des services transverses au sein de la SNCF comme les services informatiques, la gestion des Prestations Familiales, les services médicaux et sociaux, la surveillance générale, les services RH, les achats, les services juridiques, etc.
è La rupture avec la production en mono-activité. Au contraire, nous demandons une mutualisation de l'ensemble des moyens humains et matériels au service de toutes les activités, c'est le seul gage de réelle intégration sociale et d'unicité que vous pouvez apporter aux cheminots.
è La remise en cause du budget 2014 :
1. Par une révision à la hausse des recrutements à statut, seul gage à donner aux cheminots sur la pérennité de celui-ci. C'est surtout le seul moyen d'offrir aux usagers Fret et voyageurs la qualité et la sécurité de service qui leur sont dues.
2. Par une réelle augmentation générale des salaires dans le cadre d'un rattrapage de l'écart cumulé depuis des années avec la hausse des prix, ainsi qu'une revalorisation des pensions et des réversions pour les cheminot-e-s retraité-e-s et leurs veufs, veuves.
Les Fédérations Syndicales de cheminots CGT et SUD-Rail restent disponibles pour engager des discussions sur l'ensemble des revendications citées dans ce préavis.
Si tel n'était pas le cas, vous porteriez l'entière responsabilité d'une situation conflictuelle à la SNCF.
Dans l'attente d'une réponse de votre part, nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de nos salutations respectueuses.
SNCF: Hausse des tarifs et baisse de la qualité
Le mardi 10 juin à partir de 19h00 les cheminot-es seront en grève pour s'opposer au projet de loi du gouvernement visant à l'éclatement de la SNCF !
Usagers et Cheminot-es paieront le prix fort
En 1997, le gouvernement décidait de couper en 2 le système ferroviaire par la création de RFF (Réseau Ferré de
France) chargé notamment des voies ferrées et de leur entretien. SUD-Rail a combattu et dénoncé ce choix, soutenu par tous les gouvernements et ministres des transports et dicté par la doctrine libérale vantant les mérites de la concurrence.
15 ans plus tard, le constat est là ! La concurrence au fret a fait chuter le trafic ferroviaire et multiplié les camions sur les routes. Le service public ferroviaire s'est détérioré au fil des années (trains en retard, supprimés, etc.). Le dramatique accident de Brétigny rappelle les dangers provoqués par la dégradation de l'état des infrastructures ferroviaires, notamment du réseau pas assez entretenu par RFF, et par la désorganisation du système ferroviaire.
Nous exigeons une SNCF intégrée
La commission européenne veut imposer par tous les moyens une libéralisation totale des chemins de fer en Europe sans tenir compte des ravages de sa politique libérale expérimentée sur le Fret (trafic quasiment divisé par 2 ; dette de plus de 3 milliards d'euros) ! Il aura fallu à la commission européenne « 4 paquets ferroviaires » pour supprimer des milliers d'emplois, désertifier des territoires, tuer le fret et reporter des marchandises sur les poids lourds alors même que des collectivités et des entreprises continuaient à demander le transport par rail ! A ce stade on ne parle plus d'environnement et d'intérêt général.
- La politique de casse du FRET initiée par l'Europe et les dirigeants de la SNCF a détruit l'emploi et le transport de marchandises par le rail, dégradé davantage l'environnement. Elle prouve que l'objectif de concurrence, vendu comme une nécessité, n'a pas permis le redressement du FRET bien au contraire, il l'a détruit !
- Poursuivre cette même politique pour le transport de voyageurs, conduira inévitablement à une diminution des services et à une augmentation du coût des transports !
(...)
Les cheminot-es seront en grève à partir du 10 juin pour porter l'exigence d'une entreprise « Une et Indivisible » capable de répondre aux enjeux de sécurité, de service public, de développement durable et d'aménagement du territoire.
Une autre réforme est possible !
Que celle imposée par le dogme libéral Européen rejeté par les Français-es lors des dernières élections !
Grève reconductible à partir du 10 juin 2014
Si nous ne bougeons pas maintenant, demain, une fois que la loi sera passée, c'en sera fini de la SNCF, du RH0077 et nos FC seront remises en cause.
Source : http://www.sudrailpse.org/site/greve-reconduc...
La GRÈVE reconductible à la SNCF à partir du Mardi 10 juin 2014... Voilà pourquoi !
Réforme ferroviaire : la provocation de trop qui met la grève reconductible à l'ordre du jour !
Après la manifestation massive des cheminots à Paris, qui a rassemblée plus de 22 000 cheminots contre la réforme ferroviaire, le gouvernement devait recevoir les 3 organisations syndicales CGT-Sud-UNSA pour écouter leurs propositions le 4 juin 2014.
Il est évident que le projet de loi Cuvillier/Pépy est totalement inacceptable, car il porte en lui la destruction de la SNCF, entreprise publique historique et structurante, et la casse des droits sociaux des cheminots, le tout pour préparer une privatisation généralisée du réseau ferré national à moyen terme.
Or, bien loin d'annoncer le retrait de ce projet de loi massivement rejeté par les cheminots, voir même son report, le gouvernement a affiché son mépris le plus total pour le corps cheminot en annulant purement et simplement le rendez-vous !
Cette nouvelle provocation du pouvoir est décidément celle de trop.
Voilà pourquoi, relayant les aspirations combatives de leurs bases, la fédération CGT des cheminots et Sud Rail ont déposé un préavis de grève nationale reconductible par tranche de 24h, à compter du mardi 10 juin prochain à 19h.
Après l'ANI, la hausse de la TVA, le "pacte de responsabilité", les attaques contre les intermittents, les hôpitaux, le gel du traitement des fonctionnaires et maintenant ce passage en force sur la réforme ferroviaire, il est clair que le gouvernement PS, a fait le choix définitif de se suicider politiquement pour satisfaire les intérêts de classe du patronat.
Face à cette attaque de classe, nous n'avons donc rien à attendre de négociations à froid, rien à attendre d'amendements parlementaires, nous ne devons compter que sur nous-même, que sur nos propres forces pour les mettre genoux à terre et défendre nos intérêts de classe.
La grève reconductible est notre arme, pas pour peser sur des débats parlementaires, mais pour paralyser l'économie du pays, pour contraindre ce gouvernement au service de la finance de retirer son projet de loi mortifère et anti-social, et imposer une autre réforme.
Une réforme tenant dans la réintégration de RFF au sein de l'EPIC SNCF et dans l'unification de toute la famille cheminote sous un même statut de haut niveau, au sein d'un grand monopole public, au service des intérêts populaires en matière de transport ferroviaire de voyageurs et de marchandises.
En nous plaçant ainsi en état de légitime défense sociale, en nous poussant ainsi à la lutte à mort contre cette attaque sans précédent de nos droits sociaux, le gouvernement joue un jeu dangereux : il prend le risque de fédérer autour de cette locomotive cheminote en colère, un train des luttes fédérant tous les travailleurs sur qui les coups pleuvent depuis trop longtemps...
A NOUS DE TRANSFORMER CETTE ATTAQUE HISTORIQUE CONTRE LES CHEMINOTS, EN DÉFAITE HISTORIQUE DE CE GOUVERNEMENT AUX ORDRES DE LA FINANCE !
Source : http://cgtcheminotsversailles.over-blog.com/
Source : http://www.communcommune.com/article-la-greve...
Si nous ne faisons rien, c'est la suppression du RH0077
SUD Rail
La mort du RH0077 est annoncée… mais pas tout de suite, pas lors de la mise en place de 3 EPIC, ils vont attendre quelques mois pour le remplacer par des conventions collectives qui seront obligatoirement aux dépends des cheminots de la SNCF.
Le 16 juin, débuteront les débats sur le projet de loi de la réforme ferroviaire à l'assemblée nationale.
L'article 13 du projet de loi abroge l'article 1er de l'acte dit loi de 1940 relatif au régime de travail des agents des chemins de fer de la Société nationale des chemins de fer français.
L'étude précise que :« La mise en place du groupe public ferroviaire, constitué des trois établissements publics, rendra sans objet le décret n°99116 du 26 décembre 1999 (RH077). Or, même si le décret socle est publié avant la mise en place des EPIC, il est vraisemblable que la négociation de la convention collective prendra encore quelques mois. C'est la raison pour laquelle un dispositif transitoire, comportant le maintien par la loi des règles du décret du 26 décembre 1999, a paru nécessaire (article 14 du projet de loi).
N'attendons pas qu'il soit trop tard, agissons dés le 10 juin, Tous en grève !
Pour une autre réforme du rail :
les cheminots en grève à partir du 10 juin
CGT
Les deux fédérations syndicales de cheminots CGT et Sud-Rail ont déposé hier mardi un préavis de grève de 24 heures reconductible afin de peser sur les débats du projet de réforme ferroviaire devant l'Assemblée nationale. Les deux organisations pourraient être rejointes par l'Unsa qui de son coté a déposé une demande de concertation immédiate, préalable à tout dépôt de préavis de grève.
Le 22 mai, ces trois syndicats avaient réuni plus de 20000 cheminots à Paris pour réclamer une "autre réforme ferroviaire".
Le projet de loi sera discuté en première lecture à l'Assemblée les 17, 18 et 19 juin. Destiné à stabiliser la dette du secteur ferroviaire et à le préparer à l'ouverture totale à la concurrence, le projet de loi prévoit de réorganiser les forces de la SNCF et de Réseau ferré de France (RFF), lesquels ont été séparés en 1997. "Le projet de loi proposé ne réunifie pas le système. Il prépare les conditions de l'éclatement total du système ferroviaire pour le jeter en pâture aux lois de la concurrence. Le système n'est pas désendetté dans le projet de loi", affirme la CGT Cheminots. "Il se finance sur le dos des cheminots et des usagers par la productivité, la baisse de la qualité et de la sécurité. Le statut et la réglementation du travail de tous les cheminots seraient donc des variables d'ajustement de circonstance."
A leur demande, la CGT-Cheminots, SUD-Rail et l'Unsa doivent être reçus le 12 juin par le secrétaire d'État aux Transports, Frédéric Cuvillier. Les trois organisations ont élaboré une plateforme unitaire « La voie du service public SNCF » et proposent une autre réforme qui porte l'ambition de partir des dysfonctionnements du système ferroviaire , leurs raisons qu'elles soient financières ou organisationnelles pour un service public de qualité.