thème : écologie
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vendredi 22 janvier 2010 à 20h30

2 parties : 1 2

Projection débat

Simplicité volontaire et Décroissance

le vendredi 22 janvier à 20h30 à Saint-Ouen L'Aumône.

Entrée : 5€

Avec la participation de l'Association des Objecteurs de Croissance (AdOC).

Des Adociens, Catherine Le Comte, Vincent Liegey et Rémy Cardinale proposent la projection du film de Jean-Claude Decourt :

Simplicité volontaire et Décroissance qui se poursuivra, pour ceux qui le souhaitent, par des échanges sur ce thème.

Ce moment permettra, nous l'espérons, à chacun de découvrir des idées qui lui appartient peut-être déjà ou pas et l'existence de l'Association des Objecteurs de Croissance (AdOC) dont les "portes" sont grandes ouvertes à tous ceux qui se reconnaissent dans ce courant d'idées !

Vous êtes tous les bienvenus à ce moment fait de convivialité.

Association d'Objecteurs de Croissance (AdOC)
http://actu.adoc-france.org/

Une croissance infinie dans un monde fini est une absurdité !
http://actu.adoc-france.org/la-plate-forme-de-convergence/


Source : http://ocparis.canalblog.com/archives/2010/01...
Source : message reçu des organisateurs le 10 janvier 21h


Simplicité volontaire et décroissance

Séance unique suivie d’une débat vendredi 22 janvier à 20h30 à Utopia Saint-Ouen l’Aumône

« Après la crise : relance ou décroissance ? » avec Vincent LIEGEY (porte-parole du Parti Pour La Décroissance ), Rémy CARDINALE ( objecteur de croissance ), et Catherine LE COMTE (objecteur de croissance sur le Val d’Oise) qui vous invite à des échanges citoyens sur la décroissance ou /et l’objection de cette croissance-là pour un projet politique soutenable, équilibré, démocratique, convivial, écologique, social, positif, culturel, équitable, innovant, diversifié, ciblé, local, global et transitoire...
Cette société soutenable constitue une «utopie réalisable sans cesse renouvelée».


Simplicité volontaire et décroissance

Jean-Claude DECOURT - documentaire France 2007 1h -

Du 22/01/10 au 22/01/10

Le terme est désormais très tendance, utilisé comme repoussoir par les uns, récupéré par les autres. La décroissance est désormais agité comme un signe de ralliement par les uns en panne d’idéologie, et d’autres la balancent aux autres comme un pétard mouillé. En période préélectorale, voir des partis qui hier participaient à des majorités de gouvernement qui défendaient un productivisme à tout crin et qui avaient contribué largement à la marchandisation du vivant et des ressources naturelles et d’autres à l’opposé craignant l’émergence d’un nouvelle vague tenter de décridibiliser le même mouvement par des amalgames ridicules, est aussi ridicule.
Revenons aux constats de bon sens qui ont présidé à l’idée de décroissance :
20% de la population mondiale consomment 86% des ressources naturelles, dont la moitié a déjà disparu en un siècle (et il faudra beaucoup moins de temps pour épuiser tout le reste). Non content de piller le bien commun, notre modèle économique fondé sur le développement exponentiel détruit inexorablement la nature, pervertit les relations humaines, compromet gravement l’avenir des générations futures. Pour sauver la planète, il est urgent de commencer à « décroître ». Décroître économiquement et vivre plus simplement ne signifie pas revenir à l’âge de pierre. Il s’agit au contraire de croître en « humanité », de se réapproprier nos vies, notre temps, de compenser nos peurs et nos manques autrement que par la consommation, d’imaginer de nouvelles solidarités, de re-localiser industrie et agriculture, de se réapproprier la politique pour décider collectivement… Vaste programme, que nous pouvons commencer à faire vivre dès aujourd’hui…Cela commence très facilement par des gestes quotidiens, l’abandon de produits de consommation, qui nous paraissait indispensable et dont on se rend compte très vite de l’inanité, puis par la modification de son habitat qui peut s’avérer très rentable. Ces petits pas conduiront peu à peu à la modification radicale de notre société, le capitalisme reposant nécessairement sur l’assouvissement des faux besoins dont nous nous serons débarrassés ne pourra que s’écrouler.
Ce film documentaire est le premier volet d’une collection thématique tournée en auto-production. Il explique les constats, les valeurs et principes de la simplicité volontaire et de la décroissance, avec des interventions de Paul Ariès, Serge Latouche, Vincent Cheynet, François Schneider, José Bové, Suzan George…

Source : http://www.cinemas-utopia.org/saintouen/index...

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/10646