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mardi 11 octobre 2011 à 14h

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Manifestation à Paris

Contre les mesures d'austérité, pour l'emploi, les salaires...

Trajet / parcours : Départ 14h de République en direction de Bastille

Ordre des cortèges syndicaux: CFDT - UNSA - FSU - CGT - Solidaires - Unef - UNL

Banderole de tête :

Une autre répartition des richesses :
pour l'emploi, les salaires, la protection sociale
Ce n'est pas aux salariés de payer la crise !

Rendez-vous particuliers:

  • 9h - AG de grève à Gennevilliers - Bourse du travail - 3 rue Lamartine
  • 12h : atelier banderoles des Indignés à République (rdv devant Habitat)
  • 13h - Rdv "Front Syndical de Classe" - Bd Beaumarchais, métro Chemin vert
  • CFDT : Bd du temple
  • Unsa : Place de la république / Voltaire
  • FSU : Place de la république / rue de la République
  • CGT : Angle avenue de la République / place de la République.
    Cortèges CGT: UL75 UL93 UL78 UL91 UL95 UL94 UL92 UL77
  • Solidaires : Place de la République / Bd du temple
  • CNT: point fixe - Cirque d'hiver (devant Rougier et Plé) M° Fille du calvaire
  • NPA: point fixe au métro Chemin Vert
  • bientôt, ici sur Démosphère, d'autres rendez-vous d'organisations

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/18080
Source : message reçu le 8 octobre 12h
Source : message reçu des organisateurs le 7 octobre 10h
Source : sièges CGT et CFDT au tél. le 30 septembre 10h
Source : http://www.cgt94.fr/spip.php?breve400
Source : http://www.cgtparis.fr/ACTU_MISE_A_JOUR.htm


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Journée nationale d'action le 11 octobre

Communiqué CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires

Le gouvernement a annoncé le 24 août des mesures censées réduire « le déficit de la France ». Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires en dénoncent le caractère injuste et inéquitable. La facture est principalement supportée par les salariés et les consommateurs. Le gouvernement ne remet pas en cause les niches fiscales dont on sait qu'elles n'ont aucune efficacité économique et sociale. La contribution des plus hauts revenus reste symbolique et n'est pas de nature à réduire les inégalités.

Pour relancer la croissance, en respectant les impératifs de développement durable, réduire les inégalités et maîtriser les déficits, une politique visant une autre répartition des richesses et favorisant le développement économique et social est incontournable.

Cela suppose des réformes structurelles importantes comme une réforme globale de la fiscalité intégrant une plus grande progressivité, une politique industrielle coordonnée au niveau européen, des services publics de qualité.

Cela appelle aussi des mesures urgentes :

  • Abandonner la taxation des complémentaires santé ; supprimer les exonérations et la défiscalisation des heures supplémentaires ; conditionner toute aide publique à son efficacité sociale et économique, aux politiques sociales dans les entreprises.
  • Mettre en œuvre la taxe sur les transactions financières.
  • Faire de l'emploi, en particulier celui des jeunes, une priorité. Stopper les suppressions d'emplois dans la Fonction publique.
  • Soutenir le pouvoir d'achat notamment des plus bas revenus et réouvrir les négociations salariales dans les entreprises et la Fonction publique pour réduire les inégalités notamment entre les femmes et les hommes.

Les organisations syndicales estiment indispensable l'intervention des salariés pour peser sur le gouvernement, le patronat, les débats parlementaires en cours et à venir.

Elles décident d'une journée nationale d'action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011. Partout, le débat sur le contexte, les enjeux et les modalités (manifestations, rassemblements, arrêts de travail, etc.) est nécessaire pour construire cette journée. Les organisations se retrouveront le 15 septembre 2011.

Source : http://cgt.fr/Communique-CGT-CFDT-UNSA-FSU.ht...
Source : http://www.cgt.fr/Journee-nationale-d-action-...
Source : http://www.solidaires.org/article37444.html


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Trac CGT - IdF

Crise - dettes - austérité

L'intervention des salariés est indispensable !

Depuis plusieurs mois les salariés, les retraités, les privés d'emplois doivent supporter la crise du système capitaliste.

Les prix s'envolent, les salaires et pensions stagnent quand ils ne régressent pas. Enfermés dans leur logique, patronat et gouvernement n'ont qu'un mot à la bouche : L'austérité !

Cela signifie concrètement : baisse des salaires, attaques contre l'emploi, réduction des services publics, de la protection sociale : En un mot vivre de plus en plus difficilement !

Source : http://urif.cgt.fr/?p=1071


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Mardi 11 octobre - Grève et manifestations !

Tract Solidaires

Dans toute l'Europe, les gouvernements annoncent une succession de plans d'austérité, pour répondre aux diktats des institutions financières et aux exigences patronales. Sarkozy et Fillon participent activement à ce pillage des populations les plus défavorisées. En Italie, en Espagne, en Grande-Bretagne, en Grèce, en Pologne, ... un peu partout, grèves et manifestations se multiplient. En France, le 11 octobre, une journée d'action intersyndicale est organisée.

Des luttes sont menées dans de nombreuses entreprises et dans la Fonction publique

  • Le 27 septembre, l'Education était en grève dans tout le pays
  • Le 6 octobre, les retraité-e-s sont dans la rue
  • Le 8 octobre, les chômeurs/ses manifestent...

Il faut unir nos forces, coordonner nos luttes !

L'Union syndicale Solidaires n'a pu obtenir des autres organisations syndicales un appel national à faire grève et manifester. Mais l'unité a tout de même pu se réaliser dans plusieurs secteurs professionnels et départements.

Le gouvernement enchaîne les « affaires » qui montrent un pouvoir aux abois. Le patronat reprend son crédo habituel « on ne peut pas payer » ... tout en accumulant des bénéfices exorbitants et les institutions financières prétendent imposer aux peuples la destruction de tous les services publics.

Nous avons besoin de recréer un rapport de forces, à la hauteur des enjeux. Pour l'Union syndicale Solidaires, le 11 octobre s'inscrit dans cette dynamique. Partout où cela est possible, organisons des assemblées générales et des cortèges unitaires dans les manifestations...

Faisons-nous entendre !

L'accroissement de la dette publique est le produit des cadeaux fiscaux faits aux ménages les plus aisés et aux entreprises, en particulier les plus grandes.

C'est aussi le résultat des mesures prises pour juguler d'une part, la crise financière, dont la population n'est pas responsable, et d'autre part la récession qui s'en est suivie.

Un autre partage des richesses est la seule réponse alternative légitime.

Elle exige une autre répartition entre salaires et profits, un droit effectif à l'emploi par une réduction du temps de travail avec embauches

correspondantes, une réforme fiscale radicale et le développement des services publics. Elle exige aussi de mettre fin aux exonérations d'impôts des plus riches, de taxer véritablement les revenus du capital, de lutter contre la fraude fiscale et les spéculateurs/trices. Elle exige également la socialisation du système bancaire, la satisfaction des besoins sociaux fondamentaux en articulant impératifs écologiques et garanties sociales pour les salarié-e-s.

A Paris, manifestation à 14 heures Place de la République

Source : liste AG-IdF, reçu le 7 octobre 18h


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Tract SNUCLIAS - FSU

Les mesures d'austerité, ça suffit - manifestons notre colère

Le 11 octobre 2011

Reprenant l'appel unitaire initié par les organisations syndicales nationales CGT, FSU, CFDT, UNSA et Solidaires à une journée nationale d'action interprofessionnelle le mardi 11 octobre 2011, le SNUCLIAS-FSU a décidé d'appeler à la grève.

Pourquoi ?

Annoncé le 24 août 2011, le nouveau plan d'austérité repose, pour l'essentiel, encore une fois, sur les salariés, les retraités. Et au-delà des effets d'annonce d'une taxe sur les hauts revenus qui ne rapportera que 200 millions sur les 11 milliards attendus, on retiendra surtout le doublement de la taxe sur les mutuelles, de 3,5 % à .7%, qui limitera fortement les conditions d'accès à la santé pour tous. Ajouté au gel du point d'indice, aux milliers de suppressions de postes dans la fonction publique, ce nouveau plan d'austérité ne vise qu'à une seule chose, nous faire payer une dette dont nous ne sommes pas responsables. Plus grave, cette politique visant à résorber les déficits a son revers car à force de mesures d'austérité qui s'ajoutent les unes aux autres, la croissance faiblit entrainant de moindres rentrées fiscales qui entraînent de nouveaux tours de vis présentés alors comme inéluctables.

En France, comme dans la plupart des pays européens, ce n'est pas aux citoyens de payer la dette des États.

La dette publique trouve son origine dans les nombreux cadeaux fiscaux aux plus riches, aux milliards d'euros versés aux banques pour les renflouer en 2008. Les mêmes banques qui aujourd'hui veulent imposer une cure d'austérité aux états qui sont venus à leur secours. Cette politique d'austérité a des conséquences concrètes : un chiffre du chômage en juillet 2011, le plus mauvais depuis 2000, un pays riche qui compte plus de 8 millions de pauvres alors que les très hauts revenus augmentent plus rapidement que ceux de l'ensemble de la population.

De qui se moque-t-on ?

Les mesures d'austérité, ça suffit, et c'est déjà pour cela que nous serons en grève et dans la rue mais aussi pour revendiquer : - Un salaire minimum à 1600 euros net, − 60 points d'indice (soit 250 euros) pour tous, − L'arrêt des politiques d'individualisation des rémunérations, − L'arrêt des suppressions de postes et le développement de l'emploi public, − Une taxe sur les transactions financières.

Manifestons massivement

Mardi 11 octobre 2011 - 14 h - Place de la République

SNUCLIAS - FSU
01 43 47 53 95
01 49 88 06 17
snucexlias-fsu@orange.exfr
www.snuclias-fsu.fr

Source : message reçu le 5 octobre 14h


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Chômeurs, tous mobilises le 11 octobre

Article CGT

Communiqué commun de la CGT et du Comité National des privés d'emploi CGT

Dans un contexte social et économique, où l'austérité mise en place par le gouvernement va encore aggraver des inégalités et accroître la pauvreté, la situation de l'emploi s'aggrave.

Ce sont plus de 4 millions 100 000 salariés qui sont privés d'un emploi et inscrits en catégorie A, B et C à Pôle Emploi.

Moins d'un chômeur sur deux, est indemnisé !

Dans ce contexte, la campagne commencée depuis juillet par le Comité National des privés d'emploi CGT sur les budgets de vie bat sont plein, permet d'aller au débat pour une mobilisation des chômeurs dès le 11 octobre dans le cadre interprofessionnel et le 3 décembre 2011, jour d'une initiative nationale des Privés d'Emploi.

Pour se faire entendre et revendiquer une autre répartition des richesses, la CGT appelle tous les chômeurs et précaires à participer massivement aux rassemblements et manifestations prévus dans les territoires le mardi 11 octobre 2011.

Source : http://ulcgt20.org/spip.php?article267


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Dette de l'Etat :

Profits pour les capitalistes : Désastre pour les travailleurs !

Tract d'Alternative Libertaire

La crise n'existe pas ! Ce que l'on désigne comme tel n'est rien d'autre qu'une intensification du pillage des richesses par ceux qui en détiennent déjà le plus : les capitalistes. Banquiers, patrons et gros actionnaires mettent aujourd'hui l'immense majorité de la population en faillite. Afin d'accroître leurs profits et leur puissance, ils font tout pour réduire les salaires, les effectifs dans les entreprises, leurs impôts, les services publics et la protection sociale, soutenus par l'Etat et les gouvernants, de droite comme de gauche.

Ce sont les capitalistes qui ont créé la dette

Après avoir acculé à la ruine les peuples des pays du Sud, les capitalistes mettent à sac l'Europe, et l'Amérique du Nord. La dette, ce sont eux qui l'ont fabriquée en substituant une économie financière et spéculative à une économie productive, en organisant la fuite massive des capitaux, en fraudant le fisc et en obtenant des etats à leur botte des exonérations fiscales et sociales astronomiques. Ce hold-up permanent est possible grâce au soutien sans faille des Etats qui ne cessent de durcir les conditions d'existence des travailleurs et travailleuses, des sans logis, des sans emplois et des sans papiers qui payent les politiques d'austérité.

En France comme ailleurs, l'Etat et les gouvernants agissent pour satisfaire les objectifs du grand capital et accroître les profits des capitalistes. ils nous mentent quand ils expliquent que la dette est une fatalité, que tout le monde en est responsable et que les travailleurs doivent la payer. Le plan d'austérité annoncé le 24 août par le tandem Sarkozy-Filllon s'inscrit dans cette logique. Cette dette des Etats n'est pas la nôtre. Les islandaises et les islandais ont donné l'exemple en signifiant à leurs gouvernants qu'ils ne payeront pas. Le peuple argentin a imposé à son gouvernement d'y renoncer définitivement. Les Grecque- s et les espagnol-e-s ont fait de même en faisant éclater leur colère dans la rue, occupant les places de leur pays et multipliant les grèves.

Refusons de payer leur crise

Nous devons nous aussi refuser de la payer et nous organiser pour faire échec à leurs plans d'austérité. Nous indigner ne suffira pas. Nos gouvernants n'ont que faire de notre indignation. A chaque fois qu'elle se manifeste, ils passent en force et préparent le plan d'austérité suivant. Cinq organisations syndicales appellent à une journée d'action le 11 octobre. il faut en faire une véritable journée de grève interprofessionnelle public-privé pour signifier un refus massif de payer la dette du capital accumulée sur le dos des travailleurs et revendiquer des augmentations collectives de salaires, la semaine de 32 h avec embauche correspondante, le blocage des expulsions de locataires et l'accès gratuit de tous et toutes à la santé.

Contre l'Etat et le capital : grêve générale

Cette journée devra être le premier acte d'une mobilisation d'ensemble visant à mettre à genoux les capitalistes et leurs serviteurs par la grève générale. Nous devrons y porter des revendications de rupture : blocage des dividendes, réquisition des logements vides et droit de véto des travailleurs sur les licenciements. Mobilisons-nous contre les capitalistes et l'Etat, uniques responsables de cette dette. Refusons de payer leur crise. Par l'auto-organisation, donnons-nous les moyens de satisfaire nos revendications et de construire une alternative à ce système capitaliste de plus en plus mortifère et criminel.

Source : http://www.alternativelibertaire.org/spip.php...


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Appel à rejoindre les manifestations syndicales du 11 octobre

Urgence : un toit pour tous ! logements trop chers !

La crise du logement s'est hissée aux premiers rangs des préoccupations des français.

On dépense aujourd'hui en France presque deux fois plus pour se loger que pour se nourrir ou se déplacer. La part du logement dans le budget des familles est supérieure pour beaucoup au 1/3 du revenu du foyer et constitue une dépense insupportable et inacceptable.

Dans ce contexte, nous associations, syndicats, collectifs, et réseaux de défense des mal-logés, des locataires , des sans-abris, appelons à manifester avec les salariés mardi 11 octobre.

Contre la vie chère ; les loyers et les charges doivent baisser de 20% dans le privé et de 10% dans les HLM. Les prix de l'immobilier et du foncier doivent être régulé.

Cette mesure doit passer par une taxation des profits immobiliers et fonciers

Nous dénonçons les réformes régressives et les attaques contre la protection sociale qui n'épargnent pas non plus le logement.

Nous appelons à cesser la marchandisation du logement social à abroger les lois régressives et à mettre fin à l'enrichissement sans fin des spéculateurs, des bailleurs privés, des promoteurs immobiliers, ...

Contre l'austérité pour les « pauvres » et les cadeaux fiscaux pour les « riches », nous exigeons la suppression de tous les allègements fiscaux et niches fiscales liés à l'immobilier, favorables aux contribuables les plus aisés, la taxation vigoureuse des profits tirés de la spéculation.

Les moyens financiers et budgétaires doivent être mobilisés pour la réalisation massive de 200 000 logements sociaux par an pour héberger et loger toute personne en difficulté de logement.

Contre les expulsions sans relogement, l'aggravation de la crise du logement, la hausse du nombre de sans abri et de mal-logés, nous exigeons un moratoire sur les expulsions locatives, la réquisition des logements et locaux de grands propriétaires, publics et privés, la mise en œuvre de l'obligation d'accueil inconditionnel des sans-abris et leur accompagnement social, l'application de la loi DALO.

Pour ces raisons, nous appelons à rejoindre les manifestations syndicales du 11 octobre, et à constituer un cortège logement.

La plate forme logement des mouvements sociaux

Le collectif "urgence un toit"

Source : http://collectifurgenceuntoit.over-blog.com/a...


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Après la réussite du 27 septembre

construisons ensemble la suite du mouvement !

CNT - Fédération des Travailleurs-euses de l'Education

Cette journée de grève et manifestations pour la défense de l'école et contre les suppressions de postes est sans aucun doute une réussite. Des chiffres de grève qui dépassent les 50% et une détermination forte des grévistes qui se traduit par plus de 165 000 manifestants dans toute la France (quelques exemples ci-dessous). Cette mobilisation record ne doit cependant pas nous faire crier victoire. En effet, le gouvernement ne cédera malheureusement rien à l'issue de ces 24 heures de grève…

Une casse généralisée

Les mêmes aberrations ont été entendues dans tous les cortèges : fermeture de classe dans le 1er degré pour un élève en dessous du seuil, classe de CP à 28 élèves, classe de 5e à 30 élèves, dédoublements suspendus ce qui empêche les expériences en sciences, collègues nommés sur plusieurs établissements, élèves sans affectation en lycée professionnel, budgets de fonctionnement réduits à peau de chagrin… À cela il faut ajouter l'explosion des emplois précaires d'enseignants, en particulier dans l'enseignement professionnel. De plus, la précarité est quasiment devenue la norme pour les collègues qui s'occupent de l'entretien des locaux et pour les collègues surveillants en vie scolaire. Enfin, n'oublions pas les mesures anti-pédagogiques qui ont été prises ces dernières années comme la disparition des BEP, le socle commun des compétences ou la refonte des programmes dans le 1er degré.

Alors avec un délabrement aussi massif, comment l'école pourrait- elle permettre la réussite de tous les élèves, comment pourrait- elle inclure de façon satisfaisante les élèves en situation de handicap ?

Pour faire reculer le gouvernement, cette journée est un bon début. Mais nous ne devons pas nous arrêter sans quoi, nous risquons de tout perdre. Organisons nous collectivement pour gagner !

La CNT Éducation appelle l'ensemble des personnels à se réunir en assemblée générale dans les établissements, mais aussi à s'organiser dans les villes et les départements, avec leurs collègues, mais aussi avec l'ensemble des salariés mobilisés.

La CNT Éducation appelle l'ensemble des personnels à poursuivre la mobilisation afin de faire de la journée du 11 octobre une grande journée de grève et manifestation pour la défense des emplois, dont ceux de l'éducation, et pour la défense des services publics.

Assemblées générales et grève du 11 octobre doivent être des outils pour construire la mobilisation en vue d'une grève reconductible dans les jours ou semaines à venir. Le temps nous est compté avant le vote du budget. NE LAISSONS PAS PASSER L'OCCASION DE GAGNER !

A lire aussi sur le site de la FTE, le positionnement fédéral sur les élections professionnelles.

Source : http://www.cnt-f.org/spip.php?article1712


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Notre Santé en Danger

Face aux effets destructeurs de la loi Bachelot sur le système public de soins et aux attaques contre la protection sociale, les organisations de Notre Santé en Danger seront présentes et appellent à participer aux initiatives et manifestations du 11 octobre.

Notre Santé en Danger s'inscrit et s'inscrira dans toutes les initiatives et actions prises pour défendre le système public de santé et de protection sociale.

A l'occasion des débats parlementaires sur le Projet de Loi sur le Financement de la Sécurité Sociale, Notre Santé en Danger et ses organisations proposeront différentes initiatives dans toutes les régions.

Notre Santé en Danger

Source : message reçu le 7 octobre 16h


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Communiqué intersyndical du 1er septembre :

l'impasse de la stratégie de l'unité de sommet

Le point de vue du Front Syndical de Classe

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Le Communiqué intersyndical (CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires) du 1er septembre appelant à l'organisation d'une journée nationale d'action le 11 octobre prochain confirme les impasses auxquelles conduit la stratégie de l'unité de sommet !

L'absence d'une appréciation de fonds et les divergences sur la nature et les causes de la crise, la raison et l'origine des déficits publics conduisent à un appel sans objectifs précis, et sans esprit offensif.

Le vocabulaire employé dans le communiqué commun, « arrêts de travail » en lieu et place d'un ferme appel à la grève illustre pour le moins la « timidité » de l'appel lancé.

Il est vrai qu'il y a aisément plus offensif et plus déterminé que le numéro 2 de la CFDT, Marcel Grignard, déclarant : "La grève ne nous paraît absolument pas la bonne voie (…) dans une situation très difficile pour le pouvoir d'achat et des inquiétudes des salariés pour leur emploi".

Le problème majeur est que c'est cette pusillanimité qui donne le ton aux orientations de l'intersyndicale nationale.

Prenons donc au mot les déclarations récentes de Bernard Thibault à « France-Info » avançant : "nous n'allons pas attendre l'unanimité, pour prendre nos responsabilités".

Chiche!

Car tout se joue en bas, dans chaque quartier, chaque branche, chaque entreprise … sans illusions sur les échéances électorales de 2012 et en conscience que les forces réformistes syndicales et politiques, en phase avec la droite sont prêtes à appliquer des plans de rigueur au nom de la nécessaire réduction des déficits publics et de la nécessaire confiance des marchés financiers.

Face aux reculs sans précédent que les forces de la réaction et du renoncement s'apprêtent à infliger aux travailleurs français comme aux autres peuples d'Europe, il n' y a pas d'autre voie que celle de la lutte, de mouvements sociaux puissants, bousculant les prévisions pessimistes et libérant l'énergie et la créativité populaire !

Cette appréciation n'est pas pure injonction volontariste !

Ainsi, en Italie se prépare une grève générale dès ce 6 septembre et à l'appel de la CGIL et de La confédération italienne USB, affiliée à la FSM, cette dernière mobilisant "contre la boucherie sociale et les diktats de l'Union européenne, contre le budget d'austérité, antisocial et antipopulaire du gouvernement de droite de Berlusconi, pour l'annulation de la dette, la défense des droits des travailleurs, la nationalisation des banques et des compagnies stratégiques du pays. "

Alors travaillons effectivement en bas, à la convergence des luttes dans notre pays, en Europe et dans le monde !

Le Front Syndical de Classe

Source : http://eldiablo.over-blog.org/article-communi...