jeudi 21 janvier 2010 à 20h
Les 16, 19 et 21 janvier
Projections-débats ‘Noir Coton’
- Samedi 16 Janvier, 16h30 au Café Le lieu Dit, 6 rue Sorbier 20e M° Gambetta, Ménilmontant
- Mardi 19 Janvier, 19h30 à la Maison des Métallos, 94 Rue jean Pierre Timbaud 11e M° Couronnes
- Jeudi 21 Janvier, 20h au Café Associatif "La Commune", 3 Rue d’Aligre 12e M° Gare de Lyon, Ledru Rolin
https://paris.demosphere.net/rv/10517
En présence des réalisateurs
Si tu as choisi la culture du coton, c’est que tu as choisi d’être pauvre. Mes bœufs de labour, je les entretiens mieux par rapport à ce que nos dirigeants nous entretiennent ! » Un paysan de Koumbia.
Noir coton expose les enjeux d’une agriculture axée sur l’exportation et l’articulation avec la souveraineté alimentaire du pays. Privatisation, OGM, culture bio, agro-écologie, relocalisation de la production industrielle, indépendance alimentaire… L’analyse de la filière coton permet de cerner les principaux enjeux sociaux et économiques d’un pays comme le Burkina Faso.
Plus d’info : http://www.lamare.org/
Source : http://www.survie-paris.org/projections-debat...
Source : message reçu le 1 janvier 20h
Source : message reçu le 1 janvier 21h
Source : http://www.attacparis12.lautre.net/spip.php?a...
Noir coton
de Julien Despres et Jérôme Polidor,
2009, 55min org Attac Paris 11e 12e et 19/20e.
Noir coton est un voyage dans la région cotonnière du Burkina Faso. Au gré des rencontres avec paysans, agronomes, syndicalistes, représentants du monde agricole, le film expose les enjeux d’une agriculture axée sur l’exportation et l’articulation avec la souveraineté alimentaire du pays.
Privatisation, OGM, culture bio, agro-écologie, relocalisation de la production industrielle, indépendance alimentaire… L’analyse de la filière coton permet de cerner les principaux enjeux sociaux et économiques d’un pays comme le Burkina Faso.
Note :
Le coton comme porte d’entrée dans l’agriculture africaine Si la filière coton sert de fil rouge, ce sont les conditions de vie, et l’avenir des paysans du sahel qui sont le chœur du film. Seule filière organisée au Burkina, elle est une porte d’entrée idéale pour accéder au monde paysan. Suivant les avancements successifs de notre réflexion, nous avons choisi de poser les problèmes et les paradoxes qui nous sont apparus au fil des rencontres, sans en éluder la complexité. Le coton joue-t-il un rôle positif ou négatif pour les paysans africains ? Faut-il arrêter de le cultiver, faut-il adopter les OGM, ou privilégier la culture bio ? Ici pas de manichéisme possible. On ne peut ni souscrire ni rejeter en bloc les différentes options, et les raisonnements qui semblent justes à un certain niveau d’analyse se révèlent faux si l’on change d’échelle…
Source : http://www.lamare.org/noir-coton