thème : travail
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samedi 1er mai 2010 à 14h30

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Manifestation unitaire du 1er mai à Paris

Trajet / parcours :

départ à 14h30 de République en direction de Havre Caumartin

Ordre des cortèges syndicaux:

Unsa - CFDT - Solidaires - Fsu - CGT

Rendez-vous particuliers:

  • 09h30 - manifestation de Force Ouvrière
  • 11h00 - manifestation libertaire du 1er mai - RdV : place des fêtes
  • 12h30 - marche Paris-Nice des sans papiers - RdV : 12h30, 14 rue Baudelique (M° Simplon), pour rejoindre la manif à République
  • 13h00 - cortège des pays Latino-Américains (lien) - RdV angle du bd St Martin et de la rue René Boulanger (M° Strasbourg-St-Denis)
  • 13h00 - départ du cortège de Paris 18e - RdV : Mairie du 18e (Jules Joffrin)
  • 13h30 - chômeurs, intermittents et précaires - RdV : 13h30 précises, au Métro Strasbourg Saint-Denis
  • 14h00 - "pink block" féministe - RdV : angle rue du faubourg du Temple et du quai de Jemmapes - quai de Valmy
  • 14h00 - cortège international et "Drapeau Rouge" - RdV : autour de la statue centrale
  • 14h00 - Solidaires-SUD - RdV: coté Mac Do/ Quick
  • 14h30 - travailleurs sans papiers et cortège des sans papiers pour le départ de la marche Paris-Nice - RdV: Angle Bd du Temple/Place de la République (puis entre les cortèges de la CGT et la FSU)
  • 14h30 - cortège des travailleurs Palestiniens, aux côtés de "Droits devant et du cortège des sans papiers" - RdV: Angle Bd du Temple/Place de la République
  • 14h30 - petite enfance "pas de bébés à la consigne" - RdV : à l'entrée du Boulevard St Martin
  • 14h30 - Sauvons l'Université - RdV: angle place de la République / avenue de la République (devant Darty)
  • 15h00 - cortège pour le désarmement nucléaire (marionnette géante, parade de missiles...) - RdV Mairie du 2e à 15h pour rejoindre la manifestation en costume
  • après la manif - 1er Mai festif après la manif PCF 20e
  • d'autres rendez-vous à venir

Source : http://solidairesparis.org/spip.php?article30...
Source : http://unsa-territoriaux71.over-blog.com/arti...
Source : http://www.cfdtparis.com/spip.php?article238&...


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Pour un grand 1er mai unitaire
Tous mobilisés

Appel des organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA

Manifestation à Paris à 14h30 République

Emploi, conditions de travail, pouvoir d'achat, avenir des retraites sont au cœur des préoccupations des salariés du public et du privé. Le sont aussi les axes revendicatifs portés en commun par l'intersyndicale depuis 16 mois. Ce sont sur ces priorités qu'elle interpelle :

  • les pouvoirs publics,
  • le patronat,
  • les chefs d'entreprise.


La situation économique et sociale est d'ores et déjà à l'origine de nombreuses luttes, souvent unitaires, des salariés du public comme du privé. Ces mobilisations doivent s'inscrire dans la durée.
C'est pourquoi nous décidons de faire connaître nos exigences auprès des salariés toute la journée du 20 avril. C'est pour ces raisons que les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA appellent les salariés à manifester très nombreux le 1er mai pour affirmer leurs attentes d'un monde plus juste où, partout, chacun a droit à un travail décent.

Interpellation commune en vue du Sommet social

Dans les semaines à venir, le Président de la République va réunir un « sommet social ». Dans le même temps, les concertations sur la réforme des retraites ont commencé. Les salariés sont en droit d'en attendre des mesures efficaces et de progrès social améliorant leur situation et donnant espoir en l'avenir.
En 2010, le chômage continue d'augmenter. Dans le secteur privé comme dans le secteur public, beaucoup de salariés connaissent des situations difficiles. Pour une partie d'entre eux, les effets de la crise continuent à se faire sentir durement. Suppressions d'emploi, difficultés à trouver un travail, accroissement de la précarité, conditions de travail dégradées, difficultés salariales, avenir des retraites, sont les préoccupations des salariés.
L'action reste une priorité pour le monde du travail.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment, comme elles l'ont déjà fait en 2009, que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l'emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d'une relance économique tournée vers la satisfaction des besoins sociaux.
Cela nécessite :

  • une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités ;
  • des investissements publics et privés prenant en compte les impératifs écologiques. Une politique économique et industrielle s'inscrivant dans une perspective européenne et allant de pair avec un renforcement des régulations de la finance et de l'économie.

Donner la priorité au maintien des emplois

  • Les employeurs doivent privilégier l'emploi stable, investir dans les emplois futurs. Quelle que soit la situation dans l'entreprise, c'est en investissant dans la formation et le travail qualifiant et en réduisant la précarité que la performance sera assurée. Les mesures, comme le chômage partiel, les jours de RTT ou de congés, en cas de baisse d'activité doivent être négociées dans l'objectif de préserver l'emploi et les salaires. Toute mesure à prendre dans l'entreprise en termes d'emploi et d'organisation du travail doit être discutée avec les représentants des salariés ;
  • les suppressions d'emplois publics ainsi que les réorganisations forcées décidées dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) provoquent une dégradation des conditions de travail et des difficultés grandissantes pour assurer les missions de service public. Il faut stopper cette politique aveugle de suppressions d'emploi et de recours aux emplois précaires. Les personnels doivent être partie prenante des évolutions à apporter en termes de missions et d'organisation des services publics ;
  • des mesures doivent favoriser l'accès à l'emploi, en particulier pour les jeunes ;
  • les demandeurs d'emploi en fin de droits d'indemnisation doivent bénéficier d'un accompagnement renforcé pour leur permettre de retrouver un emploi avec un revenu garanti. Les conditions d'accès à l'Allocation spécifique de solidarité et au RSA doivent être élargies.

Améliorer les salaires et le pouvoir d'achat, réduire les inégalités

  • Dans les branches, les entreprises, la fonction publique, les négociations salariales doivent assurer le maintien du pouvoir d'achat et la réduction des inégalités ;
  • les allègements de cotisations sociales doivent être ciblés et conditionnés aux politiques d'emplois et de salaires ;
  • le soutien du pouvoir d'achat doit être assuré notamment par le maintien et l'amélioration des dispositions prises en 2009, en particulier :
  • la suppression des deux derniers tiers provisionnels pour les contribuables payant la première tranche d'impôt sur le revenu,
  • l'amélioration des minima sociaux.

Les mesures sociales pour faire face à la crise doivent être financées par la suppression du bouclier fiscal, la suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires et la création d'une tranche d'impôt supplémentaire pour les hauts revenus.

L'avenir des retraites : un choix de société

Emploi, conditions de travail, niveau de salaire, ont des conséquences directes sur les équilibres des régimes de retraite et sur le niveau des pensions.
La concertation qui s'engage sur une « réforme des retraites » suscite une légitime inquiétude chez les salariés. Elle doit garantir la pérennité du système par répartition en assurant son financement et en corrigeant les inégalités. Ni l'agenda, ni les bases de départ de discussion proposées aujourd'hui ne sont susceptibles de répondre aux besoins de consolider les droits et le système de retraites par répartition.

Les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l'âge légal de départ à la retraite et l'allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant : ceci n'est pas acceptable.
Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, n'accepteront pas un passage en force.

Source : http://cgteduc93.free.fr/?Pour-un-grand-1er-m...


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Journée de mobilisation des travailleurs/euses et de solidarité internationale

Tract Solidaires pour le 1er mai

Manifestons nombreux/ses le 1er mai pour affirmer la solidarité internationale des travailleurs/ses

soutenir, développer, unifier, les mouvements sociaux !

Les manifestations du 1er mai marquent avant tout la solidarité internationale des travailleurs/ses. Une solidarité qui prend appui sur les luttes menées dans chacun des pays.

Solidaires avec les travailleurs/ses sans-papiers

Cela fait plus de 6 mois que des milliers de travailleurs/ses Sans-papiers sont en grève. Maintenu-e-s dans la précarité la plus totale par le patronat, ces travailleurs/ses sont exploité-e-s durant des années, et à tout moment sous la menace de la politique hyper-répressive du gouvernement. Soutenons la lutte des sans-papiers, exigeons leur régularisation !

Solidaires avec les salarié-e-s du privé

A Dunkerque, les salarié-e-s de la Raffinerie Total sont en grève depuis le 12 janvier. Par sa durée, la détermination des grévistes, leur unité, le soutien extérieur, cette grève est très symbolique.

Mais il y a bien d'autres luttes dans le secteur privé : industrie, chimie, nettoyage, commerces, services, transports, etc., partout, les travailleurs/ses se battent pour défendre leur emploi, revendiquer de meilleures conditions de travail, une augmentation de leurs salaires.

Les chômeurs/ses aussi luttent : les mesures ponctuelles et sous conditions pour les chômeurs/ses en fin de droit, sont bien insuffisantes, surtout comparées aux aides financières, sans contreparties, offertes aux banques, en plein cœur de la crise.

Les patrons empochent durant des années de l'argent public au titre des « aides à l'emploi », avant de licencier. Ils renforcent la précarité, la flexibilité, détériorent les conditions de travail « pour sauver l'entreprise » disent-ils, avant de fermer et licencier ! Reprenons-leur ce qu'ils nous ont volé !

Solidaires avec les salarié-e-s du public

La Poste transformée en Société Anonyme, la Fonction publique soumise à de très fortes restructurations et de nombreuses suppressions d'emplois, EDF/GDF livrée à Suez et aux actionnaires privées, la Santé publique privée de moyens, … tous les services publics sont attaqués. Celles et ceux qui résistent doivent avoir le soutien de tous. Ainsi, les cheminot-e-s en grève durant 2 semaines se battaient notamment pour l'avenir du service public ferroviaire.


Appuyons les luttes, coordonnons-les nationalement, pour qu'il y ait, enfin, ce mouvement de grève et manifestations, interprofessionnel, national, qui est nécessaire pour que les patrons et le gouvernement reculent. L'Union syndicale Solidaires réaffirme qu'il y a urgence, non pas à décréter, mais bien à organiser ce mouvement. Il est de la responsabilité des organisations syndicales de le proposer et de l'organiser. Nous savons que des militant-e-s de diverses organisations pensent la même chose. Il est nécessaire que cette aspiration de nombreuses équipes de base s'exprime ouvertement, nationalement et unitairement.

Le 1er mai 2010, il faut être nombreux et nombreuses dans la rue dans tout le pays. Montrons au gouvernement et au patronat que nous sommes beaucoup à refuser leurs mauvais coups, à avoir la volonté de préparer ce mouvement d'ensemble dont nous avons besoin, notamment pour empêcher la mise en œuvre de leurs projets sur les retraites !

A Paris, manifestation à 14 heures 30, de la place de la République vers Havre Caumartin.

Au « problème » des retraites, il y a une solution : partageons les richesses !

Une nouvelle contre-réforme des retraites est au cœur de la politique gouvernementale actuelle. Sous prétexte de l'allongement de la durée de vie, le gouvernement, avec l'appui du patronat, s'apprête à faire baisser, à nouveau, le niveau de pensions des futur-e-s retraité-e-s. D'autres solutions existent pourtant, à condition de partager les richesses autrement.

Prendre en compte l'augmentation du nombre de retraité-e-s dans les années à venir, nécessite de rééquilibrer le partage des richesses qui s'est détérioré depuis 20 ans. Seule une augmentation de la part patronale répond à cette exigence, notamment en diminuant les dividendes versés aux actionnaires. Une telle mesure prise dès maintenant se traduirait par une augmentation des cotisations patronales de 0,26 % par an, sur 40 ans. C'est facilement supportable !

Retraites : faisons entendre nos exigences !

Un appel a été lancé par de nombreux/ses économistes et responsables nationaux d'organisations syndicales, associatives et politiques. Il rappelle la nécessité de « penser autrement » la réforme des retraites, pour ne pas succomber aux arguments mis en place par le gouvernement et le patronat.

Extraits de l'appel unitaire

http://www.exigences-citoyennes-ret...

"Le bilan des réformes menées depuis 1993 est déjà catastrophique car toutes les dispositions prises (calcul sur les 25 meilleures années, indexation sur les prix et non plus sur les salaires des actifs, allongement de la durée de cotisation sous peine de décote…) ont déjà fait baisser le niveau des pensions d'environ 20 %. Elles ont aggravé les inégalités déjà fortes entre les pensions des hommes et des femmes…

Malgré ce bilan désastreux, le gouvernement veut aller encore plus loin en supprimant l'âge légal de départ à la retraite à 60 ans en le portant à 62, voire 65 ou 67 ans, comme le demande le Medef, et en remettant en cause le calcul sur les six derniers mois d'activité des retraites du secteur public. Jumelées avec un nouvel allongement de la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein, ces mesures condamneraient à la pauvreté la plupart des futurs retraités, surtout les femmes et tous ceux et celles qui ont connu et connaîtront des périodes de chômage et de précarité importantes. Ce sont les salarié-e-s les plus jeunes qui subiraient les effets cumulés de ces orientations au moment de partir à la retraite…

Le gouvernement et le patronat persistent à vouloir durcir les conditions de départ en retraite alors même que les entreprises continuent de se débarrasser des salariés âgés avant qu'ils aient acquis la totalité de leurs droits. Exiger que les salariés travaillent et cotisent plus longtemps, alors que l'âge moyen de cessation d'activité est de 59 ans, ne vise qu'à baisser le niveau des pensions.

Une alternative à cette régression sociale existe pourtant. A moins de décréter la paupérisation des retraité-e-s, il est normal de couvrir les besoins sociaux liés à l'augmentation de leur part dans la population par un accroissement des prélèvements sur la richesse produite. Les déficits des caisses de retraite sont essentiellement dus au refus obstiné de le faire…

Il est donc juste d'augmenter la part des salaires et des pensions dans la richesse produite en s'attaquant aux profits. Le financement des retraites est possible à condition d'en finir avec l'actuel partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers. C'est ce partage qui constitue le tabou à faire sauter, et non l'âge de départ. Il s'agit là d'un choix politique de justice et de solidarité…

La question des retraites pose celle de la société dans laquelle nous voulons vivre. Nous ne pouvons accepter la paupérisation programmée des futurs retraité-e-s, l'idéologie absurde du " travailler toujours plus " et la destruction des solidarités sociales. Nous souhaitons contribuer à une vaste mobilisation citoyenne (réunions publiques, appels locaux…) pour stopper cet engrenage."

Une augmentation de la durée de cotisation et un report de l'âge de départ à la retraite ne peuvent donc en aucun cas se justifier.

La question des retraites renvoie à la place du travail dans la société. Il s'agit donc de savoir si une infime minorité va continuer à s'accaparer la richesse produite.

Pour l'Union syndicale Solidaires, il faut construire la mobilisation pour imposer une autre solution : Partage des richesses !

Source : http://www.solidaires.org/article30527.html


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Emplois - Salaires - Retraites

1er mai : se mobiliser largement pour nos revendications.

CGT, CFDT, UNSA, SOLIDAIRES, FSU

Les Organisations syndicales régionales d'Ile de France

Dans le prolongement de l'appel des organisations syndicales nationales, les organisations syndicales d'Ile de France appellent à faire du 1er mai 2010 une grande journée revendicative, pour l'emploi, les salaires, les retraites et les conditions de travail, en s'appuyant sur la réussite des mobilisations du 23 mars et sur la décision de l'intersyndicale d'interpeller le gouvernement le 20 avril pour le sommet social par des initiatives locales.

Les organisations, régionales CGT, CFDT, UNSA, SOLIDAIRES, FSU appellent à l'élargissement de l'action, à partir des entreprises pour construire un 1er mai 2010 revendicatif, d'ampleur et d'unité du monde du travail.

Le 1er mai, sera aussi l'occasion pour les participants de réaffirmer leur engagement pour un travail décent dans le monde.

Manifestons le 1er mai pour nos revendications pour la paix, la solidarité internationale de République à Havre Caumartin, à 14 heures 30.

Source : http://solidairesparis.org/spip.php?article30...


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Après l'intersyndicale du 30 mars

Pour un grand 1er mai revendicatif

Les cinq organisations syndicales (CGT, Unsa, CFDT, FSU et Solidaires) réunis en intersyndicale mardi à Paris vont interpeller le gouvernement le 20 avril par un texte commun et des initiatives locales, qui serviront de tremplin à "un grand 1er mai revendicatif".

Les syndicats vont adresser le 20 avril une "déclaration commune pour interpeller le président de la République pour le sommet social" prévu fin avril début mai

A l'issue du point de presse dans les locaux de la CFDT, Nadine Prigent, secrétaire confédérale qui conduisait la délégation CGT a souligné : "Nous avons besoin de rassembler, d'élargir, on souhaite un engagement le plus uni possible" dans la perspective d'organiser "un grand 1er mai revendicatif".

"Nous voulons réussir une mobilisation au-delà de nos réseaux militants sur les questions d'emploi, de pouvoir d'achat et de retraites, pour que les mobillisations soient le relais de ce qui se vit", a déclaré Marcel Grignard (CFDT)

Pour Jean Grosset (UNSA), "le 23 mars a prouvé que la mobilisation et le rapport de force passent par l'intersyndicale. On souhaite (faire) le 1er mai (mieux que) ce qui a été fait ce jour-là".

Source : http://www.cgt.fr/spip.php?article37153


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1er mai de SOS - Sans Papiers

Hortefeux l'ennemi n° 1 des libertes publiques

Sarkozy et son acolyte n° 1, le chantre du communautarisme auvergnat, poursuivent leur politique de ségrégation et de contrôle et continuent à essayer de bâtir une société qui emprunte plus à 1984 et au meilleur des mondes qu'aux valeurs universalistes issues de la Révolution française.

La manifestation en burqagoule du 28 avril 2010, quoique régulièrement déposée, a été réprimée par un imposant dispositif policier qui n'a pas permis aux manifestants de se rassembler comme prévu place Beauvau.

Au moment où un nouveau camp d'internement conçu pour enfermer des enfants va ouvrir près de Roissy, la contestation de la politique raciste, xénophobe et discriminatoire de l'Etat est marginalisée ou criminalisée.

Hortefeux le Vichyssois, qui n'a jamais démenti avoir été un membre actif du GUD, cherche à détruire une à une les libertés publiques qui constituent le socle de toute vie politique démocratique.

Il fait tout pour renforcer l'islamophobie ambiante au moment où, dans l'indifférence générale, la veuve marocaine d'un ancien combattant de la seconde guerre mondiale est placée dans un camp d'internement et où une mosquée subit un mitraillage en règle.

Face à cette situation intolérable, SOS SOUTIEN Ô SANS PAPIERS lance un appel à la lutte en reprenant les mots exacts utilisés il y a vingt-cinq ans par Georges Guingouin, premier maquisard de France, libérateur de Limoges, dans son appel lancé à l'occasion du 41ème anniversaire de la bataille du Mont Gargan :

« En 1985, j'en appelle aux hommes et aux femmes à l'âme généreuse pour que dans un sursaut moral, une nouvelle Résistance commence afin que la France reste le pays des Droits de l'Homme. La flamme de la Liberté ne doit pas s'éteindre ! ».

Pour protester contre les agissements du délinquant ministériel, SOS SOUTIEN Ô SANS PAPIERS appelle à participer à la manifestation du 1er mai en burqa, en cagoule, avec un chapeau, une casquette, un foulard ou encore des lunettes de soleil.

  • regularisation de tous les sans-papiers
  • arret des expulsions
  • fermetures des camps d'internement
  • liberte de circulation et d'installation pour tous
  • liberte vestimentaire pour tous
  • demission de Brice Hortefeux

Source : liste de diffusion zpajol, reçu le 30 avril 08h

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/12627