dimanche 16 mai 2010 à 17h
Soiree de solidarite avec « no border paris »
https://paris.demosphere.net/rv/13116
Projection, débat avec le collectif et musiques avec :
- GUARAPITA (salsa ska punk - 93 / 95)
- DAMN' DYNAMITE (anarcho-punk - Lyon)
- CLASS WAR KIDS (Caribou -punk hardcore - Canada)
De 17h. à 22h. précises !
P.A.F. : 5 zéros
PAS DE VERRE !!! Et merci de laisser TOUS vos zanimals à la maison...
http://collectifcontreculture.blogspot.com/
Aujourd'hui ce ne sont pas seulement les migrant-e-s et sans papiers qui sont interpellé-e-s, ce sont aussi les précaires, jeunes stigmatisés qui subissent le harcèlement des contrôles d'identités au faciès et de leurs titres de transports.
A grands renforts de lois sécuritaires, les gouvernements légitiment chaque jour le contrôle et la surveillance accrus de l'espace social collectif.
C'est ainsi qu'on encourage la délation des hommes, femmes et enfants sans papiers, dans les administrations, banques et jusque sur leur lieu de travail.
On contrôle, sanctionne et culpabilise les chômeurs-ses et précaires, on segmente les quartiers avec des portiques et des codes, on arrête dans les écoles, on sanctionne le « délit de solidarité », on stigmatise les groupes politiques et communautés qui résistent.
La transformation des frontières en barbelés et miradors participe à la politique européenne de gestion des « flux » migratoires où les migrant-e-s sont réduit-e-s à de simples quotas. La liberté de circulation est empêchée et violemment réprimée pour les exilé-e-s qui fuient la guerre, la corruption et la misère : tous les accès à l'Europe sont refusés. Le droit au logement, au travail, à une vie décente pour les exilé-e-s qui veulent se reconstruire ou rejoindre leur famille émigrée en Europe, sont bafoués par les règlements européens liberticides :
Quand la lutte contre l'immigration devient un business, l'expulsion, l'enfermement et la logistique sécuritaire deviennent des sources de profits (juteux). Des hommes et femmes sans-papiers construisent les centres de rétentions qui les enferment, nettoient les gares et trains dans lesquels ils sont contrôlés et arrêtés. Ils sont réduits à une simple force de travail que l'on prend et jette à merci.
Le cynisme n'a pas de frontières …
Parce que la liberte de circuler est menacee par l'existence meme des frontieres
No Border refuse et entend combattre l'europe du tout profit, criminelle, funeste et carcerale qui pietine la liberte de chacun a circuler, s'installer.
Liberte de circulation et d'installation pour tous !!!
No Border ! No Nations !
tous les renseignements sur
http://parisactionday.noblogs.org/
Source : http://collectifcontreculture.blogspot.com/20...
Source : message reçu le 7 mai 15h