lundi 30 novembre 2009 à 20h
Projection "Pompoko"
Débat sur la cise climatique
https://paris.demosphere.net/rv/10148
Lun 30 nov, 20h
CinéAttac : “Pompoko” d’Isao Takahata, suivi d’un débat sur la crise climatique, Cinémas Les 7 Parnassiens, 98 bd du Montparnasse, M° Vavin.
Le comité local Attac Paris 14 organise le lundi 30 novembre à 20 heures aux 7 Parnassiens - 98, bd du Montparnasse (métro Vavin) - www.parnassiens.com la projection de :
Pompoko d’Isao Takahata.
La projection sera suivie d’un débat sur la crise climatique
avec Claude Pénit, biologiste, membre du groupe Ecologie et société d’Attac.
Source : http://www.france.attac.org/spip.php?article1...
Source : http://letohubohu.free.fr
Pompoko
Dans les années 1960, le Japon connaît une forte croissance et les logements font défaut. De vastes programmes de construction sont lancés, destinés à transformer les campagnes en villes nouvelles, en particulier la haute vallée de la Tama, à l'est de Tōkyō.
Dans les bois à la périphérie de Tokyo vivent les tanuki. Ce sont à la fois des animaux réels et des animaux mythiques assimilés aux kitsune.
La destruction quotidienne de leur espace vital inquiète les tanuki. Ils décident de s'unir et d'enrayer la progression nuisible des travaux en se transformant en divers objet pour garder leur campagne dans laquelle ils vivent ...
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompoko
Pompoko - L'histoire
Pompoko s’ouvre sur l’air d’une chansonnette pleine d’insouciance...
Jusqu'au milieu du vingtième siècle, les tanukis, emprunts d’habitudes frivoles, partageaient aisément leur espace vital avec les paysans. Leur existence était douce et paisible... Un dû et don de la nature, en somme, un équilibre qui ne semblait jamais pouvoir être menacé…
Mais en 1967, sous la pression d’une croissance économique exponentielle des alentours de Tokyo, le gouvernement amorce la construction de la ville nouvelle de Tama. On commence à détruire fermes et forêts. Leur habitat devenu trop étroit, les tanukis jadis prospères et pacifistes se font la guerre, l’enjeu étant de conserver son bout de territoire. Efforts dérisoires car la forêt continue de disparaître... Les tanukis doivent se rendent à l’évidence : les humains, avec lesquels ils ont appris à cohabiter, font preuve d’un expansionnisme inexpliqué.
La situation est grave. Réunis, les chefs de clans coordonnent la riposte. Un plan est établi sur cinq ans : le temps pour les animaux d’étudier les humains et de réveiller leur pouvoir de transformation, savoir dont ils ont perdu les clés avec les années. Il va falloir tenter d'effrayer les humains en évoquant peurs et superstitions. Les solutions les plus farfelues sont expérimentées, mais les saisons s’écoulent et les tanukis s’épuisent. Pour une petite victoire, combien de déceptions ! Combien de chantiers ralentis, mais reprenant de plus belle leur œuvre de destruction …