mardi 12 février 2013 à 14h30
Manifestation et grève nationale dans l'éducation
https://paris.demosphere.net/rv/24529
Trajet / parcours: rv 14h30 Luxembourg, en direction du Métro Rue du bac
A l'appel de: FERC-CGT, FNEC-FP-FO, SUD-Education CNT-Education, FAEN
- Pour une amélioration des conditions de travail et de rémunération,
- Pour l'abandon du projet de loi d'orientation sur l'école,
- Pour l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires.
Lien : https://paris.demosphere.net/rv/24529
Source : message reçu le 4 février 22h
Source : communiqués ci-dessous
Source : http://cgteducaction75.free.fr/SPIP3/spip.php...
Appel de l'interfédérale:
grève nationale dans l'éducation
Le gouvernement ne rompt pas avec les politiques précédentes, les salaires des fonctionnaires ne sont toujours pas revalorisés, les conditions de vie et de travail continuent de se détériorer pour les élèves et les personnels.
- Le projet de loi d'orientation sur l'école ne répond pas aux besoins de l'école publique. Nous ne pouvons pas nous satisfaire de voir que les fondements idéologiques mis en place par la loi Fillon de 2005, comme le socle commun, ne sont pas remis en cause par ce projet de loi sur l'école.
- Avec le pilotage des cartes de formation professionnelle, la prise en charge des services d'orientation par les régions et le transfert aux collectivités locales de missions dans le premier degré, un cap supplémentaire sera franchi dans une logique de territorialisation de l'école.
- Contrairement à ce qui est annoncé par Vincent Peillon, dans le premier degré, la réforme des rythmes scolaires va dégrader les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des personnels.
Cette raison a conduit nos fédérations à voter contre le décret sur l'aménagement du temps scolaire qui nous a été présenté.
La publication, par le ministre, de ce texte rejeté par l'écrasante majorité des personnels et des collectivités territoriales est inacceptable.
Les fédérations FERC CGT, FNECFP FO, SUD ÉDUCATION, CNT, réunies le lundi 28 janvier 2013, soutiennent les initiatives qui ont déjà été prises et qui seront prises par les personnels et leurs organisations syndicales.
Elles appellent les personnels à se réunir et à construire la mobilisation par la grève le 12 février 2013
- Pour une amélioration des conditions de travail et de rémunération,
- Pour l'abandon du projet de loi d'orientation sur l'école,
- Pour l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires.
Source : liste AG-IdF, reçu le 30 janvier 10h
Généraliser la mobilisation par la grève nationale
appel de la fédération SUD éducation.
La fédération SUD éducation appelle l'ensemble des personnels :
- à participer massivement à la grève le jeudi 31 janvier avec l'ensemble de la Fonction publique à l'appel de la CGT, de la FSU et de notre Union syndicale Solidaires
- à la grève nationale dans l'éducation le mardi 12 février à l'appel des fédérations de l'éducation CGT, CNT, FO et SUD éducation,
- à se réunir en assemblées générales de grévistes pour débattre des revendications et décider de la poursuite de la mobilisation, qui peut passer par la reconduction de la grève là où c'est possible. Nous soutenons toutes les actions décidées démocratiquement par les personnels.
Loin de la « refondation » annoncée, les politiques éducatives du gouvernement s'inscrivent dans une grande continuité avec celles de ces dernières années. La programmation budgétaire est très en-deçà des besoins. La situation des élèves, les conditions de vie et de travail des personnels se dégradent. Certains projets actuels vont encore aggraver cet état de fait.
Les concertations se sont déroulées sans les personnels de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche. Le gouvernement cherche maintenant à imposer ses réformes en refusant de répondre aux revendications. Il veut passer en force même quand ses projets sont rejetés par les personnels et leurs syndicats.
La contestation commence à se développer, notamment avec la grève massive du 1er degré le 22 janvier à Paris, les nombreuses initiatives du 23, diverses actions locales, des motions d'assemblées générales, de conseils des maîtres-ses, de conseils d'administration…
Pour la fédération SUD éducation, il faut passer à une nouvelle phase de la mobilisation, par la grève nationale. Ce qui est à l'ordre du jour, c'est la construction d'un rapport de force permettant d'obtenir la satisfaction de nos revendications et des alternatives pour l'éducation. Seule l'intervention massive des personnels peut le permettre.
Nous exigeons l'abandon immédiat de réformes inacceptables :
- Retrait du décret Peillon sur les rythmes scolaires !
- Retrait de la régionalisation de l'orientation !
- Retrait de la décentralisation de la carte de l'enseignement professionnel !
Nous refusons toute territorialisation de l'éducation.
Les projets de lois d'orientation doivent être abandonnés, le processus doit être reporté pour que les personnels puissent enfin y prendre part et pour que toutes les questions puissent être posées. Une tout autre loi d'orientation doit être élaborée, pour une école égalitaire et émancipatrice, dans le cadre d'un véritable service public national de l'éducation.
Nous revendiquons les bases urgentes d'une véritable refondation :
- Abrogation des contre-réformes du précédent gouvernement (masterisation, service minimum d'accueil, socle commun, livret personnel de compétences, réformes des 3 lycées, loi « Libertés et Responsabilités des Universités », AERES, Idex, Labex…) ;
- Amélioration des conditions de vie et de travail de tous les personnels : la titularisation sans condition de tous les précaires et l'arrêt du recrutement de précaires, la création d'emplois statutaires à la hauteur des besoins, une diminution du temps de travail, l'augmentation des salaires, l'abrogation du jour de carence ;
- Des conditions pour un véritable service public d'éducation et de recherche au bénéfice des élèves : une baisse des effectifs des classes et des groupes à tous les niveaux, la révision des programmes, le développement de RASED complets partout, une vraie politique d'éducation prioritaire, une carte scolaire garantissant la mixité sociale, la gratuité réelle de la maternelle à l'université, l'argent public doit être réservé à l'école publique…
Source : http://www.sudeduccreteil.org/spip.php?articl...
Source : liste AG-IdF, reçu le 29 janvier 17h
Mardi 12 février 2013 : grève nationale !
Suite à une interfédérale réunissant l'ensemble des fédérations de l'Education, la FERC-CGT, la FNEC-FP-FO, SUD-Education, la CNT-Education et la FAEN ont appelé ensemble à la grève pour le mardi 12 février 2013.
- Pour une amélioration des conditions de travail et de rémunération,
- Pour l'abandon du projet de loi d'orientation sur l'école,
- Pour l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires.
La CGT Éduc'action appelle l'ensemble des personnels de l'Education nationale à la grève le mardi 12 février 2013.
Le projet de loi d'orientation de l'école se place dans la continuité des mesures des gouvernements précédents en reprenant les fondements idéologiques (socle commun, livret de compétences, bac pro 3 ans, réforme du lycée...) et renforce la précarité.
Ce projet de loi s'inscrit dans l'acte III de la décentralisation.
Un cap supplémentaire serait franchi, avec le pilotage des cartes de formation professionnelle et la prise en charge des services d'orientation par les régions, ainsi que le transfert aux collectivités locales d'un certain nombre de missions incombant, dans le premier degré, à l'Éducation nationale.
Avec la décentralisation, l'Éducation perdrait son caractère national. Nous ne laisserons pas faire !
Les créations de postes annoncées pour la rentrée 2013 masquent les suppressions subies et sont très loin de répondre aux besoins.
Elles ne permettent même pas de revenir à la situation pourtant déjà dégradée de 2011.
Sur l'ensemble du quinquennat, la loi de programmation ne couvre pas les suppressions d'emplois, et les nouvelles missions fixées par cette loi ne sont pas budgétées.
Pour la CGT Éduc'action, ce projet de loi ne doit pas être réécrit ou amélioré, il doit tout simplement être abandonné.
Il n'est pas pour autant question d'en rester à la situation telle qu'elle existe actuellement : il est nécessaire de « refonder » réellement l'école et, pour ce faire, seul un rapport de forces permettra d'engager des discussions sur la base des revendications des personnels.
Contrairement à ce qui est annoncé par le ministre, dans le premier degré, la réforme des rythmes scolaires va dégrader les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des personnels (alourdissement de la charge de travail, multiplication des missions, souffrance au travail encore accrue...). La CGT Éduc'action revendique la déconnexion du temps de présence élèves/enseignants (dans le premier degré) et la réduction du temps de travail pour tous.
Dans ce contexte, la CGT Éduc'action continue à exiger :
- Le rétablissement de tous les moyens perdus depuis 2002
- Des postes d'assistants sociaux et infirmiers et un véritable cadre A pour ces professions
- L'abandon du dispositif ECLAIR, de la notion de socle commun, du Livret Personnel de Compétences (LPC)
- La remise à plat de la réforme du bac pro 3 ans et de celle du lycée général et technologique
- Le recrutement par concours au niveau licence, avec une formation de deux ans payée et débouchant sur un master
- La titularisation sans condition de concours et de nationalité de tous les personnels précaires avec une vraie formation
- Une augmentation immédiate des salaires de 70 points d'indice (soit plus de 300 euros pour toutes et tous)
- L'abandon de l'évaluation profession- nelle pour les ATSS
- La suppression de la Prime de Fonctionnement et de Résultat (PFR) pour les administratifs
- Une vraie réduction du temps de travail L'abandon du jour de carence
- L'abrogation du SMA (Service minimum d'accueil)
- La retraite à 60 ans à taux plein avec 37,5 annuités maximum
- Des CHSCT au plus près des personnels.
La CGT Éduc'action, conformément à ses engagements, prend ses responsabilités et appelle les personnels à se mobiliser, par tous les moyens possibles, pour imposer une autre politique gouvernementale et un autre projet pour l'école.
La CGT Éduc'action appelle à la grève dans le cadre de l'appel unitaire FERC-CGT, FNEC-FP-FO, SUD-Education CNT-Education, FAEN
Manifestation régionale 14h30 Luxembourg
En grève et manifestation le mardi 12 fevrier 2013 !
SUS Éducation Paris
Départ à 14h30 de la place Edmond Rostand (RER Luxembourg ou M° Odéon)
La rentrée 2013 s'annonce tout aussi catastrophique que les précédentes.
Les quelques moyens supplémentaires attribués dans les DHG, bien insuffisants pour compenser l'importance des pertes des années passées, couvrent tout juste l'augmentation des effectifs annoncée pour la rentrée prochaine. Ces DHG ne permettront en rien de diminuer le nombre d'élèves par classe en hausse constante depuis de trop nombreuses années.
Malgré cette hausse croissante des effectifs, aucune création de postes n'est envisagée dans les secrétariats, infirmeries, services sociaux et généraux des établissements déjà sous-dotés en personnels.
Les conditions de travail des personnels se détériorent d'année en année, et la privatisation déjà bien avancée, notamment dans l'entretien des locaux et la restauration scolaire aggrave encore la situation. Les salaires sont programmés à la baisse et la précarité et le chômage à la hausse. Les salaires sont encore bloqués pour une année supplémentaire et les seuls projets annoncés par le gouvernement développent la précarité : 150 000 emplois d'avenir doivent être créés, ils seront tous précaires !
On assiste à une dégradation générale accélérée. l'école peillon, c'est l'école des patrons !
Dans le premier degré, la réforme des rythmes scolaires cache mal la volonté de faire travailler plus et dans de plus mauvaises conditions l'ensemble des personnels, enseignants, animateurs, Atsem et élèves.
Avec la carte des formations attribuée aux régions et le système d'orientation décentralisé, c'est plus de pouvoir assuré aux potentats locaux élus et patronaux. C'est aussi moins de formation générale, plus de tri social et d'employabilité des jeunes à qui il faudra apprendre à se vendre pour être flexibles.
L'acte III de la décentralisation territorialise le service public d'éducation pour le casser, et l'orientation, l'enseignement professionnel, l'école en général, passent plus directement sous la coupe du patronat local.
Les agents techniques des établissements ont été décentralisés dès 2003, les COP le sont aujourd'hui, demain les PLP ?
Dans les lycées généraux et technologiques, la réforme sarkoziste, loin d'être abandonnée, continue à se mettre en place, que ce soient les conseils pédagogiques, véritables hiérarchies intermédiaires à la solde des chefs d'établissement, les nouvelles épreuves de langues vivantes au bac, la diminution du nombre de postes ou l'augmentation du nombre d'élèves par classe...
À tous les niveaux, c'est la poursuite de l'école du socle et du LPC !
Le projet Peillon n'améliore ni les conditions d'apprentissage des élèves, ni les conditions de travail des personnels. Il vise dans son ensemble, à faire entrer encore plus les collectivités territoriales et les entreprises dans l'école et tous les personnels des différents secteurs de l'éducation sont concernés.
SUD Éducation paris revendique :
- le retrait des projets Peillon (décret sur les rythmes scolaires dans le 1er degré, loi d'orientation sur l'école) ;
- une école égalitaire, libérée de la mainmise patronale ;
- la création massive de postes de titulaires à la hauteur des besoins exprimés par les personnels et la baisse des effectifs ;
- la titularisation sans conditions de tous les personnels ;
- l'augmentation des salaires : pas de revenu inférieur à 2000 euros ;
- la suppression des journées de carence ;
- un corps unique (même statut, même salaire quelle que soit la fonction).
Mardi 12 février 2013 - Grève nationale d'avertissement !
Pour l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires !
Chacun prend ses responsabilités.
Au moment où le rejet du décret sur les rythmes scolaires à Paris et en province est massif de la part de tous les personnels du premier degré, au moment où tous les aspects de la loi de territorialisation de l'école de monsieur Peillon sont rejetés aussi bien dans le premier degré que dans le second degré et alors que le ministre est sourd aux grèves, rassemblements, délégations et manifestations qui se sont déroulés la semaine dernière en appui aux milliers et milliers de pétitions et motions, c'est maintenant qu'il faut la grève unie sur des revendications claires, celles des personnels, pour faire reculer le ministre.
- Nous ne voulons pas de l'école du socle de compétences,
- Nous ne voulons pas des services partagés école-collège,
- Nous ne voulons pas travailler dans les écoles le mercredi matin,
- Nous ne voulons pas de la régionalisation de la formation professionnelle,
- Nous ne voulons pas de l'abandon aux régions de l'orientation scolaire,
- Nous ne voulons pas des contrats tripartites Etat-collectivités-établissement imposés aux lycées et collèges,
- Nous ne voulons pas de la double tutelle Etat - collectivités sur nos missions et conditions de travail,
- Nous voulons rester fonctionnaires d'Etat.
Voilà ce que veulent les personnels, voilà ce qu'ils disent, voilà ce qu'ils veulent que leurs organisations expriment, voilà ce que le ministre pour l'instant refuse d'entendre.
C'est le ministre qui prend la responsabilité du conflit et personne ne pourra masquer les responsabilités de chacun.
Samedi dernier, le ministre a publié son décret sur les rythmes scolaires. Il n'est plus temps d'hésiter, il n'est plus temps de s'abstenir, Force ouvrière prend ses responsabilités.
La FNEC FP FO appelle ses sections et syndicats et leurs adhérents à multiplier les réunions d'information, à convoquer les assemblées générales dans les écoles, les lycées, les collèges, les lycées professionnels et les services pour préparer la grève unie sur les revendications. .
La FNEC FP FO appelle à prendre toutes les initiatives de réunions intersyndicales à tous les niveaux, établissements localités, départements académies pour organiser la grève sans aucune exclusive sur les revendications définies par la réunion des fédérations syndicales du 28 janvier.
Abrogation du décret sur les rythmes scolaires !
Abandon du projet de loi sur l'école !
Grève nationale le 12 février !
Affichette : tous en grève et en assemblée générale le 12 février !
Sud-education 92
Rythmes scolaires :
- Pour les élèves, la semaine sera plus chargée qu'auparavant !
- Pour les personnels l'amplitude de travail va augmenter !
- Avec le "Projet éducatif territorial", les communes auront plus de pouvoir sur l'organisation de notre travail !
EN GREVE ET EN ASSEMBLEE GENERALE LE 12 FEVRIER !
Ne Peillons pas !
Mobilisons-nous pour l'abandon du projet Peillon sur les rythmes scolaires !
Assez de dégradations de nos conditions de travail
Appel à la grève intersyndicale dans le 94
Après le 23 Janvier,
Tous en greve le 12 fevrier !
Contrairement à ce qui est annoncé par Vincent Peillon, dans le premier degré, la réforme des rythmes scolaires va dégrader les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des personnels. Elle accentuera les inégalités territoriales.
En organisant 36h d'activités Pédagogiques Complémentaires (APC) reliées au Projet Educatif Territorial (PET), un cap supplémentaire serait franchi dans une logique de territorialité de l'école, telle que des élus locaux pourraient la concevoir.
Le décret ministériel sur l'aménagement du temps scolaire est donc inacceptable.
Cette raison a conduit nos fédérations à refuser d'approuver le décret sur l'aménagement du temps scolaire qui nous a été présenté.
Nous ne pouvons pas nous satisfaire de voir que les fondements idéologiques (remise en cause du service public, mise en concurrence des écoles…..) mis en place par la loi Fillon de 2005, ne sont pas remis en cause par ce projet de loi sur l'école.
De plus, le projet de loi d'orientation sur l'école ne répond pas à tous les besoins de l'école publique.
Effectifs, aide aux élèves en difficulté, remplacements, formation initiale et continue mais aussi injonctions et contrôles tatillons, ces dernières années, notre métier, nos conditions de travail et d'exercice se sont fortement détériorées.
Avec les organisations syndicales SNUipp-FSU 94, SE-UNSA 94, SUD EDUCATION 94, CGT Educ'Action 94,
AGISSONS TOUS ENSEMBLE pour obtenir les changements nécessaires : baisse des effectifs, réduction du temps de travail et temps supplémentaire pour travailler en équipe, programmes adaptés, RASED implantés et développés partout, formation continue sur temps de travail, augmentation salariale, baisse des obligations de service……
POUR UN PLAN D'URGENCE POUR L'ECOLE RECENSANT LES BESOINS, Pour une amélioration des conditions de travail et de rémunération, Pour une loi d'orientation sur l'école qui donne à l'école les moyens de faire réussir tous les élèves,
Pour le retrait et la réécriture du décret sur les rythmes scolaires. Ensemble, nous pouvons gagner !
Le décret sur les rythmes ne convient pas, l'école de Sarkozy non plus !
Pas de statu quo !
Nous voulons changer l'école actuelle : imposons un vrai débat pour l'école au sein de la communauté éducative dans l'intérêt des élèves, des enseignants !
Ce texte a été proposé à toutes les organisations syndicales des enseignants du 1° degré du 94