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mercredi 18 janvier 2012 à 14h

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Plutôt que la TVA antisociale :

Très Vite Augmenter les salaires

Manifestation unitaire le 18 janvier

Trajet / parcours: 14H Place de la Bourse ( Métro Bourse) en direction de la place St Augustin

En ce début d'année, les raisons de se mobiliser sont nombreuses.

Le 18 janvier, le Président de la République convoque un « sommet social de l'emploi ». Sarkozy, serviteur zélé du Medef veut frapper vite et fort.

Cette annonce ne peut masquer la très forte dégradation de la situation de l'emploi et l'annonce de plans de licenciements dans de nombreuses entreprises. L'ile de France a perdu 4000 emplois dans l'industrie en 2011. 23 % des emplois industriels ont été détruits en 10 ans.

Le chômage a progressé deux fois plus vite en 2011 qu'en 2010, frôlant la barre des 10 %, nouvelle preuve de la nocivité des choix gouvernementaux dans le domaine économique et social. De plus en plus de salariés sont pris à la gorge et n'en peuvent plus !

Dans ces conditions, la CGT propose de faire du rendez vous du mercredi 18 janvier, un temps fort de mobilisation unitaire pour faire entendre les exigences des salariés !

(suite... voir PJ)

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/19605
Source : http://eldiablo.over-blog.org/article-tres-vi...


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Journée de mobilisation interprofessionnelle

La Commission Exécutive de la CGT réunie le 20 décembre appelle l'ensemble des organisations de la CGT, ses militants, à prendre des initiatives et des dispositions pour faire du 18 janvier prochain, jour du Sommet à l'Élysée, une journée de mobilisation interprofessionnelle.

Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?breve494


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18 janvier : un « sommet social » de pacotille !

Communiqué Solidaires

Le Président Sarkozy et le gouvernement prétendent organiser un « sommet social » le 18 janvier en invitant, à l'Elysée, les « partenaires sociaux » : le patronat et cinq syndicats ( Cgt, Cfdt, Fo, Cgc, Cftc). En réalité, les décisions sont déjà prises : ce n'est qu'une grande mise en scène pour imposer de nouvelles mesures contre les salarié-es, contre celles et ceux qui produisent la richesse accumulée par une petite minorité depuis des années.

Comment oser accoler le mot « social » à la TVA, qui est l'impôt le plus injuste : Mme Bettancourt paie la TVA au même taux qu'un RMIste ! Pourtant, voilà la mesure-phare du gouvernement : créer un impôt qui pèsera bien plus lourdement sur les pauvres que sur les riches. Remplacer, tout ou partie, des cotisations patronales sur les salaires en augmentant la TVA va renforcer les injustices et faire payer davantage aux ménages ce qui doit rester payé par les entreprises !

L'emploi, un réel souci du gouvernement ? Le bilan est éloquent : 4 510 000 chômeurs/ses en décembre 2011, soit une augmentation de 5,2% par rapport à l'an dernier. Chiffre auquel il faut ajouter environ 500 000 personnes non-inscrites, radiées, en RSA forcé, sans oublier les plus de 3,5 millions de précaires et les 3 millions de temps partiels.

Le chômage partiel serait la solution magique ? Il y a seulement deux ans, le gouvernement avait déjà mis au chômage partiel plus de 600 000 salarié-e-s, en dépensant ainsi 300 millions d'€ argent public, … 300 millions d'€ économisés par le patronat ! Opération répétée avec l'exonération de cotisations sociales pour les heures supplémentaires. Si chômage partiel il y a, c'est au patronat de le payer à travers un fonds commun qui peut être alimenté sans problème avec seulement une petite partie de leurs bénéfices !

Il est paradoxal que gouvernement et patronat vantent les heures supplémentaires tout en prônant le chômage partiel. A moins que leur intention soit surtout de renforcer la flexibilité des salarié-es ? Tout aussi contradictoire est le fait de mener bataille contre la réduction du temps de travail (« les 35 heures »), en l'organisant à travers le chômage partiel !

Face à ces nouvelles attaques, l'Union syndicale Solidaires avait proposé à l'intersyndicale d'appeler à une journée nationale de grève et manifestations le 18 janvier. Ce ne sera pas le cas.

Pour autant, Solidaires participera aux initiatives unitaires décidées ce jour-là dans de nombreux départements. A Paris, le 18 janvier, une manifestation à l'appel de la Cgt, de la Fsu et de Solidaires partira à 14 heures de la Place de la Bourse (direction St Augustin).

L'Union syndicale Solidaires soutient les mouvements de grève décidés dans certaines professions et les nombreuses luttes de résistance menées dans les entreprises qui licencient. Elle appelle à coordonner les actions au plan interprofessionnel et national, notamment sur la question de l'emploi.

L'Union syndicale Solidaires considère que, face aux plans de rigueur qui s'attaquent aux droits des populations de tous les pays, une réponse syndicale européenne est nécessaire.

Source : http://www.solidaires.org/article39261.html


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Sommet sur l'emploi le 18 janvier 2012

la CGT alerte et mobilise

Déclaration de la Commission exécutive confédérale

Le Président de la République convoque le 18 janvier un sommet social sur l'emploi. Sans doute conscient des effets très négatifs des chiffres du chômage et de la précarité sur le comportement des électeurs, Nicolas SARKOZY redécouvre subitement les vertus du « dialogue social ».

Quelques semaines après avoir conclu avec Angela MERKEL un accord européen accentuant l'austérité et la régression sociale pour tous les salariés en Europe, il est fort probable qu'une nouvelle offensive contre les droits sociaux soit à l'ordre du jour.

Les organisations patronales s'organisent en conséquence. Loin de tirer les vrais enseignements sur les origines de la crise, elles ambitionnent d'en tirer parti pour obtenir la remise en cause des principes fondamentaux du droit social.

Ainsi Gouvernement et Patronat s'entendent pour viser :

  • Les bases du financement de la Sécurité Sociale,
  • Davantage de flexibilité dans les horaires de travail,
  • Des mesures fiscales et financières pour alléger le « coût du travail » (suppression des prestations familiales, du versement transport à la charge des entreprises et exonérations des cotisations sur salaires jusqu'à 3 fois le SMIC),
  • Une hausse de la CSG, de la TVA,
  • Assouplissement de certaines règles en matière d'hygiène et de sécurité, etc.
  • La baisse des salaires, en proposant des accords « maintien d'emploi si baisse de salaire ». Pour la CGT ce serait donnant/perdant pour les salariés.

La Commission exécutive confédérale de la CGT considère indispensable de poursuivre l'information et la mobilisation des salariés pour la satisfaction de leurs revendications, notamment sur les salaires et l'emploi.

Malgré l'importance des enjeux il n'a malheureusement pas été possible d'organiser une riposte unitaire lors de la réunion de l'intersyndicale du 19 décembre comme le proposait la CGT.

Elle appelle l'ensemble des organisations de la CGT, ses militants, à prendre des initiatives et des dispositions pour faire du 18 janvier prochain, jour du Sommet à l'Élysée, une journée de mobilisation interprofessionnelle.

Un matériel grand public sera à disposition des organisations dans les premiers jours de janvier.

Face au chantage sur les droits sociaux, la CGT réaffirme ses dix exigences pour une autre répartition des richesses créées :

1. Revaloriser les salaires, les pensions et les minima sociaux, faire respecter l'égalité salariale femmes/hommes.
2. Contrôler les aides publiques aux entreprises.
3. Contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements.
4. Supprimer des exonérations fiscales et sociales sur les heures supplémentaires.
5. Stopper les suppressions d'emplois.
6. Développer les politiques publiques et les moyens des services publics.
7. Réformer la fiscalité en profondeur.
8. Créer un pôle financier public et établir un mécanisme de crédits à taux réduits.
9. Taxer les mouvements spéculatifs de capitaux et éradiquer les paradis fiscaux.
10. Mettre en place un fond européen de solidarité sociale et de développement économique.

Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?article450


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La titularisation des précaires reste une urgence !

Toutes et tous mobilisés le 18 janvier 2012 !

13h00 place de la Bourse puis manif en direction de l'Elysée

CGT Education

Le Président de la République convoque le 18 janvier 2012 un sommet social sur l'emploi. Sans doute conscient des effets très négatifs des chiffres du chômage et de la précarité sur le comportement des électeurs, Nicolas Sarkozy redécouvre subitement les vertus du « dialogue social ».

Quelques semaines après avoir conclu avec Angela Merkel un accord européen accentuant l'austérité et la régression sociale pour tous les salariés en Europe, il est fort probable qu'une nouvelle offensive contre les droits sociaux soit à l'ordre du jour. Les organisations patronales s'organisent en conséquence. Loin de tirer les vrais enseignements sur les origines de la crise, elles ambitionnent d'en tirer parti pour obtenir la remise en cause des principes fondamentaux du droit social. Ainsi gouvernement et patronat s'entendent pour viser :

  • les bases du financement de la Sécurité sociale ;
  • davantage de flexibilité dans les horaires de travail ;
  • des mesures fiscales et financières pour alléger le « coût du travail » (suppression des prestations familiales, du versement transport à la charge des entreprises et exonérations des cotisations sur salaires jusqu'à 3 fois le Smic) ;
  • une hausse de la CSG, de la TVA ; - assouplissement de certaines règles en matière d'hygiène et de sécurité ;
  • la baisse des salaires, en proposant des accords « maintien d'emploi si baisse de salaire ».

Pour la CGT, ce serait donnant/perdant pour les salariés

Dans ce contexte, la CGT Educ'action, avec la Fédération des Services Publics CGT et l'UGFF-CGT, fait du mercredi 18 janvier 2012 une journée de mobilisation contre la précarité.

La loi discutée depuis maintenant deux ans devrait être votée en février 2012 à l'Assemblée nationale, après un passage au Sénat les 25 et 26 janvier 2012. Des dizaines de milliers de personnels sont exclus : contrats aidées, AED et même plusieurs milliers de contractuels.

Malgré le fait que ces avancées restent modestes, le gouvernement, et plus particulièrement dans l'Éducation nationale, tente de minimiser la portée des titularisations : ainsi en tentant d'imposer un concours réservé plutôt qu'un examen professionnel pour les enseignants, CPE et COP, le ministère de l'Éducation nationale entend en titulariser le moins possible.

Pour la CGT Educ'action, la titularisation de tous les non-titulaires, y compris les assistants d'éducation et les personnels en contrat aidés, reste une nécessité. Elle continuera le combat pour gagner sur cette revendication légitime, en travaillant sur la création de nouveaux corps de la Fonction publique pour accueillir les personnels sur de nouvelles missions (c'est le cas, par exemple, des personnels accompagnant les élèves en situation de handicap).

Mercredi 18 janvier 2012 : La CGT Educ'action appelle à une journée de mobilisation contre la précarité dans l'Education nationale un préavis de grève est déposé

La CGT Educ'action revendique :

  • Une loi de titularisation, élargie à l'ensemble des personnels précaires, seule à même d'apporter des réponses statutaires et collectives. La CGT Educ'action revendique une titularisation sans condition de concours ni de nationalité, avec, le cas échéant, la création de nouveaux corps dans la Fonction publique ;
  • L'arrêt du recrutement de non-titulaires et, dans l'immédiat, la garantie de leur réemploi ;
  • L'amélioration des conditions de reclassement des non-titulaires au moment de leur titularisation ;
  • Le renforcement dans l'immédiat des droits sociaux des non-titulaires, la reconnaissance de leurs qualifications ;
  • La cohérence de gestion, une grille de salaire alignée sur celle des titulaires (sans rémunération au mérite). Cela passe aussi par un élargissement et une harmonisation nationale des compétences des Commissions Consultatives.

Source : http://cgteduc93.free.fr/?La-titularisation-d...