thème : travail
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mercredi 2 décembre 2009 à 11h

2 parties : 1 2

Action chômeurs, précaires

mercredi 2 décembre 11h place du châtelet

Avant les manifestations contre la précarisation et pour de nouveaux droits samedi 5 décembre à Marseille, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Paris, Rennes.

Retrouvons nous pour agir

Chômeurs, intermittents, précaires, ni coupables, ni victimes, en lutte !

Source : http://www.cip-idf.org


Action chômeurs, précaires

le mercredi 2 décembre à 11 h, place du Châtelet

Source : liste de diffusion CIP-IDF, reçu le 26 novembre 21h
Source : http://www.cip-idf.org/article.php3?id_articl...


Action chômeurs, précaires

MERCREDI 2 DÉCEMBRE à 11h

RDV PLACE DU CHÂTELET POUR UNE ACTION

VENEZ NOMBREUX !

Après l'appel des occupants brestois de la mairie (http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4741), les mairies de Rennes et Morlaix ont été occupées (http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4746).

Des actions (affichage, info sur les droits, déblocage de dossiers, appel à manifester), ont lieu un peu partout dans des Pôle emploi, comme à Rennes, voir Refusons le contrôle des chômeurs, qu’ils soient avec ou sans-papiers ! (Mcpl) (http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4749) et à Paris et Argenteuil (http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4744)

Vous trouverez des informations sur les diverses mobilisations régionales sur http://www.cip-idf.org/
Merci de les transmettre aux intéressés.

Des manifestations contre le chômage et la précarité, pour de nouveaux droits ont lieu SAMEDI 5 DÉCEMBRE

  • PARIS, 14h, place Stalingrad, direction place Clichy
  • RENNES, 15h, Place de la gare
  • LYON, 10 heures, départ Mas du Taureau à Vaulx en Velin
  • BORDEAUX, 15 h place de la Victoire
  • AGEN, midi, place de la Préfecture pour un pique-nique collectif

Marseille, Toulouse, Montpellier, Besançon..., des infos dans les jours à venir...

  • Chômeurs, intermittents, précaires, ni coupables, ni victimes, en lutte ! (http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4740)
  • Engageons dès maintenant une grève des chômeurs contre notre subordination à l’ordre économique (Mcpl, Rennes) (<http://www.cip- idf.org/article.php3?id_article=4738>)

Lors des deux jours contre l'expulsion de la Cip-idf (<http://www.cip- idf.org/article.php3?id_article=4653>), une bibliothèque a été (re) lancée, voir http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4747.

Merci à vous d’étoffer le fonds en apportant quai de charente livres, revues, ouvrages divers d’interêt collectif.

Source : liste de diffusion CIP-IDF, reçu le 29 novembre 21h


Action précédente

CR ACTION PÔLE EMPLOI CE MERCREDI 25 novembre à ARGENTEUIL : Chômeurs, intermittents, précaires : Ni coupables, ni soumis, tous en lutte !

Action pêchue et très réussie ce mercredi 25 novembre après-midi dans le cadre des Marches régionales contre le chômage, les précarités et les licenciements organisées du 20 novembre au 5 décembre par le Collectif Droits Nouveaux (qui regroupe plus de 20 organisations), appelant aux manifestations nationale et régionales du 5 décembre :

nous sommes retrouvés à une bonne trentaine (AC !, CIP-IDF, CNT, NPA) au Pôle Emploi d’Argenteuil que nous avons occupé de 15H30 à 17H.

Nous avons crié des slogans (« Parents licenciés, enfants sacrifiés, on en a assez, ça va péter ! » ou « Suppression du 39.49, des indus et des radiations ! », etc..) et diffé des tracts appelant à la manif du 5, collé des autocollants et discuté avec des usagers, mal informés de la prime de 500 euros (pas d’affiche là-dessus), de leurs droits (pas d’affiche non plus des associations de chômeurs, pas de panneau), ou en tracas avec Pôle Emploi.

La directrice est venue, mais n’a rien concédé. Au bout d’une heure, elle a donné consigne aux agents de Pôle Emploi (qui en catimini nous témoignaient leur solidarité) de ne pas nous parler, et d’interrompre l’accueil des chômeurs, de partir s’ils le voulaient.

Ce n’est que partie remise, nous poursuivons nos actions dans les Pôles emploi et les lieux de contrôle-flicage des chômeurs et précaires : Action le 2 décembre : RDV 11H Place du Châtelet  Opération de décontamination contre la grippe précaire le 3, heure et lieu à préciser Pour tout contact : agdeexsprecairexes@gmailex.com

http://www.pourdesdroitsnouveaux.org/spip.php?article101

Source : liste de diffusion CIP-IDF, reçu le 26 novembre 21h


CIP- IdF - À Pôle emploi hier et demain

À Pôle emploi, hier et demain

Lundi à Paris, visite collective au Pôle emploi Vicq d’Azir, pour appeler à une action mercredi, durant laquelle le Pôle emploi d’Argenteuil a été lui aussi collectivement visité ; appeler aussi à un RV action le mercredi 2 décembre à 11 h, place du Châtelet et à la manifestation du 5 décembre (Paris, place Stalingrad, 14 h).

À une vingtaine, nous tentons de débloquer le dossier d’une intermittente basculée au régime général parce que Pôle emploi indemnisation (ex-Assedic) refuse de compter ses heures de congé individuel de formation (CIF) au régime du spectacle. Depuis des mois, elle est indemnisée bien en dessous de ce que prévoit la réglementation.

Il est arrivé précédemment que le médiateur national de Pôle emploi, le directeur de cabinet de Pôle IDF, ou les responsables d’agence finissent par lâcher du lest sous la pression collective en débloquant entre un et quinze dossiers selon les jours. Il est même arrivé qu’un patron du Pôle attende à l’agence Vicq d’Azir, devant la porte, l’arrivée de manifestants qui allaient en fait dans une autre antenne.

Ce jour-là, la décision du Pôle est toute différente : « Je vous entends très bien. On ne règle pas de dossiers sous la pression », « Je vous entends très bien. On ne règle pas de dossiers sous la pression », en boucle pendant quatre heures. Nous n’obtenons pas même un argument ou un texte motivant le refus d’indemnisation. Lors d’un récent passage, ils avaient fermé l’antenne pour un accompagnement collectif de cinq personnes... Depuis, un vigile a été implanté à demeure.

Les agents quittent les guichets pour s’enfermer dans les bureaux (est-ce qu’ils en profitent pour rattraper le retard qui s’accumule sur les dossiers ?), les responsables s’en vont, l’agence voisine, une ex-ANPE située dans la même rue, ferme, l’autre agence spectacle parisienne, Petites Ecuries, aussi. La tactique est limpide : faire en sorte que les intermittents qui essaient de régler individuellement des embrouilles pour obtenir leurs droits s’opposent à ceux qui sont venus le faire collectivement. Nous devons expliquer aux arrivants que la décision d’arrêter l’accueil relève de la direction. Vu la tactique employée, la prochaine fois on fera autrement.

Après avoir pique-niqué dans l’antenne sans obtenir plus, nous allons débloquer un dossier au Pôle Guy Môquet (rue Georgette Agutte). Un chômeur italien s’était vu refuser ses allocations au motif qu’il ne disposait que d’un numéro de sécurité sociale provisoire. Un agent avait même osé apposer, à la main, ce motif tout à fait illégal sur la lettre de décision de refus lorsque ce chômeur était venu demander des explications. Il est plus de 16 h lorsque nous arrivons. Panique de la directrice : nous risquons de rester au-delà de l’heure de fermeture. Ils se dépêchent de mettre en route l’indemnisation exigée. Nous diffusons des tracts dans les deux antennes de la rue, exigeons que les tracts soient affichés sur les panneaux prévus. Puis nous demandons que deux personnes présentes à l’action obtiennent le « rejet de demande d’ASS » (allocation spécifique de solidarité) qu’ils attendent depuis des semaines. Lorsqu’on n’a plus d’indemnités chômage, on peut théoriquement prétendre à l’ASS, mais on doit en réalité la demander même si on n’y a pas droit, parce qu’on a besoin de cette notification de refus pour s’inscrire au RSA. De la même manière, on a besoin de cette attestation pour demander à Pôle emploi une allocation de fin de droits (AFD) de près de 300 euros, versée une seule fois. Mais il n’y pas de petites économies lorsqu’il s’agit de rogner sur les droits : une partie des chômeurs retrouvera un emploi et/ou renoncera à obtenir le rejet de demande d’ASS. Et il y plus urgent à faire, les priorités de Pôle emploi sont ailleurs : convoquer, radier, caser dans les jobs dégradés.

Un petit moment s’écoule et la directrice nous dit : « Ici, pas de passe-droits ! Nous vous donnons deux attestations, mais pas plus. » Reste à savoir ensuite si la fermeture du Pôle peut avoir lieu ou si nous allons proposer à tous les présents d’obtenir sur-le-champ ce qu’ils sont venus chercher - et non les habituels : « Votre dossier est à l’étude, vous recevrez une réponse » ou « Passez par le 39 49 »...

Pas moins de deux responsables et quelques agents s’occupent de nos deux attestations et des deux formulaires de demande d’AFD. On les obtient, et voilà que nous rencontrons un chômeur dans la même situation (il ne peut boucler son inscription RSA sans ce papier de refus d’ASS) qui rejoint le groupe.

La directrice : « Mais nous avions conclu un accord ! » Nous, on est d’accord sur rien, on veut juste que les chômeurs obtiennent leurs droits. Nous finissons par décrocher le troisième droit à AFD - le papier de refus d’ASS - et nous quittons l’agence.

Continuons. Et comme le dit le mouvement des chômeurs et précaires en lutte de Rennes, engageons dès maintenant une grève des chômeurs contre notre subordination à l’ordre économique.

RV action le mercredi 2 décembre à 11 h, place du Châtelet.

Samedi 28 novembre à 16 h, lors des deux jours contre l’expulsion de la CIP, 14 quai de Charente, à la Cip : rencontre pour préparer la manifestation des chômeurs, intermittents et précaires du 5 décembre.

Source : http://www.cip-idf.org/article.php3?id_articl...
Source : liste de diffusion CIP-IDF, reçu le 26 novembre 21h

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/10267