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samedi 24 mars 2012 à 13h

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Manifestation nationale à Paris

Pour le droit à l'emploi pour toutes et tous !

Déroulement de la manifestation :

  • Les entreprises en lutte marqueront utilement l'ancrage revendicatif de notre initiative.
  • Des actions symboliques seront organisées dans le cadre de la manifestation.
  • Des groupes musicaux participeront à l'animation : la compagnie Jolie Môme, la Fanfare invisible, des battucadas,...

Bus prévus en région parisienne :

  • Nemours - 11h devant la gare SNCF
  • Fontainebleau - 11h30 - Parking monument aux morts face entrée Hôpital
  • Melun - 12h - RN6 Rond point Castorama
  • Etampes - 12h00 puis arrêt à Evry
  • Evry - vers 12h30 - Hôpital Louise Michel)

Plus de détails, et bus des autres départements:
http://www.solidaires.org/article40126.html

Texte d'appel

Élections présidentielles ou pas : pour l'emploi et contre les licenciements et suppressions de postes, il y a urgence !

Plus de 5 millions de chômeurs et chômeuses, plus de 8 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté
Et les "plans sociaux" s'accumulent,
Et les suppressions d'emplois publics se multiplient,
Et le chômage partiel, le temps partiel imposé, les emplois précaires sont présentés comme les seules solutions,
Et les discours politiques se succèdent, laissant patrons et banquiers poursuivre la destruction des emplois et de nos vies.

L'Union syndicale Solidaires organise une manifestation nationale pour l'emploi le samedi 24 mars. 13 heures 30 Place de la Bourse, à Paris.

Nous ne sommes pas propriétaires de cette initiative, elle est ouverte à tous et toutes ! es associations de chômeurs seront présentes, c'est un outil aussi pour les entreprises en lutte, ...

Ca suffit ! C'est ce que disent des millions de travailleurs/ses, de chômeurs/ses, de retraité-es, de jeunes en formation. Ce cri de révolte doit se transformer en espoir de faire fondamentalement changer les choses. Prenons nos affaires en mains !

Pour travailler toutes et tous, travailler moins, travailler mieux et autrement !

Ca suffit ! C'est ce que disent des millions de travailleurs/ses, de chômeurs/ses, de retraité-es, de jeunes en formation. Ce cri de révolte doit se transformer en espoir de faire fondamentalement changer les choses. Prenons nos affaires en mains !

L'intersyndicale nationale est utile quand le front unitaire propose et organise des actions à la hauteur des enjeux, du rapport de force nécessaires, des attaques patronales ; ce n'est pas le cas ces derniers mois, mais l'unité demeure nécessaire : la manifestation du 24 mars n'est la propriété de personne, nous la construisons avec tous les collectifs syndicaux et les salarié‑es qui se reconnaissent dans l'exigence du droit à l'emploi, la lutte contre les licenciements et suppressions d'emplois.

Soyons offensifs, nous avons toute légitimité à défendre nos revendications, à refuser les suppressions d'emplois. Nous ne sommes responsables ni de la crise qu'ils ont provoquée, ni de la dette qu'ils ont créée ! Depuis des années, les gouvernements sont chargés de privatiser les profits et de socialiser les pertes. Et si on changeait la donne en faisant de la satisfaction des besoins collectifs la priorité commune ?

Des dizaines de milliers d'emplois publics ont été supprimés ces dernières années ; c'est la cohésion sociale, le droit de tous et toutes à la santé, à l'éducation, à la sécurité, au transport, etc., qui sont ainsi attaqués. Les emplois publics sont utiles, (re)créons-les !

Nous devons imposer des droits nouveaux : droit de véto dans les CE, extension de l'obligation de création de CE aux entreprises de moins de 50 salarié-es, un statut du salarié - applicable à tous et toutes et financé par un fonds patronal mutualisé - pour garantir le maintien du salaire entre deux emplois et les formations de reconversion. Surtout, il faut une répartition différente des richesses que nous produisons : assez de la confiscation par une minorité de ce que produit l'immense majorité ... qu'on rejette vers la précarité, le chômage, l'exclusion, au gré des besoins patronaux !

Ensemble, nous réaffirmons le droit à l'emploi pour tous et toutes. C'est une nécessité économique, sociale, et aussi pour améliorer les conditions de travail, la vie au travail, de chacun-e. Nous refusons le chantage patronal et gouvernemental qui incite à baisser les salaires en échange d'emplois ... qui sont ensuite supprimés comme de nombreux exemples l'ont déjà montré !

A travers les licenciements, le chômage complet ou partiel, les « plans sociaux », le temps partiel imposé, ... les patrons imposent une réduction du temps de travail à des millions de salarié-es, mais en leur faisant payer ! La solution est la réduction du temps de travail à 32 heures hebdomadaire, sans perte de salaire.

De l'argent, il y en a ! Faisons en sorte qu'il serve à celles et ceux qui produisent, et non aux patrons, banquiers et actionnaires !

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/20306
Source : http://www.solidaires.org/article39675.html
Source : http://libertaires95-val-de-seine.over-blog.c...
Source : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article12520...


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Manifestation nationale pour l'emploi

La fédération SUD éducation appelle à participer massivement à la manifestation nationale interprofessionnelle pour l'emploi et contre la précarité le samedi 24 mars 2012 à Paris.

Avec l'Union syndicale Solidaires, réaffirmons le droit à l'emploi pour tous et toutes !

Plus de 5 millions de chômeurs et chômeuses, plus de 8 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, … et les « plans sociaux » s'accumulent, … et les suppressions d'emplois publics se multiplient, … et le chômage partiel, le temps partiel imposé, les emplois précaires sont présentés comme les seules solutions, … et les discours politiques se succèdent, laissant patrons et banquiers poursuivre la destruction des emplois et de nos vies.

Ca suffit ! Prenons nos affaires en mains !

Élections ou pas, pour l'emploi, contre les licenciements et les suppressions de postes, il y a urgence et c'est par les luttes sociales que nous gagnerons ! Soyons offensifs, nous avons toute légitimité à défendre nos revendications, à refuser les suppressions d'emplois. Nous ne sommes responsables ni de la crise qu'ils ont provoquée, ni de la dette qu'ils ont créée !

Les emplois publics sont utiles, (re)créons-les !

Des dizaines de milliers d'emplois publics ont été supprimés ces dernières années ; c'est le droit de tous et toutes à la santé, à l'éducation, à la sécurité, au transport, etc., qui sont ainsi attaqués.

Nous devons imposer des droits nouveaux

et notamment un statut du salarié - applicable à tous et toutes et financé par un fonds patronal mutualisé - pour garantir le maintien du salaire entre deux emplois et les formations de reconversion.

Il faut une autre répartition des richesses

que nous produisons : assez de la confiscation par une minorité de ce que produit l'immense majorité… qu'on rejette vers la précarité, le chômage, l'exclusion, au gré des besoins patronaux !

Ensemble, nous réaffirmons le droit à l'emploi pour tous et toutes. Nous revendiquons la réduction du temps de travail

à 32 heures hebdomadaires, sans perte de salaire. Travaillons moins pour travailler tou-te-s ! Additionnons nos forces, unissons nos luttes !

Dans l'Éducation Nationale, construisons une mobilisation d'ensemble nationale

  • annulation des suppressions de postes !
  • titularisation de tou‑te‑s les précaires !
  • réduction du temps de travail !

La saignée des postes se poursuit dans l'Éducation Nationale, aggravant toujours plus les conditions de travail des personnels et les conditions d'étude des élèves. Encore plus de 10000 postes en moins cette année, plus de 80000 depuis 2007 ! En première ligne, les RASED dans le 1er degré et les lycées professionnels dans le 2nd. Dans tous les cas, ce sont les élèves des classes populaires et les plus en difficulté qui trinquent en premier.

Ne renonçons pas à nous battre contre les suppressions de postes !

Partout en France, il y a des mobilisations contre les conséquences de cette politique. Ces mobilisations locales doivent converger en une lutte nationale pour l'annulation des suppressions de postes, faute de quoi elles s'enferment dans une lutte pour le partage des miettes et la gestion de la pénurie organisée.

La manifestation nationale interprofessionnelle pour l'emploi et contre la précarité du 24 mars doit être une étape de convergence nationale de ces luttes.

Un cortège massif de l'éducation sera un point d'appui pour construire une lutte d'ensemble, (re)lancer des grèves reconductibles partout où c'est possible.

Lutter pour le droit à l'emploi dans l'Éducation Nationale, c'est aussi exiger la titularisation de tou-te-s les précaires

sans condition de concours ni de nationalité. C'est également lutter pour la baisse du temps de travail. Les 35 heures n'ont jamais été appliquées aux enseignant-e-s, et il est urgent de diminuer le temps de travail des personnels IATOSS sans baisse de salaire ni flexibilisation.

Rien ne remplacera nos luttes Tou-te-s à Paris le 24 mars !

MANIFESTATION NATIONALE POUR L'EMPLOI PARIS SAMEDI 24 MARS

Pour travailler toutes et tous, travailler moins, travailler mieux et autrement !

Source : http://sudeducation75.org/spip.php?article507
Source : http://sudeducation92.ouvaton.org/spip.php?ar...
Source : liste AG-IdF, reçu le 17 février 17h


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L'emploi sacrifié dans la santé et le social : ça suffit !

Le 24 mars prochain, face à l'inertie de l'intersyndicale nationale, l'union syndicale Solidaires a décidé d'organiser une manifestation nationale à Paris pour le droit à l'emploi pour toutes et tous.

Source : http://www.sud-sante.org/L-emploi-sacrifie-da...