jeudi 14 novembre 2013 à 14h30
Grève et Manifestation à Paris - Rythmes scolaires
https://paris.demosphere.net/rv/28798
Trajet / parcours : départ 14h30 Luxembourg, en direction du ministère
Rendez-vous du 14 novembre:
- matinée : Assemblées dans les écoles (voir ci-dessous)
- 12h - Manifestation lycéenne - contre l'expulsion de jeunes sans papiers
- 12h30 - Rassemblement parisien à l'Hôtel de Ville
- 14h30 - Manifestation régionale de Luxembourg au ministère
Assemblées:
- Gennevilliers - 9h - Assemblée générale
- Bagnolet - 10h - Assemblée générale
- Paris 1e,2e,3e,4e - 10h à l'EP, 8 rue des Vertus, 4e
- Paris 5e-6e - 9h30 à l'EE, rue de Pontoise, 5e
- Paris 7-8e - 10h à l'EE, rue Bienfaisance, 8e
- Paris 9-10e - l'EM, 155 av Parmentier, 10e
- Paris 12e - 9h30 à l'EE, 57 rue de Reuilly
- Paris 13e - 9h30, EM, rue Auguste Perret, 13e
- Paris 14e - 9h30, EM rue Boulard, 14e
- Paris 15-16e - 12h, EM, 56 rue Felix Faure, 15e
- Paris 17e - 9h30, EE 112 Bd Berthier
- Paris 19e - 12h à l'EM, 41 rue de Tanger
- Paris 20e - 10h à l'EM rue Eupatoria
3 journées de mobilisation: 12 novembre, 13 novembre, 14 novembre
Rythmes scolaires
Grève du 14 novembre - Appel interfédéral
La réforme des rythmes, mise en place à la rentrée 2013 pour un peu plus de 20 % des écoliers, fait apparaître de grandes difficultés.
En faisant glisser les missions d'enseignement de l'Éducation nationale vers les communes, elle crée de graves inégalités de traitement sur le territoire, et crée une confusion entre scolaire et périscolaire (locaux, activités…).
Elle va à l'encontre de l'intérêt des enfants et de celui de l'ensemble des acteurs concernés.
Cette réforme bâclée a été mise en œuvre contre l'avis d'une majorité des personnels et de leurs organisations syndicales, elle a été imposée sans les moyens d'encadrement nécessaires.
C'est un échec pour Vincent Peillon et ceux qui l'ont soutenu, le ministre doit en tirer les conséquences et retirer son décret.
Les organisations syndicales, Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ'action, FNEC-FP-FO, Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales, la FAEN, réunies en interfédérale le 22 octobre 2013, appellent l'ensemble des personnels du 1er degré ainsi que les personnels des collectivités territoriales, animateurs, éducateurs territoriaux, enseignants artistiques territoriaux et ATSEM, à faire grève le jeudi 14 novembre 2013, pour obtenir la suspension immédiate de la mise en œuvre de la réforme et l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires.
L'intersyndicale nationale apporte son soutien aux mouvements locaux déjà prévus les 12 et 13 novembre 2013.
Nos organisations appellent leurs instances locales et départementales à se réunir en intersyndicales et en assemblées générales avec les personnels, dans le cadre unitaire le plus large possible, pour débattre de la construction de la grève du 14 novembre et des suites à donner à cette lutte pour imposer une autre réforme.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/28798
Source : http://sudeducation75.org/spip.php?article608
Source : liste AG-IdF, reçu le 1 novembre 21h
Source : http://www.cgteduc93.fr/spip.php?article5675
Source : http://sudeducation75.org/spip.php?article608
Grève dans les écoles le jeudi Jeudi 14 novembre 2013 à Paris
pour l'arrêt immédiat de la réforme des rythmes scolaires
A Paris, les syndicats d'enseignants des Ecoles Snuipp-FSU, Snudi-FO, CGT-Educ'Action, CNT et Sud-Education réunis hier jeudi 17 octobre 2013 ont lancé un appel à la grève pour le jeudi 14 novembre 2013 .
Ils continuent à exiger l' « Arrêt du dispositif d'Aménagement des Rythmes Educatifs » (ARI) et l'abrogation du décret qui en est à l'origine.
Ils ne sont pas satisfaits de la réponse apportée lundi par le Conseil de Paris aux enseignants, personnels et parents mobilisés . Pour le Snuipp-Fsu, « la situation des écoles ne peut rester en l'état, il faut que cela cesse … la grève est incontournable… ». Pour le Snudi-Fo, « c'est par la grève unie de tous les personnels que seront obtenues la suspension de l'Aménagement des Rythmes Educatifs et l'abrogation du décret qui soumet les enseignants à la tutelle des collectivités locales ».
Après de nombreuses communes déjà mobilisées dans le pays , l'exigence d'arrêt de l'application de la réforme ne cesse de se répandre et la question de la grève est posée par exemple, à Toulouse, dans le Val d'Oise, à Ris Orangis (Essonne), dans l'Oise… Certains maires suspendent leur participation au dispositif, d'autres prennent position contre son application à la rentrée et en demandent l'annulation.
Une réunion intersyndicale nationale des fédérations de l'Education nationale est annoncée pour le 22 octobre pour discuter d'un appel à la grève nationale.
Source : http://www.questionsdeclasses.org/?Affiche-ry...
Source : http://parti-ouvrier-independant.fr/2013/10/1...
Source : http://www.communcommune.com/article-greve-da...
Réforme Peillon ...
A nous d'imposer notre réforme
CGT Educ'action
La réforme des rythmes, mise en place à la rentrée 2013 pour un peu plus de 20 % des écoliers, fait apparaître de grandes difficultés.
En faisant glisser les missions d'enseignement de l'Éducation nationale vers les communes, elle crée de graves inégalités de traitement sur le territoire, et crée une confusion entre scolaire et périscolaire (locaux, activités...).
Elle va à l'encontre de l'intérêt des enfants et de celui de l'ensemble des acteurs concernés personnels territoriaux, enseignants et usagers).
Cette réforme bâclée a été mise en œuvre contre l'avis d'une majorité des personnels et de leurs organisations syndicales, elle a été imposée sans les moyens d'encadrement nécessaires.
Ma commune est pauvre, mon péri éducatif aussi !
Cette réforme aggrave les inégalités territoriales
La réforme des rythmes scolaires entraîne la prise en charge d'une partie de la journée de classe par la commune via les temps péri éducatifs. L'Etat les subventionne peu. La conséquence ? Les usagers vont payer directement ou indirectement (via les impôts locaux !). Les activités péri éducatives sont souvent payantes pour les élèves... C'est une remise en cause de la gratuité scolaire.
Une enquête menée par la CGT Educ'action note déjà une inégalité territoriale non négligeable. Ainsi, les activités sont variables en fonction des moyens des communes : goûter chez l'un, jeux collectifs chez l'autre. Plus encore, le recours aux associations entraînent même des disparités au sein d'une même commune, faute de place.
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Source : http://ulcgt10.fr/spip.php?article2746
Source : http://www.spterritoriaux.cgt.fr/spip.php?pag...